Le quatorze février, cette date elle était surtout faîte pour les amoureux et j'en faisais partit, oui, j'aimais Alexander bien plus que tout et ca avait d'ailleurs pu se voir. Pour tout dire, notre relation n'avait pas été parfaite au début et pourtant elle allait beaucoup mieux mais ce jusqu'à quand car je savais bien que l'on ne serait pas vraiment épargner. Notre histoire avait commencé lorsque nous avions cru que Shawn était mort, du moins il avait disparut pendant plusieurs longs mois et avait fini par revenir lorsque avec Alexander c'était bien sérieux. Nous nous voyons en cachette car j'étais fiancée, j'avais fais cela pour mes parents d'ailleurs et lui avait sa petite amie, Abigail, qui apparemment était enceinte. Seulement, suite à une bagarre entre nous, la jeune femme avait été à l'hôpital qui avait donc annoncé à Alexander qu'il n'y avait aucun bébé du tout et que ils ne comprenaient pas. J'avais par la suite été mise au courant de cela et entre temps, j'avais pu discuté avec Shawn, tout était fini entre nous mais j'avais aussi appris qu'il été toujours marié à son ex qui apparemment, ne voulait pas divorcé. Après tout, je ne savais pas si je devais le croire ou pas mais, je m'en fichais un peu, je ne l'aimais pas et je ne l'avais jamais aimé d'ailleurs, je l'avais juste revu une fois, lors de la soirée chez moi, pour le nouvel an.

Bref, je m'étais levée vers neuf heures aujourd'hui car j'avais une envie d'aller faire un peu de shopping, je pensais à la Saint Valentin qui approchait bientôt d'ailleurs. Inutile de dire que je comptais la passer avec mon amoureux et que j'allais bien entendu aller lui acheter quelque chose aujourd'hui même. Je ne savais pas encore vraiment quoi lui offrir mais je finirais bien par trouver car je savais très bien ce qu'il aimait, je le connaissais par cœur. Mais pour le moment, je devais aller me préparer pour sortir car je ne comptais pas sortir en nuisette non plus, surtout qu'il ne faisait pas vraiment chaud. De plus, me retrouver encore une fois à la tête d'affiche du blog de Gossip Girl ne me disait pas trop, je m'en passerais. Je sortais alors de mon lit pour partir en direction de la salle de bain, une bonne douche s’imposait ce matin, sortir propre c’était mieux que d’avoir les cheveux tout gras. J’avais alors passé quinze minutes dans la douche puis une dizaine de minutes pour m’habiller et enfin dix minutes pour me maquiller et me coiffer, j’avais décidé de me lisser les cheveux aujourd’hui, une envie. En tout, j’avais mis trente cinq minutes mais bon, il y avait pire, je pouvais battre ce record lorsqu’il s’agissait de soirées, je mettais plus longtemps que cela, du moins cela dépendait pour qui ? Inutile de vous dire que lorsqu’il avait s’agit de Shawn, je n’avais pas mis autant de temps que cela, j’avais été bien rapide au contraire mais j’avais tout de même fait un effort pour ne pas attirer les doutes.
Après une bonne douche bien chaude et de longues minutes de préparations, c’était un petit déjeuné qui s’imposait ou alors je le prendrais sur la route dans la voiture, du moins, je prendrais mon café avant de partir et j’emporterais un pain au chocolat. Je descendais alors dans la cuisine en emportant avec moi mon iPod et mon portable qui était resté à chargé, et au passage je vérifiais si j’avais un message mais rien, en même temps, il était tôt pour cela. Après avoir aussi pris sur mon chemin le sac que j’emporterais avec mon porte feuille et mes clés, je descendais à la cuisine où je mis en marche ma cafetière. Pendant que l’eau chauffait je me prenais alors un pain au chocolat que j’enveloppais dans une serviette et mit ensuite dans mon sac, je n’avais pas vraiment faim encore mais j’avais surtout envie de boire un café bien chaud dés le matin. L’eau chaude, je fis mon café que je bu en quelques secondes et je mis la tasse dans le lave vaisselle, prête à partir à la recherche de ce fameux cadeau de Saint Valentin. Pour cela, j’avais décidé d’aller au centre commercial et inutile de vous préciser que ce ne serait pas dans un petit magasin que j’irais l’acheter car je ne voulais pas prendre une simple bricole pour Alexander tout de même. Lorsqu’on avait les moyens on pouvait aussi en profité et c’était ce que je comptais faire mais j’espérais qu’il ne découvre pas ce que j’avais acheté pour lui. En même temps, je ne vois pas comment il ferait pour trouver cela.

