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Timéo W. Bradbury ” Butterfly ◊ make love as life ; short and strong.
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| Sujet: Now, it's time. Lun 19 Déc - 2:09 | |
| Timéo & Matt.Jouis. Le trajet en taxi dura peu de temps, assez pour que le désir que j'éprouvais envers Matt ne diminue pas, s'entretienne, et devienne de plus en plus prenant. La porte du véhicule s'était refermée derrière nous; nous avions avancé vers l'entrée de l'immeuble; j'avais salué le portier et avais appelé l'ascenseur; nous nous étions engouffrés à l'intérieur; j'avais saisi mon bel asiatique, avais rapproché brutalement son corps du mien, le dévorant des lèvres. Lorsque la porte s'était ouverte à mon étage je ne l'avais pas lâché. L'excitation était à son summum. Je le tirai dans l'appartement par sa chemise, que je m'empressai ensuite de jeter au sol. Je le guidai vers la porte grande ouverte de ma chambre; une fois passée je la repoussai d'un mouvement de main, sans y prêter un regard. Mon attention entière était focalisée sur Matt. Dans l'obscurité de la pièce mes mains parcoururent son dos nu et chaud, le caressant, remontant jusqu'à sa nuque pour que mes lèvres posent ensuite leurs baisers sur la peau du cou offerte. Elles explorèrent de nouveau son torse, ses muscles, son ventre, descendant jusqu'à ses hanches. Mes doigts s'enfonçant de ci de là dans la peau brûlante d'excitation. La boule au bas de mon ventre me tiraillait. Je n'entendais que le bruit de nos respiration, fort et saccadé, violent, puissant, mon souffle et le sien, hurlant de désir. Mon cœur battait la chamade, mon sang tapait avec force sur mes tempes, je sentais le flux violent dans mes veines, dans mon cou, ma poitrine, et surtout dans mon bas ventre. Mes mains descendirent sur ses cuisses, puis remontèrent sur ses fesses, exerçant dès lors la pression nécessaire à coller son entre jambe contre la mienne. Sans séparer nos deux corps je nous rapprochai du lit. Doucement, lentement, une main au creux du dos de Matt, mes lèvres dévorant son torse, je le fis plier; bientôt je l'allongeai sur le matelas. Mes lèvres remontèrent jusqu'à son cou, embrassèrent la ligne de sa mâchoire puis vinrent de nouveau se poser sur les siennes. Mon corps surplombait le sien. J'étais au-dessus de mon amant étendu, séparé de lui par la longueur de mes bras sur lesquels je m'appuyais. Anticipant l'angoisse possible qu'il pourrait ressentir, cette peur de l'inconnu, je stoppai un instant mes baisers et plongeai mon regard dans le sien; ma main vint caresser sa joue, mes doigts vagabondant de son arcade sourcilière à ses lèvres « Tout va bien. » lui murmurais-je dans un souffle. Alors ma main dessina la courbe de son menton, parcourut la ligne de son cou, prolongea sa déambulation entre ses pectoraux, dévala son ventre, effleurant doucement son nombril, continua sa course jusqu'au pubis. Et pendant que mes lèvres se posaient doucement dans le cou de mon bel éphèbe, elle tira sur la sangle de sa ceinture, la sortit de la boucle. Après quelques gestes mes doigts réussirent à déboutonner son pantalon. J'attendais; je ne voulais pas aller trop vite, pour lui. Ma main se colla contre sa nuque, mes lèvres entrouvertes vinrent goûter entre une fois la douceur des siennes, la chaleur de sa langue. Je collai mon entre jambe à la sienne, la caressant par de petits mouvements de bassins. Il fallait qu'il ait confiance. Je voulais qu'il décide. « Tout se passera comme tu le voudras, Matt. Donne moi ton signal et je m'exécute. » Je marquai une pause, soufflant ces mots à son oreille. « Je suis à toi cette nuit. » |
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Matt L. Cohen ”
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| Sujet: Re: Now, it's time. Lun 19 Déc - 19:05 | |
| Une fois dans le taxi, c’est comme-ci j’avais retrouvé la faculté de pensée. Des tas de nouvelles questions et appréhension revinrent envahir ma tête. Je fermais un instant les yeux, préférant me remémorer chacune des caresses et chacun des baisers que m’avait donné Timéo pour ne plus penser qu’à ça encore une fois. Heureusement le trajet ne fut guère long, et nous étions déjà dans l’ascenseur avant que j’ai le temps de m’en rendre compte. A peine les portes fermées que je sentis de nouveau les lèvres du beau brun sur les miennes, collant violement nos deux corps. Mes yeux se fermèrent instantanément une fois de plus. A peine ses lèvres en contact et j’oubliais à nouveau tout. J’aimais ça. Il avait le don de me vider la tête, de me faire oublier la moindre chose, contrariante ou non. Il arrivait à faire en sorte que je ne pense qu’à lui, que je ne vois que lui, que je lui appartienne qu’à lui.
