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Une rencontre brutale

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MessageSujet: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Ven 7 Jan - 22:11

Une rencontre brutale Kriste10Une rencontre brutale Untitl11

La nuit tombait sur New-York, tout comme la pluie. C’est en tout cas ce que je pus constater en sortant du bar où je travaillais. Dommage, je n’avais pas pensé à prendre un parapluie. Et, étant donné le trajet que j’avais à faire pour rentrer chez moi, j’allais être complètement trempée. Je poussais un léger soupir, puis commençais à marcher sous la pluie battante.
Quelques minutes sous ce temps suffit à me tremper jusqu’au os, sans compter l’air hivernal qui me malmenait. J’étais totalement frigorifiée.
C’est alors que quelqu’un me poussa violement sur le trottoir en s’emparant de mon sac à main. Puis, il se mit à courir. Evidement, avec ce temps c’est tout juste si j’arrivais à le distinguer, ce qui ne m’empêcha pas de foncer tête baissé à sa poursuite.
Je rythmais ma course par des « Au voleurs », et des « Rattraper-le ! », mais les gens qui m’entendaient ne faisaient que s’écarter de mon passage sans m’aider réellement. C’était toujours mieux que rien, pensais-je avant de foncer droit dans une jeune femme. A cause de la pluie et trop occupée par mon voleur, je ne l’avais pas vue. Ainsi, surprises toutes les 2, nous tombâmes par terre sous la violence du choc. Je ne pus retenir un juron.
Je me levais promptement afin de scruter les alentours à la recherche de mon voleur. Pff. Peine perdue, avec ce temps aucune chance. Je reportais donc mon attention sur la jeune femme que je venais de faire tomber et l’aida à se relever.

-Je suis vraiment désolée, est-ce que ça va ? Demandai-je.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Ven 7 Jan - 23:08

Je venais de sortir du coiffeur et il faut dire que ce n'était pas vraiment le bon moment parce que la, il pleuvait et pas qu'un peu d'ailleurs mais bon, j'avais déjà pris ce rendez vous il faut dire. Je l'avais pris depuis déjà une semaine alors je n'avais pas spécialement envie de le repousser à cause de la pluie sachant que c'était la saison et il me fallait une nouvelle coupe, après les fêtes, du changement pour cette nouvelle année quoi. Oui, j'avais en réalité prévue de changer que ce soit physiquement ou alors pour mes problèmes dont la plupart était réglés, restait seulement pour le moment l'affaire de mes parents mais bon. Je laisserais faire le temps et peut être que cela s'arrangerait par la suite mais il était hors de question que je me prenne la tête désormais pour des problèmes, ca m'avait déjà ruiné le moral pour celle d'Alexander. Enfin bref, j'avais opté pour me faire une coupe juste un peu plus courte, pas un grand changement et peut être éclaircir un peu plus mes cheveux mais il n'y avait pas de grand changement. J'avais mon sac à main puis je venais de sortir alors mon parapluie car je ne voulais pas mouillé cette nouvelle coiffure, ce serait du gâchis et puis, je n'avais pas envie de me tromper non plus. Alors que je sortis, j'entendais une fille sortir des "au voleur" et "au secours" mais je ne voyais pas d'où venait ces cris donc je continuais d'avancer. J'avais sortis quelques secondes mon portable en tenant avec l'autre main mon parapluie, je vérifiais si j'avais des messages mais non, rien de nouveau alors je le rangeais de nouveau. Je n'avais pas vraiment le temps de m'attarder sur mon portable en étant sous la pluie ni de me mettre à aller sur Facebook dans la rue comme sa, j'avais bien le temps d'y aller en rentrant. Alors que j'avançais, je continuais toujours d'entendre cette personne crié au voleur et au secours et pourtant au fur et à mesure que j'avançais j'avais l'impression que ce bruit était encore plus proche que moi. Était-ce une impression ? A vrai dire, je n'en savais trop rien. Puis, je continuais d'avancer avec mon parapluie, regardant le sol lorsque quelqu'un me bouscula et ce qui fit que je tombais au sol, elle aussi par malchance. De plus, c'était mouillé, zut alors, je ne pus m'empêcher de lancer un petit juron tout de même car je n'avais pas vraiment envie d'être mouillé et pourtant c'était fait. Mais bon, la jeune femme ne l'avait sûrement pas fait exprès après tout, du moins, cela se voyait dans son regard. "Je suis vraiment désolée, est-ce que ça va ? " La jeune femme m'avait tendu la main afin que je me relève et elle s'était en même temps excusé de m'avoir fait tombé puis m'avait demandé si j'allais bien. Je ne lui en voulais pas mais cette voix me semblait familière, j'avais comme l'impression que c'était la voix de la personne qui appelait au secours car on lui avait volé quelque chose. "Ce n'est rien, je ne vous en veux pas et puis ça arrive à tout le monde, je vais bien et merci de m'avoir aidé, vous allez bien aussi ? Dîtes, vous allez sûrement me prendre pour une curieuse mais j'ai l'impression d'avoir entendue cette voix, ce n'est pas vous qui avait appelé à l'aide et au voleur ?"
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Dim 9 Jan - 23:06