Je sortais alors de chez moi en prenant soin de fermer la porte bien entendu puis je me dirigeais vers la voiture et posait mon sac sur le siège libre à côté de celui conducteur. Je prenais alors tout de même le pain au chocolat où j’y croquais une première bouchée avant de le reposer dans la serviette pour pouvoir conduire tranquillement. Quelques minutes plus tard j’arrivais enfin au centre commercial où j’y garais ma voiture et entrait ensuite à l’intérieur du centre commercial. A y regarder les environs, c’était tout décoré pour la Saint Valentin, et je me disais que les pauvres célibataires n’avaient même pas de fête pour eux. Ils devraient tout de même inventé cette fête même si, je ne vois pas ce qu’ils feraient mais c’était tout aussi bien d’avoir une fête pour les amoureux puis, on pouvait aussi la passer entre amis n’est ce pas ? Seulement, pour moi, cette année je ne la passerais pas avec mes amis mais avec Alexander, notre première Saint Valentin ensemble et moment en tête à tête, sans avoir à se cacher des regards des autres. Alors que je me baladais devant les rayons pour voir si quelque chose me venait en tête déjà, je vis une personne de dos et je me dis que je connaissais cette personne, vraiment bien, voir très bien même alors je m’approchais en souriant pour voir si c’était bel et bien la personne à qui je pensais. Posant une main sur l’épaule de celle-ci et en espérant ne pas me tromper de personnes sinon, j’aurais encore été maladroite, une fois de plus. « Alex’ ?

Le soleil perça à travers les rideaux de ma chambre. Je me relevais en plissant les yeux et souri. Mon réveil indiquait neuf heures et demi. Je m'étirais et sautais hors du lit. Comme toute personne normale, je mis quelques secondes à me rappeler qui j'étais, où, et pourquoi. Après cela je me dirigeais vers la salle de bain en me passant la main dans les cheveux. Une fois que je me fus aspergé d'eau le visage, je me rappelais mes plans pour aujourd'hui, un samedi si libre. Je devais aller en ville pour trouver un cadeau à Chelsea. La Saint-Valentin bien sûr. Ce genre de fête m'avait toujours paru complètement futile. Tout était agréablement différent désormais que je l'avais à mes côtés. Officiellement. Tout avait été si compliqué... Je ne préférais pas y penser pour l'instant. Tout ces mensonges en bataille avaient été un parfait gâchis. Ceci dit, grâce à eux, tout était mieux désormais. Pour moi uniquement. Et pour Chelsea sûrement aussi. Mais à cause d'une sorte d'égoïsme, nous avions brisé un morceau de vie de deux autres personnes. L'amour est atrocement individualiste...

Voyant l'heure qui avançait, je me rasais très rapidement et m'habillais tout aussi vite. Je comptais prendre mon temps, alors il ne fallait pas que je parte trop tard. C'est affreux de choisir un cadeau pour quelqu'un qu'on aime autant que je l'aime. Imaginez devoir réunir vos sentiments pour une personne dans un objet. Mes sentiments valent-ils un collier ou un parfum ? C'est pour cela que c'est si difficile. On choisit rapidement un cadeau pour un vague ami, mais quand il s'agit de sa petite-amie, ou même de sa mère, la tâche devient plus ardue. Bref, je vérifiais rapidement mon téléphone, pour que personne ne m'annonce qu'il passait me voir. Je préférais que ce cadeau soit une surprise. Je montais dans ma voiture en constatant que le temps s'était bien réchauffé.

