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"Ne t'inquiète pas, c'est à cause de moi. Je suis extrêmement célèbre"

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Abigail K. Wilson

Abigail K. Wilson

Abyjust a beautiful liar


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MessageSujet: "Ne t'inquiète pas, c'est à cause de moi. Je suis extrêmement célèbre" "Ne t'inquiète pas, c'est à cause de moi. Je suis extrêmement célèbre" Icon_minitime1Mer 3 Aoû - 21:30

Voilà désormais plusieurs mois que Abigail Wilson est devenu un nom courant sur les pages de notre bloggeuse préférée, Gossip Girl. Mais finalement, on connaît peu de choses sur cette jeune femme qui a fait sa place dans l’élite New-Yorkaise, parfois pour le meilleur et parfois le pire. Rencontre.


-Bonjour Mlle Wilson. Vous semblez avoir bien changée depuis les premières photos de vous postées sur Gossip Girl il y a de ça presque un an ! Peut-on parler d’une nouvelle Abigail ?

    « Ouh oui, en effet, cette fille me paraît bien loin, presque une étrangère. J’étais excessive, jalouse, manipulatrice et un brin désespérée. Quand j’y repense aujourd’hui, ça me fait sourire. Tout de même, j’ai été capable de prétexter une grossesse pendant plusieurs mois pour retenir un garçon éperdument amoureux d’une autre ! Alexander avait été l’homme de ma vie pendant trois ans et, comme une collégienne, je n’ai pas du tout accepté l’idée d’une rupture, si bien que je me suis mise à enchaîner les mensonges … Mais ça, vous le savez déjà ! Alors certes, j’ai mis des mois à me reconstruire et à continuer de grandir et aujourd’hui, je me sens plus indépendante, plus mûre. Donc, d’un certain côté oui, je suis une nouvelle Abigail. J’ai évolué, je me comporte moins comme une enfant. »

-Justement, à propos d’enfant, racontez-nous un peu comment était votre vie en France. Etes-vous nostalgique de cette époque et de ce pays ?

    « La première image qui me revient en tête ce sont les petits déjeuners du dimanche matin avec ma mère. Elle s’est toujours occupée seule de moi alors il fallait qu’elle soit au top aussi bien au travail qu’à la maison, pour pouvoir continuer à m’élever dans les beaux quartiers et m’inculquer toutes les valeurs familiales. Alors évidemment, la semaine c’était un peu la course pour elle. Mais le week-end, ça c’était autre chose. J’avoue qu’aujourd’hui j’admire la manière dont elle pouvait faire abstraction de tous ses soucis d’adulte pour se consacrer pleinement à moi pendant deux jours. Et donc, le dimanche matin, elle se levait aux aurores – comme toutes les mamans de la planète je suppose, son horloge biologique lui interdit les vrais grasses matinées au-delà de 9h30 – et donc elle se levait tôt et filait en cuisine. Moi, dès que je me réveillais, je me glissais dans son lit et attendais impatiemment qu’elle revienne. Et à chaque fois, j’avais le droit à une petite phrase que savent si bien faire les mamans, vous savez comme un petit reproche accompagné d’un grand sourire qui vous montre tout l’amour qui les submergent. Puis, elle apportait un énorme plateau rempli de gâteaux, de viennoiseries, de biscuits ou d’autres douceurs sucrées qu’elle avait concoctées depuis son réveil. Et alors, on se gavait en rigolant, en discutant et parfois même en chantant. C’était le meilleur moment de ma semaine ! Même si le premier dimanche après sa mort a du coup été la pire journée de toute mon existence … Vous me demandiez aussi si j’étais nostalgique de la France. Si ma mère était encore là aujourd’hui, je répondrais sûrement oui car c’est un merveilleux pays, ma patrie de cœur. Mais depuis son décès, le peu de fois où j’y suis retournée n’a été qu’un assaut de souvenirs qui m’a broyé le cœur. »

-Il semblerait en effet que la mort de votre mère soit un évènement marquant de votre jeune vie. C’est même, dit-on, la raison pour laquelle vous avez emménagé dans la Big Apple où réside aussi votre père. Cela a dû être éprouvant !

    « Vous n’avez pas idée ! Aujourd’hui, j’adore New-York. Je suis une vraie fan de cette ville ! Mais à mon arrivée … Je la détestais !!! C’était comme si on me forçait à abandonner ma mère, le fait de quitter la France. Imaginez un peu, je venais de perdre ma mère, la seule personne que j’aimais plus que tout et qui m’entourais d’un si grand amour qu’après son départ j’étais absolument seule sur Terre. Non seulement j’avais un mal fou à me reconstruire suite à sa mort, mais la loi m’obligeait en plus à aller vivre chez mon père, ce géniteur qui se fichait éperdument de moi et avait fui aux Etats-Unis peu de jours après avoir appris la grossesse de ma chère maman. Ce traître, ce lâche, ce monstre, il fallait que je me place sous sa protection dans un pays étranger simplement parce que j’avais 17 ans … Forcément, ce ne sont pas des conditions idéales pour apprécier New-York ! Les premiers mois ici n’ont été qu’une longue décente aux Enfers vers ce que j’appelle la période des Ténèbres. »

-Et puis, vous avez rencontré Alexander, n’est-ce pas ?

    « C’est ça. J’avais 20 ans quand nous nous sommes rencontrés et, même si j’ai un goût amer en repensant à notre histoire, je dois bien avouer que les premiers mois ont été plutôt sympas et romantiques. Disons pour faire simple qu’on a vécu une belle histoire qui s’est mal terminée. C’est sûrement le cas d’un million de gens sur cette planète ! »

-Y a-t-il eu quelqu’un d’autre après lui dans votre vie ?

    « Pas de relations sérieuses, si c’est ce que vous voulez savoir. Je suppose que pour ce qui est de mes soirées, sorties et autres vous avez pu tout suivre ces mois-ci par le biais de Gossip Girl. La vie privée est quelque chose de difficile à préserver ici ! Mais j’adore cette ville. Donc rassurez-vous, New-York ne se débarrassera pas si facilement de moi et Gossip Girl n’a pas fini de me pourchasser pour que vous ayez de mes nouvelles ! »

-Pour conclure, qu’est-ce que l’on peut vous souhaiter pour l’avenir ?

    « Je suis un cœur à prendre donc l’amour, bien sûr. Mais aussi de belles rencontres ou même des retrouvailles, se serait parfait. Quelques voyages, des aventures un peu dingues … et une famille. »

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