-Je suis vraiment désolée, est-ce que ça va ?
-Ce n’est rien, je ne vous en veux pas et puis ça arrive à tout le monde, dit-elle en se relevant (avec mon aide), je vais bien et merci de m’avoir aidé, vous allez bien aussi ?
Comment est-ce possible de faire tomber par terre une personne aussi aimable ? D’abord, elle ne m’en voulait pas, ensuite elle me remerciait (moi, l’idiote qui l’avait mise par terre) de l’avoir aider à se relever alors que sans mon intervention elle ne serait jamais tombée et en plus elle me demandait si j’allais bien. J’avais l’impression de passer pour un monstre à côté d’elle.
-Ne vous inquiétez pas pour moi, je n’en vaux pas la peine, répondis-je le regard légèrement voilé
Ca, c’est certain. Je ne vaux rien. Absolument rien. Car après tout, qui pourrait valoir quelque chose en ayant un statut social aussi faible ? Qui pourrait valoir quelque chose alors que sa mère est morte par sa faute ?
-Dîtes, vous allez sûrement me prendre pour une curieuse, dit-elle interrompant par la même occasion le fil de mes pensées, mais j’ai l’impression d’avoir déjà entendue cette voix, ce n’est pas vous qui avait appelé à l’aide et au voleur ?
Bien, au moins, ma voix vaut encore quelque chose c’est déjà ça. Quoique, il faudrait peut-être que j’arrête de pousser aussi fort sur ma gorge, on ne sait jamais.
-Oui, c’était bien moi. J’étais à sa poursuite quand je vous ai … fait tomber. D’ailleurs, est-ce que vous ne l’auriez pas croisé par hasard ?
Il fallait que j’en aie le cœur net, même si à présent cette information ne me servait plus à rien. A l’heure qu’il est, il devait déjà être loin.
-Je ne sais vraiment pas comment je vais faire…
Je m’arrêtais en plein milieu de ma phrase pour me ronger les ongles, une vieille manie qui me prenait à chaque fois que j’étais stressée. Enfin, autant dire qu’elle me prenait tout le temps…
-Déjà, hors de question d’essayer de retrouver ce voleur, ensuite il faudra que je fasse une déclaration de vol, que je bloque ma carte de crédit et mon portable et enfin, que je fasse changer la serrure de mon studio, dis-je plus à moi-même qu’à la jeune femme. Je poussais un nouveau soupir.
Après tout, ce sac, même s’il était petit, il y avait dedans plein de choses dont j’avais nécessairement besoin, pour survivre. Mon argent, mon permis de conduire, ma carte d’identité, mon portable… Bref que de choses qui vous compliquent la vie quand vous les perdez.
-Rôh ; mais pourquoi je dis tout ça, je dois vous ennuyer avec mes histoires…
Non seulement je la fais tombée mais en plus, je lui fais perdre son temps, c’est vraiment du n’importe quoi… Il faut vraiment que je me ressaisisse. Tout d’abord, il fallait que j’arrive à me faire pardonner sans tout le temps sortir des « désolé », sinon, je vais finir par avoir mauvaise conscience.
-J’aimerai me faire pardonner, dis-je en me tournant vers la jeune femme, je pourrais peut-être…
Je me rendis alors compte qu’elle n’avait toujours pas ramassé son parapluie, et que si ça continuait comme ça, elle allait finir aussi trempée que moi.
-Pour commencer vous rendre votre parapluie, dis-je en le lui tendant tout en faisant un sourire contrit.
Pour commencer ? Oui, car pour moi, ce geste ne suffisait pas à me faire « totalement » excusée.
-S’il y a quoi que ce soit je puisse faire pour me faire pardonner, se sera avec plaisir.
Peut-être que j’en faisais trop, mais comme disait ma mère « Mieux vaut en faire trop que pas assez ». Et puis sérieusement, je voulais aussi repousser le plus longtemps possible le fait que je n’ai encore aucune idée du plan que j’allais prévoir pour trouver un endroit où dormir ce soir. Pourquoi a-t-il fallu que je mette mes clés dans ce sac ?
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Lun 10 Jan - 9:43