Sur la route, je me dirigeais vers le centre de Manhattan, m'amusant à regarder les passants. Une vieille dame friquée, suivi de sa fille, voire petite-fille, maquillée comme une prostituée qui lui tenait le bras en discutant gaiement. Joli tableau. La diversité de New York est telle qu'on peut tout y voir. Du crime public, aux disputes de couples en pleine rue, la fille qui crie au milieu de la foule parce qu'elle va accoucher. On était parfois confronté à des scènes bien distrayantes.

Une fois dans la rue, je rentrais dans la première boutique venue. Une fois à l'intérieur, cela me parut géant. Je courais vers une vendeuse pour qu'elle m'indique où était le rayon que je cherchais. « Excusez-moi mad... » Une pression sur mon épaule m'arrêta. « Alex' ? » Je reconnu directement cette voix. Je me retournais. La vendeuse parut interloquée puis recommença à ranger son rayon. Chelsea... Que pouvait-elle bien faire ici ? Des achats je suppose. Et de mon côté, la surprise était affreusement gâchée. Je restais naturel, espérant pouvoir conserver le mystère, mais elle ne tarderait pas à deviner ce que je faisais ici. Malheureusement. Je lui adressais un grand sourire. « Comme on se retrouve... Il y a pourtant des tas de boutiques dans le coin... » Cela paraissait effectivement plutôt impensable que l'on se retrouve comme par hasard dans la même.

Ce n'étais pas tout les jours que je me levais tôt car j'étais une assez grande fêtarde et depuis quelques temps, pour ne pas dire depuis que je suis officiellement avec Alexander, j'arrive encore mieux à dormir. Je me couchais le plus souvent à des heures hallucinantes par moment avant et je me levais souvent tôt ce qui faisais que j'étais assez fatigué et pourtant, j'avais la pêche quand même. Seulement, si je m'étais levée tôt la, c'était pour une bonne raison qui était d'aller acheter un cadeau à Alexander. Je ne savais pas vraiment qu'est ce que j'allais lui acheté d'abords mais je trouverais dans le centre commercial et j'y demanderais aussi conseil à une vendeuse. J'étais d'ailleurs heureuse que l'histoire avec Alexander soit réglé et d'ailleurs on évitait d'en parler désormais car, je ne voyais pas à quoi cela servait. Nous avions brisé deux cœurs certes, mais que voulez vous, l'amour ne se commande pas et on avait as su se contrôlé et encore moins géré nos sentiments, on s'aimaient un point c'est tout. On ne pouvait rien y faire mais si pour être heureux on devait briser deux personnes, il le fallait de toute façon, ils retrouveraient certainement le bonheur.

Je m'étais alors tout de même pressé pour me préparer et autre afin de pouvoir être tôt au magasin car je savais que pour la St Valentin, des personnes allaient venir achetés des choses surtout si c'était encore en période de soldes. De mon côté, que ce soit en solde je m'en fichais car je voulais juste trouver le parfait cadeau pour Alex' et peut importe si cela devait me coûter cher ou non, c'était la St Valentin. Pour certaines personnes c'était peut être une fête banale, ca l'était aussi pour moi avant que je ne rencontre Alexander. Je n'avais jamais autant accorder d'importance à cette fameuse fête pour les amoureux mais voila ce que c'était lorsque l'on tombait amoureuse mais, encore plus que toutes les autres personnes que l'on avait aimer dans notre vie.

