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Carte d'identité Âge : 21 ans Date de naissance, ville : Chicago, le 29 février 1989 Classe sociale : Acceptable Profession ou Étude : Rêve d'être coiffeuse. Situation actuelle : Célibataire Surnom par Gossip Girl : l'Hypocrite

Vous &&. le vice Tabac ? NON Alcool ? OUI (Mais UNIQUEMENT de la tequila) Drogue ? NON Première fois ? NON Comment êtes-vous en amour ? Je prends, je jettes, je n'ai que le meilleur, I Want Better ! Que pensez-vous de Gossip Girl ? Des ragots qui coulent à flots, comme je les aimes

Ce sont ces trois ans, de mes sept à dix ans, que ce sont joués les plus mauvaises années de ma vie. Je vous expliquerais tout en détails, car avant d'arriver ici, j'ai tout noté, dans de petits carnets, oui, l'histoire de ma vie, elle est bien compliquée.

Je suis issue d'une famille de milieu bourgeois, vivant dans un beau manoir isolé, à la campagne. Je ne peux pas dire que je n'y était pas heureuse, bien sûr, mais, ayant une famille très religieuse, j'étais contrainte d'aller à la messe chaque dimanche. N'ayant de recours pour m'en échapper, je m'étais donnée la résolution de m'enfuir chaque dimanche à la ville, tant bien que mal. Cela s'était très bien passé, durant des semaines, sauf qu'un jour, il y eut des travaux sur la route, étant trop abimée pour être désormais empruntée. J'étais donc obligée de couper à travers champ. Mais, ce qui entourait mon habitat, c'étaient les maïs immenses que faisaient pousser nos voisins. Imaginez vous, à sept ans, vous ne faites pas le poids contre un maïs qui fait le double de votre taille. Mais je n'avais le choix. Comme d'habitude, les domestiques étaient à mes trousses. Cherchant à ne pas me faire attraper, je poursuivis ma route en m'engouffrant dans le champ.
Il n'y avait pas de sentier, que ce soit pour l'agriculteur ou ses machines. Je m'étais égarée, et autour de moi s'étendaient les pousses et les pousses de maïs. J'ai continué mon chemin, espérant retrouver mon chemin. Mais malgré toutes mes tentatives, je ne trouva rien. Je ne savais pas quelle heure il était, mais la messe devait être finie depuis longtemps, et ma mère folle de rage à l'idée que j'ai fugué. Soudain, ce fût comme évident. J'avais deux choix, lequel choisir ? Devais-je rentrer chez moi (enfin, essayer..) et retrouvez le confort de ma maison, même avec les foudres de ma mère, ou partir, loin, et faire comme toute ses journées à la ville ? J'ai choisis la deuxième solution, bien qu'elle ne me soit pas vraiment la meilleure. J'ai marché dans le champ, sans jamais tourner, sans jamais me retourner, car je savais qu'au bout d'un moment, j'atteindrais le bout de ce champ.
C'est évidemment ce qui s'est passé, n'ayez craintes. Après cela, j'ai viré à travers sentiers pour rejoindre la ville. Mais si j'avais su que je tomberais sur mon domestique personnel, en plein milieu de la nuit, ici.. J'ai essayé de lui échapper, mais quelque chose m'a frappé : il n'était plus dans son costume habituel, et il tenait un grand sac noir qu'il brandissait au dessus de moi. Mais avant même d'avoir eu le temps de me défendre, je me suis fait prendre, dans les griffes de Dominguez.