Changement de décors, après l’ascenseur, on ne tarda pas à se retrouver un appartement, surement celui de Timéo, je perdu rapidement ma chemise, sentant le changement de température entre la chaleur de la boîte et la froideur de l’appartement. Un frisson me traversa le corps mais guère longtemps car les mains de mon futur… amant ? se posèrent de nouveau sur mon torse. Plus Timéo je touchais plus je m’embrasé de l’intérieur. Je ne savais trop comment j’en étais arrivé là mais j’aimais ça et la pression sur mon entre jambe n’arrangea en rien mon excitation, bien au contraire. Mon cœur me donnait l’impression de vouloir quitter ma cage thoracique. J’avais l’impression de sentir mon sang parcourir tout mon corps. Mon dos se posa délicatement sur le martelas, sur lequel m’avait entrainé mon partenaire de ce soir. Je me callais un petit peu plus confortablement laissant à Timéo le champ libre pour parcourir mon corps. Je vins placer mes mains sur ses épaules, les glissa sous sa chemise et les glissa délicatement dans son dos entraînant sa chemise avec. Profitant d’un moment où il ne touchait pas mon corps je fis voleté la chemise dans la pièce et replacer mes mains dans son dos.
« Tout va bien. » Préféra t-il me rassurer en plongeant son regard dans le mien, me caressant doucement le visage. Je lui esquissais un doux sourire pendant que ses mains traçaient leur chemin jusqu’à mon slim. Quand il commença à défaire la boucle de ma ceinture ma respiration s’accéléra et mon cœur perdit complètement son rythme, me laissant entre l’angoisse et l’envie, la peur et le désir. Il stoppa tout mouvement et vint me donner un doux baiser langoureux. Fermant un instant mes yeux, je pris le temps de calmer mon angoisse. C’était ma première fois avec un homme, et je pensais vraiment être tombé sur un mec super pour cette première fois, il n’y avait pas de quoi angoisser. Je me trouvais même un peu ridicule de réagir comme une petite sainte ni touche. « Tout se passera comme tu le voudras, Matt. Donne-moi ton signal et je m'exécute. » Un doux silence. « Je suis à toi cette nuit. » Un sourire revint se peindre sur mon visage. Je plaçais mes mains sur son torse.
- Et moi à toi ! Répondis-je.
Mes mains quittèrent son torse pour m’attaquer à sa propre ceinture et son propre pantalon. Je voulais bien lui faire comprend qu’il pouvait y aller. Bon pas non plus comme une brute mais, que j’étais prêt et que je ne reculerais plus. Que j’étais prêt à faire l’expérience avec lui ce soir. |
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Timéo W. Bradbury ” Butterfly ◊ make love as life ; short and strong.