Je n'avais pas mis bien longtemps à arriver dans le centre commercial d'ailleurs, il était pas vraiment loin de chez moi et puis en voiture ca allait tout de même plus vite. J'en avais profité pour manger un pain au chocolat sur la route puis, une fois arrivée, j'étais resté à fumé ma première cigarette de la journée mais, je mangeais par la suite à chewing gum. Parfum ? J'avais opté pour la menthe. J'avais pendant que je fumais ma cigarette observé le monde de l'extérieur, ca faisais du bien un peu de sortir sans être pointé du regard à cause d'un article sur moi dans le fameux blog de Gossip Girl. Seulement, je disais cela mais, elle pouvait encore s'amuser à créer une rumeur, nous ne la connaissions pas d'ailleurs. Seulement, j'avais ma conscience tranquille, je faisais confiance à Alexander si jamais il s'avérait qu'il y ait un article sur lui. Il me faisait aussi confiance, du moins je l'espérais mais il n'avait jamais eu de doutes à l'égard de mes sentiments de toute façon.

Entrée dans le centre commercial, c'était vraiment gigantesque mais c'était pour la bonne cause et puis, j'aimais bien faire du shopping de toute façon donc cela ne me dérange pas. Puis, peut être que je trouverais quelque chose pour moi même si mon principal et premier objectif restait de trouver quelque chose pour Alexander et non pas pour moi. Seulement, je savais que je finirais par craquer pour quelque chose et que je finirais par l'acheter de toute façon. Mais, alors que je commençais à regarder les vitrines des boutiques se trouvant dans le centre commercial afin de voir si quelque chose me tapait à l'oeil ou me donnait une idée, je cru reconnaître une personne dans une des boutiques alors je décidais d'y entré pour voir si j'avais raison ou non. J'avais posé ma maison sur son épaule et prononcer son prénom, du moins son surnom afin de voir si c'était vraiment la personne à laquelle je pensais ou pas, soit Alexander. Un sourire fut marqué sur mes lèvres lorsque je vis que c'était bel et bien lui, j'étais d'ailleurs heureuse de le revoir, en même temps, qui ne le serait pas ? "« Comme on se retrouve... Il y a pourtant des tas de boutiques dans le coin... » " Il est vrai que l'on venait à se rencontré alors que le centre commercial était gigantesque et surtout pour y aller le même jour et dans la même heure c'était tout de même une coïncidence. Seulement, je me demandais ce que Alexander faisait dans cette boutique, il se poserait sûrement la même question d'ailleurs mais pour commencer, je déposais un baiser sur ses lèvres. "C'est vrai, c'est une coïncidence, mais qu'est ce que tu viens faire ici ?"

Je fus naturellement des moins étonnés quand, après m'avoir m'avoir embrassé, elle sourit en me demandant malicieusement « C'est vrai, c'est une coïncidence, mais qu'est ce que tu viens faire ici ? » Je m'attendais à cette question piège. Je me dépêchais de réfléchir à si je devais lui dire ou pas pour le cadeau. Cela gâcherait ma surprise. En même temps, elle l'avait peut-être déjà deviné. Ou pas. Dans tout les cas, un petit et innocent mensonge convenait. Elle ne m'en voudrait pas de lui avoir caché cela, et ça lui ferait plus plaisir. Je touchais ses cheveux en souriant. « La tache de café sur ma chemise est irrécupérable. Et toi, que nous vaut ce shopping matinal ? »

C'est vrai qu'à y penser, elle n'avait jamais eu comme habitude de faire du shopping le matin. Je l'ai connue fêtarde, pouvant se réveiller à six heures du matin après une fiesta, et être fraîche comme un gardon. C'est impressionnant. Il me suffit d'une fête pour me réveiller le lendemain à dix heures en jurant, et avoir la tête dans le pâté le reste du jour. C'est sûrement plus une question d'habitude que d'autre chose.

Je regardais le magasin. Immense. Des étalages de rayons remplis de toutes les choses qu'on puisse imaginer. Des vêtements pour nouveaux nés aux parfums en passant par les télévisions. Je ne pouvais imaginer la quantité d'argent que cela rapportait et le type qui était derrière tout ça. Les millions de gens qui se cachaient derrière tout ça. Vendeurs, clients, fabricants et autres. Tout un monde...