Je crois qu'il y avait à peu près un an de cet accident aujourd'hui. (Enfin, parlons, à ce moment là, je n'ai que huit ans) Je ne me souviens pas de ce qui s'est passé après. Je me souviens avoir beaucoup voyagé et d'être arrivée dans une immense ville dont je ne connais pas le nom. J'ai entendu Dominguez, très souvent, dire que j'étais une petite fille "débrouillarde", mais "méprisante". Donc voilà, j'ai huit ans. Et je vis dans une cave insonorisée, et totalement sombre. Je ne mange qu'un jour sur deux, mais j'ai un genre de biberon géant pour hamster pour boire. J'ai l'impression d'être en cage, cela ne me plaît pas. Sauf que rien de tout sa ne serait arrivé si je ne m'étais pas enfuit. Et je le regrette amèrement. J'ai le don de faire les choses sur un coup de tête, moi ! Je me suis mise à pleurer. Mes pleurs ont alertés Dominguez, qui se servait de moi pour obtenir une rançon, enfin, c'est ce que j'ai entendu. Dès qu'il a ouvert la porte, j'ai fais un bond en l'air. Je me suis mise debout et j'ai couru comme une folle vers la porte d'entrée, qui s'avérait ne pas être fermée. Et cette fois là, j'espérais ne pas me faire attraper.
La ville est vraiment immense, aucun doute la dessus. Je répèterais ce que j'ai dis l'an dernier.. C'est trop grand pour une petite fille comme moi ! Et vêtue d'une simple robe d'été, en plein.. automne ? Ce n'était franchement pas l'idéal. La ville était pleine de voitures et de gens en costumes. D'après ce que me disait maman, c'est gens la sont des "businessman", quelque chose comme sa. Pour passer inaperçue, je suis allée dans une petite ruelle. C'est la que j'ai vu un vieux calendrier, par terre, avec un genre de montre analogique. 29 février... C'est mon anniversaire ! Je n'ai plus huit, mais neuf ans ! J'ai passé mon année entière dans une cave mal chauffée, à subir les colères de cet affreux Dominguez, à manger du pain rassis et je... Je veux rentrer chez moi ! Je me suis remise à pleurer, mais était-ce vraiment raisonnable, lorsque je sentais un regard peser sur moi ? Un homme (ou une femme ? Oui, plutôt..) m'a empoigné par le bras, et m'a trainé dans la ruelle sombre jusqu'à une jolie petite maison accueillante, malgré son emplacement.


Durant les dernières années, de mes neufs à seize ans, j'ai vécu une existence normale, cachée dans la maison de cette mère adoptive. Keira Knightan, jeune femme de vingt quatre ans, qui a toujours rêvé d'avoir un enfant. Enfin, aujourd'hui, elle a trente et des brouettes, mais je l'aime quand même. Cette ville s'appelle New York. C'est la grande pomme, et oui ! Et je vais au lycée ici ! Je suis en première, là, en fait ! Et mon plus grand rêve, c'est de devenir maquilleuse ou coiffeuse.. La mode, sa m'intéresse ! J'ai aussi commencé à aller dans des fêtes, privées ou non, où l'on m'invite. Je suis assez populaire dans mon lycée, donc on m'invite assez souvent, ce qui m'attire les foudres dans autres filles !
Mais jamais un jour je n'aurais pensé qu'en rentrant chez moi, devant la maison, j'aurais trouvé ces ambulances et ces pompiers, avec ma mère sur un des selles. Selon les dires, c'était l'un des hommes qu'elle fréquentait qui l'avait battu à mort. Un sentiment de culpabilité s'est emparé de moi, bien que je sache que je n'ai rien à voir la dedans. Je ne suis jamais allée sur sa tombe, même pas à son enterrement. Mais d'un autre côté, j'ai changé de comportement avec les hommes. Je les prends, je les jette, je n'en trouve jamais un qui me plaise. Cela me désespère, j'ai peur de finir comme ma "mère". J'ai continué d'aller aux fêtes, mon lieu de "chasse" habituel. Et tant bien je les manipulais, qu'au bout d'un moment, je me suis mise à pleurer. Car j'en ai marre d'exprimer de la compassion envers mes "proies". J'en ai marre d'entendre "Ne fais pas ce que tu ne veux pas que l'on te fasse". Mais malgré tout, je n'ai pas changé d'habitude, même en lisant les ragots de Gossip Girl auquel je pourrais avoir un jour à faire.. J'ai suivi ma voie, et j'attends peut être celui qui saura me faire changer .


Dernière édition par Kyylia C. Mondery le Sam 8 Jan - 19:42, édité 2 fois

Je te souhaite une Bienvenue (:
Bonne chance pour la suite de ta fiche.
Si tu as des questions n'hésite pas

Bienvenue Magnifique Clémence !!!!

Bienvenue ! Le début me met l'eau a la bouche si l'on peut dire. Bonne Chance et encore Bienvenue ! CLEMENCE

Bienvenue !
Clémence <3
Bonne continuation pour ta fiche ! (:

Je te valide miss (:
Bon jeu

De rien (:

J'ai même pas eu le temps de venir te souhaiter la bienvenue ! :O
Alors, en retard, bienvenue parmi nous ; )
Amuse toi bien !

J'adore ta fiche <3

Thank's