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| Sujet: Re: Now, it's time. Mar 20 Déc - 0:50 | |
| « Et moi à toi ! » Je souris. Il me faisait craquer. Ses airs d'ingénu savaient me rendre fou. Lorsque ses mains partirent s'attaquer à ma boucle de ceinture, je sus que c'était là le signe que j'attendais de sa part. Mon jean dégrafé, je le fis tomber sur mes cuisses, puis le tirai d'une main, le laissant tomber au sol. Alors mes lèvres se posèrent sur les pectoraux de l'homme de ma nuit. De là elles commencèrent leur descente sur son ventre, lentement, embrassant chaque parcelle de peau au-dessus de laquelle mon visage passait, tandis que mes mains s'emparaient déjà des rebords de son slim et le firent descendre sur ses cuisses. Ma bouche continuait sa progression, encore et toujours, lentement, doucement; avec passion elle caressait la peau chaude d'excitation. Bientôt elle arriva au niveau du pubis. Là, mes mains vinrent s'emparer de l'élastique du boxer de mon bel amant, le soulevèrent, puis le baissèrent, lentement. Le sexe de Matt s'offrait à moi. Ma main droite s'en saisit, et bientôt mes lèvres se refermèrent sur sa circonférence. Ma langue joua sur lui, s'attardant sur la ligne du frein. La pression que ma main exerçait sur son sexe se resserra lorsque je commençai à jouer avec lui par de petits mouvements de haut en bas que ma bouche accompagnait. Lui donner le plaisir que je sentais qu'il recevait m'en procurait tout autant. Faire au même sexe que le sien ce qu'on sait nous donner du plaisir opère un retournement, l'on reçoit ce plaisir comme s'il nous était donné. Mes mouvements gagnèrent en vitesse. Je pouvais sentir le bassin de Matt bouger instinctivement. J'étais conscient de l'effet que je produisais sur lui, et je m'en délectais. Chaque parcelle de son corps me confirmait son plaisir; son souffle, la chaleur de sa peau, ses infimes mouvements... Tout me donnait envie de continuer à le lui offrir. Ma main libre caressait son ventre, je sentais chacun de ses muscles sous mes doigts. Elle remonta sur sa poitrine où je pus sentir la folie des battements de son cœur. Bientôt ma bouche mit fin à sa parade; ma main fit de même. Alors je me redressai et finit de faire tomber au sol son slim et son boxer. Je fis ensuite de même avec le mien, avant de remonter le corps de mon amant, mon visage face au sien. Je me mis à dévorer de nouveau son cou, tout en plaçant mes mains dans son dos pour le faire pivoter. De profil, face à moi, je rapprochai son bassin du mien, entrelaçant nos deux corps nus et désirant. Je saisis l'arrière de sa cuisse, la faisant se refermer sur ma hanche. Mes lèvres dévoraient les siennes de désir et avec passion. Je ne souhaitais pas qu'il essaie de me rende ce préliminaire que je lui avais servi sur un plateau d'argent; je voulais seulement qu'il savoure ce que je lui offrais. Je lui avais dis, cette nuit j'étais à lui, pour le servir, pour son propre plaisir. J'osais croire que je pourrais assouvir tous ses désirs, lui offrir le plaisir que je lui avais laissé espérer. Alors je me défis doucement de lui. Ma jambe chevaucha sa hanche, la seconde fit de même, me permettant de coller mon torse brûlant au dos de mon partenaire d'une nuit. Ma jambe se glissa entre les siennes, ma cuisse caressant doucement son entre jambe pendant que ma main, caressant le bas de son ventre, préservait mon amant serré contre moi. Mes lèvres embrassèrent son épaule, j'enfonçais parfois mes dents dans la peau offerte. Sentir mon sexe dans le creux de ses reins me procurait un plaisir inouï. La main se baladant sur son ventre descendit alors sur son sexe. Instinctivement, mon bassin opéra de légers mouvements vers l'avant. Mon souffle s'accélérait. Je posais un dernier baiser dans sa nuque avant de me défaire