En effet, j’avais embrassé Alexander, chose normal puis je lui avais demandé ce qu’il faisait dans le magasin car pour tout dire, cela m’étonnait qu’il soit la. Non pas qu’il vienne au magasin car parfois, les hommes y venaient mais plutôt pour ce qu’il venait y faire oui. Je lui avais donc demandé pourquoi il était la et en même temps, j’en profitais pour regarder autour de moi si quelque chose pouvait m’intéresser. « La tache de café sur ma chemise est irrécupérable. Et toi, que nous vaut ce shopping matinal ? » Seulement, je ne vis aucune tâche sur sa chemise mais je me dis que c’était sûrement la vendeuse qi l’avait récupérer pour retiré la tâche ou alors qu’il venait s’acheter une chemise. Seulement, en regardant bien autour de moi, je me doutais que cet endroit n’était pas un endroit pour retiré des tâches alors j’optais le plus pour la deuxième solution même si je n’y croyais pas trop. Oui, je ne croyais pas trop à son excuse de tâche de café mais si il préparait lui aussi quelque chose pour la Saint Valentin, chose dont il était pas obligé alors je ne voulais pas lui gâcher la surprise. Après tout, de mon côté, je ne voulais pas non plus qu’il trouve ce que je lui préparais ou alors ce que je comptais lui acheter alors je ne le questionnerais plus et verrais au moment venu. Seulement, Alexander m’avait lui aussi retourné la question pour savoir ce que je venais faire de bon matin au centre commercial car il finissait par me connaître en même temps. Il savait bien que ce n’était pas tellement dans mes habitudes de venir faire du shopping de bonne heure et ce même si j’aimais m’acheté de nouvelles choses. Ce n’était pas pour autant que j’allais venir à l’ouverture des magasins ou autre et ce même pour les soldes sauf si j’avais déjà repéré des choses dans les vitrines mais, je n’étais pas une accro. Je réfléchissais donc à quoi répondre à Alexander sans qu’il ne se doute de quelque chose mais la toute suite je ne voyais pas et si il voyait que je mettais longtemps à lui répondre alors il allait se poser à son tour des questions et je ne voulais pas qu’il trouve. « Je cherche un cadeau pour mes parents car ils font bientôt leur vingt ans de mariage alors même si ils ne me parlent plus, enfin mon père, j’aimerais leur faire un cadeau. » Bon, finalement, je m’en étais peut être sortie avec cette idée de cadeau de mariage quoique, en plus, c’était vrai ils allaient bientôt fêter leur vingt années de mariage.

Je regardais à mon tour les environs, plusieurs choses étaient présente c’était même pire que les Soldes par moment, c’était moins pire que noël et les fêtes de fin d’années déjà mais j’avais comme l’impression que la Saint Valentin devenait une fête nationale. Bien entendu, avant, cela m’aurait démoralisé le fait qu’il y ait la Saint Valentin parce que la passer toute seule ce n’était pas très cool mais vu que j’avais Alexander, c’était tout autre chose. Puis, je me rappelais qu’il voulait s’acheter une chemise alors je me dis que je pourrais peut être l’aidé à trouver une chemise et cela me permettrait de traîner un peu dans la Boutique voir si je trouvais quelque chose cette fois ci mais pour lui offrir en cadeau le quatorze février et ce, sans qu’il ne le voit. « Tu voulais t’acheter une chemise il me semble, je peux t’aider à en trouver une si tu veux, comme sa je verrais si je trouve quelque chose pour t..mes parents. » En effet, inutile de préciser que j’avais failli faire une boulette en disant « toi » au lieu de « mes parents » mais je m’étais vite reprise et je ne l’avais finalement pas dit. Ce que j’espérais maintenant c’était que Alexander ne s’en soit pas rendu compte et qu’il ne me pose pas plus de questions parce que la, je ne savais pas vraiment quelles excuses lui dire. De plus que si je me mettais à lui mentir ou à éviter le sujet, ce n’était pas comme sa qu’il n’allait plus se poser de questions mais bon, pour le moment, ce que j’avais dis ne lui avait pas fait un tilt dans la tête alors je ne m’inquiétais pas plus que cela.