une nouvelle fois de lui, légèrement. Alors mon bras s'étendit pour attraper un petit emballage brillant sur l'étagère au dessus de mon lit. Tout en embrassant le dos de Matt, mes doigts ouvrirent le petit carré de plastique. Puis, rapidement, je plaçai sur mon sexe la fine membrane de latex. Sachant ce virus à l'intérieur de mon corps, c'était un geste que je ne négligeais jamais. Moi qui fuyais le malheur, je n'osais imaginer les conséquence qu'une telle erreur pouvait produire... Mon visage devint plus grave l'espace d'un instant, accompagnant ces réflexions pour le moins dérangeantes. Mais bientôt je retrouvai le corps de celui avec qui je partageais ma nuit. Mes pensées noires s'évanouirent, mon esprit se focalisa de nouveau sur Matt. Mes lèvres se rapprochèrent de son oreille « Détends toi. Je vais te donner le plaisir que tu n'as jamais soupçonné... » Alors je pris en main mon sexe raidit de désir, l'approchant doucement de l'orifice anal de mon amant. A son contact, je sentis le corps de Matt se cambrer. Mes lèvres embrassèrent son dos. Doucement, mon bassin avança. Et bientôt je ne pus réprimer un soupir de plaisir. J'y étais. Mon bassin commença doucement à exécuter les mouvements de va-et-vient escomptés. Alors ma main se posa sur sa cuisse, avant de la remonter lentement, accédant au sommet de sa hanche, puis glissant sur son ventre. Je soufflais de plaisir dans la nuque de mon éphèbe. Je voulais lui donner encore plus. Alors, tout en pensant et maîtrisant chacun des mouvements de mon bassin, je saisis de nouveau son sexe entre mes doigts, opérant ces mêmes mouvements de va-et-vient. Je voulais qu'il se perde dans le plaisir que je pouvais lui procurer, qu'il s'abandonne totalement. Cette nuit je l'aimais et je voulais qu'il m'aime en retour. |
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Matt L. Cohen ”
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| Sujet: Re: Now, it's time. Jeu 29 Déc - 0:53 | |
| J’étais prêt, prêt à passer à un stade supérieur et son sourire me confirma qu’il avait parfaitement comprit qu’il pouvait passer à la suite. J’étais novice dans ce genre de rapport non conventionnelle, par conséquent surement un peu maladroit. Mais peut importait, j’étais là, avec Timéo, et c’était tout ce qui comptait. Il retira son jean et mon regard se posa sur son entre jambe. Le tissu de son jean était déformé par le plaisir qui l’envahissait. Je souris, plutôt fière de l’effet que j’avais sur lui. Rapidement il revint s’occuper de moi, déposant ses lèvres sur mon torse, mais ne s’y attardant guère, descendant toujours plus bas, me donnant un plaisir fou. L’envie et le plaisir ne cessait d’augmenter, à me faire perdre la tête. Doucement mais surement mon boxer me quitta. Je fermais un instant les yeux, gêné, perturbait, anxieux. Mais le désir lui aussi était bien là et me fit rouvrir les yeux pile au moment que Timéo choisit pour commencer une fellation digne de ce nom. Je me cambrais sous l’effet de la surprise, mais de détendit aussi rapidement. On ne pouvait pas dire que mon partenaire de sexe n’avait pas d’expérience, loin de là. Il savait parfaitement ce qu’il faisait et où aller pour me donner un plaisir dingue. Je me laissais envahir par la vague de chaleur en ébullition, mon bassin bougé en rythme avec les mouvements que me procurait Timéo, mon souffle devenait légèrement saccadé, mon corps tout entier montait en température. Et encore ce n’était rien comparé à la vitesse à laquelle mon cœur battait, l’excitation continué de monter. Je perdais petit à petit la faculté de réfléchir un instant à ce qui pouvait se passer le lendemain, à ce qui c’était passé dans la journée à part cette rencontre merveilleusement mystérieuse avec ce beau brun qui commençait à me faire gémir de plaisir.
J’étais cette fois-ci totalement à sa merci, je n’arrivais plus à réfléchir, à peser le pour et le contre, à me dire qu’il était encore temps, que la limite n’avait pas était franchi. Non rien de tout ça. J’étais totalement sous son emprise, mon corps tout à lui. Il me mit nu et fit de même avec lui-même. Notre excitation était apparente. Il m’attira de nouveau à lui, je plongeais immédiatement mon regard dans le siens, y voyant un désir aussi intense que le miens, peut être même plus, Timéo sachant très bien comment aller être le niveau de plaisir du reste de la nuit. Je sentais la chaleur de son corps venir bruler ma peau, me faire frissonner. Il finit par me placer comme il le voulait sur son lit, me préparant pour la suite, le plat de résistant arrivait à peine. Nos lèvres se rencontrèrent de nouveau à mon plus grand plaisir. Je n’osais trop faire de geste envers lui… Je me contentais de quelques caresses par-ci par-là. Une main sur ma cuisse, ma cuisse sur ses hanches, un petit mouvement, une petite caresse. Tout mouvement, effleurement me rendait fou. Je perdais complètement toute conscience de la réalité. Comme si plus rien n’existait en ce monde.
Il se glissa habillement derrière moi, mon cœur rata un battement, mon esprit se figea, les choses sérieuses commençaient. Son torse contre mon dos, sa jambe entre les miennes, de nouvelles caresses, de nouveaux baisers, son sexe au creux de mes reins, tout, absolument tout me procurait un plaisir inavouable. Je glissais une main dans mon dos y atteignant les côtes de mon amant. Il se détacha un instant de moi, j’en compris la raison en entendant le plastique renfermant l’indispensable se déchirer. Un petit moment de doux silence, où seuls nos souffles saccadés se faisaient entendre. Je le sentis bouger de nouveau derrière moi. Quand sa voix se fit doucement attendre à mon oreille je frissonnais. « Détends-toi. Je vais te donner le plaisir que tu n'as jamais soupçonné... » Ça se passait maintenant. Je sentis son sexe me frôler, immédiatement et surtout instinctivement je me cambrais, j’étais légèrement tendu. Il tenta de me calmer et me rassurer, en embrassant mon dos, mais lorsqu’il me pénétra, aussi doucement soit-il, une légère mais bien présente douleur se fit ressentir. Ma main toujours sur ses côtes se resserra sur ces dernières, mon autre main enserra fortement le tissu qui recouvrait le lit. Mais doucement les mouvements de Timéo me procurèrent un doux plaisir qui fit disparaitre la douleur, laissant toute la place nécessaire au plaisir que m’offrait mon bel apollon. Passant une main dans mes cheveux repoussant quelques mèches collant de sueur en arrière, je vins la déposer dans les cheveux de Timéo. J’étais déjà dans un état second lorsqu’en plus de ses coups de hanches, il reprit ses va et vient sur mon sexe gonflé de plaisir. Je ne pus refreiné un gémissement de plaisir. Ce que je regrettais juste avec cette position c’était de ne pas pouvoir voir les expressions de mon amant. Je voulais voir son visage, poser mes mains sur son torse, embrasser ses douces lèvres, mordiller ses lobes d’oreilles, faire glisser mes mains de ses omoplates à ses reins. Mais je ne savais trop comment le lui faire comprendre, ni le lui demander. |
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Timéo W. Bradbury ” Butterfly ◊ make love as life ; short and strong.
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| Sujet: Re: Now, it's time. Mer 4 Jan - 20:50 | |
| Le plaisir que Matt éprouvait ne tarda pas à se faire sentir, et à s'exprimer, librement, sous la cambrure de ses reins et les sons échappant de ses lèvres. Je prenais moi aussi un plaisir intense à me sentir à l'intérieur de son corps, y bougeant. Mes souffles devinrent rauques, parfois un léger son prenait racine dans ma gorge et se laissait entendre au sortir de ma bouche. Le corps de mon bel amant bougeait sous mes mouvements, accompagnant les gestes de mon bassin avec excellence. Sa peau était brûlante, et je me délectais de la sentir contre la mienne. Quand il passa sa main dans mes cheveux je compris qu'il avait envie de me toucher, de caresser mon corps, de participer d'autant plus à ce plaisir. J'embrassais une dernière fois sa nuque chaude et humide. Ma main se sépara doucement de son sexe, caressa son ventre, remonta sur sa poitrine. Mes mouvements de bassin se firent plus lents, plus doux. Bientôt je sortis de lui avec une extrême douceur, du moins comme je le pouvais. Mes lèvres partirent se poser sur le côté de son cou, puis remontèrent sur sa mâchoire pour venir s'échouer sur ses lèvres. Pendant ce baiser langoureux et passionné, je me dégageai doucement du dos de mon éphèbe, lui permettant de s'allonger de nouveau sur le dos. De là, ma main se saisit de son genou gauche pour l'écarter lentement vers l'extérieur, tandis que mes cuisses vinrent se glisser entre les siennes. Ma main remonta vers son entre-jambes, caressant son aine, glissant vers l'arrière de son sexe, duquel une intense chaleur se dégageait. Mon autre main vint se poser sur ses flancs, descendit jusqu'à sa hanche où elle s'infiltra dans le creux de ses reins. Y appliquant une certaine pression, je remontais légèrement son bassin, l'inclinant vers le bas de mon ventre. Mes lèvres quittèrent les siennes, partirent vagabonder sur son menton, embrassant son cou offert, descendant encore sur sa poitrine. Là, ma main quitta son entre-jambes et vint guider mon sexe vers le corps de Matt. La résistance se fit moindre, et tandis que je m'immisçais de nouveau en lui, je relevais la tête, voulant alors voir les expressions de mon partenaire, voir sur son visage s'afficher le plaisir qu'il ressentait. Je voulais voir l'étincelle briller dans ses yeux, ses lèvres s'ouvrirent sous le souffle saccadé que mes gestes faisaient monter en lui. Mes genoux glissèrent contre les draps, remontant sous les cuisses ouvertes de mon amant. J'accompagnais son bassin, qu'il soit toujours au plus proche de moi, le surélevant légèrement. La main qui me servait d'appuis sur le matelas put alors s'en détacher et se glisser dans sa nuque, laissant mes doigts s'emmêler dans les mèches de ses cheveux. Mon dos se plia, bientôt j'embrassais les pectoraux de mon bel asiatique sans pourtant jamais cesser les mouvements de mon bassin, qui se faisaient de plus en plus intenses. Ma respiration les accompagnait, se faisant de plus en plus bruyante, vive. Je sentais le sexe raidit de Matt bouger tout contre mon ventre, collé à lui. Je fermai les yeux. Bientôt je sentis mon esprit s'éclipser à des kilomètres de ma tête, j'étais ailleurs, totalement ailleurs. Le plaisir m'avait emporté loin, très loin. Je laissais ma joue se coller au corps brûlant de mon amant, ressentant chacun de ses mouvements. Mes doigts se refermèrent sur ses flancs, fermement. Je sentais l'extase proche. Je relevai la tête, posai mon regard sur le visage de Matt. Mes mouvements s'accélérèrent, encore. Une de mes mains vint se poser sur une de ses cuisses, mes doigts s'enfoncèrent dans sa peau. Mon autre main partit caresser l'angle de sa mâchoire, en dessinant le contour. Mes doigts vinrent frôler ses lèvres entrouvertes. De l'index, je caressais sa lèvre inférieure, puis je le fis doucement pénétrer la bouche de mon éphèbe, suivi par mon majeur. Je sentais que l'orgasme était proche, tout proche. J'espérais seulement qu'il viendrait après celui de Matt. |
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| Sujet: Re: Now, it's time. | |
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