Je venais en effet de tomber à cause de la jeune femme mais, non, je ne lui en voulais pas puisqu'elle n'avait pas fait exprès et que dans le fond ca avait l'air d'une personne gentille. Elle m'avait même tendue la main afin de m'aider à me relever alors que d'autre aurait passé le chemin et n'aurait pas fait attention à la personne qu'ils venaient de bousculer. Non, je n'étais pas rancunière à ce point tout de même et puis cela arrivait à tout le monde et j'aurais bien pu moi même la bousculer sans la faire exprès. "Ne vous inquiétez pas pour moi, je n’en vaux pas la peine" Je souris, elle me dit qu'elle n'en vallait pas la peine et à vrai dire je ne comprenais pas pourquoi elle avait dit sa mais je savais qu'à l'intérieur elle avait un bon fond. "Pourquoi vous dîtes sa, je sais très bien que vous n'avez pas fait exprès de me bousculer et que dans le fond, vous ne le vouliez pas me bousculer." Puis, étant donné que j'avais entendue une voix, je trouvais que celle de la jeune fille était la même que celle que j'avais entendue et étant de nature curieuse, je lui avais demandé si par hasard ce n'était pas elle qui avait été volée. "Oui, c’était bien moi. J’étais à sa poursuite quand je vous ai … fait tomber. D’ailleurs, est-ce que vous ne l’auriez pas croisé par hasard ?" C'était donc bien elle et malheureusement, je n'avais pas vu de voleur ou plutôt j'avais vu une personne passé en furie devant moi sans que je ne sache pourquoi et que je n'eusse le temps de réaliser. "Ce n'est rien cette bousculade, encore une fois, je vous le répète et non, enfin j'ai juste vu une furie passé devant moi et j'ai pas eu le temps de réaliser ce qui s'est passé." J'aurais bien voulue l'aidé à trouvé ce voleur mais malheureusement, c'était une furie qui était passé devant moi et je n'avais pas réalisé ce qui s'est passé, juste que cette personne était pressée. "Je ne sais vraiment pas comment je vais faire…" A vrai dire, moi même je ne savais pas comment elle pourrait faire pour retrouvé ce voleur car même en portant plainte, et si elle ne retrouvait plus ce fameux sac à main, le voleur lui serait loin. Après, elle pouvait peut être avoir de la chance mais, je doutais fort qu'elle puisse retrouvé le voleur elle même, à voir si les flics pourront eux le chercher mais il n'y avait aucune certitude."Déjà, hors de question d’essayer de retrouver ce voleur, ensuite il faudra que je fasse une déclaration de vol, que je bloque ma carte de crédit et mon portable et enfin, que je fasse changer la serrure de mon studio" En effet, elle ne devait pas avoir que un stylo dans son sac mais son portable, ses cartes de crédits, ses clés alors il y avait toute chose à faire pour changer tout cela et étant donné que je n'avais rien à faire, je me dis que je pourrais certainement l'aider. "Je peux toujours vous aider." Bien entendu, je me doutais bien que la jeune femme ne me laisserait pas l'aider et qu'elle voudrait faire tout cela toute seule mais tellement il y avait de choses, un petit coup de main serait bien utile. C'était donc pour cela que je voulais l'aider et que j'insisterais auprès d'elle jusqu'à ce qu'elle accepte mon aide et puis, ca lui éviterait donc de courir à gauche et à droite pour les papiers et autre. "Rôh ; mais pourquoi je dis tout ça, je dois vous ennuyer avec mes histoires…" Je lui souris mais non, elle ne me dérangeait pas du tout et encore moins m'ennuyait après tout, ce n'était pas de sa faute si un voleur était par la et qu'il l'avait cambriolé elle alors qu'il y avait toutes sortes de personne ici. Je posais alors ma main sur son épaule en guise de compassion et pour lui dire qu'elle ne m'ennuyait pas, je voyais bien que c'était pas une Gilded Youth mais sérieusement, je me fichais qu'elle soit de la même classe sociale que moi. Jamais une classe sociale ne m'as empêché d'aider les autres. "J’aimerai me faire pardonner [...] je pourrais peut-être… pour commencer vous rendre votre parapluie" Je n'avais même pas remarqué le fait que mon parapluie était tombé aussi dans l'eau, j'étais bien plus préoccupé par les soucis de la jeune femme que le parapluie en lui même malgré que je finirais trempé. Après tout, je me changerais sûrement en rentrant car je détestais me sentir mouiller ou sale et la, c'était bien le cas puisque à cause de la pluie je commençais à être un peu trempé. "S’il y a quoi que ce soit je puisse faire pour me faire pardonner, se sera avec plaisir." Non, elle n'avait rien à faire pour se faire pardonné mais maintenant que je réfléchissais, peut être que si je lui disais que pour se faire pardonné elle devrait me laisser l'aider alors ce serait bon. "Et bien...rien à part que vous devrez me laisser vous aidez et étant donné que vous ne pouvez pas rentré chez vous, venez donc chez moi dormir, c'est mieux que de dormir dehors n'est ce pas ?"
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mar 11 Jan - 23:11

Cette jeune femme, que j’avais fait tombé, et qui avait je dois dire faire une belle chute tout comme moi, se souciait de mon état ? Avec mélancolie, je ne pus m’empêcher de lui dire que je n’en valais pas cette peine.
-Pourquoi vous dîtes sa, je sais très bien que vous n'avez pas fait exprès de me bousculer et que dans le fond, vous ne le vouliez pas me bousculer.
Oui, en effet, je ne l’avais pas voulu, mais ça n’avait pas d’importance, ce qui comptait c’est ce qu’il en advenait, tout comme pour ma mère.
-C’est vrai mais…
Mais tout est si compliqué. Bien sûr que je n’avais pas fait exprès, bien sûr que c’était un accident. Mais. Je me tus en un silence qui voulait clairement dire « je ne souhaitais pas m’étendre sur le sujet », et un regard vers elle me fit savoir qu’elle avait compris. Qu’étais-je en train de faire, réellement ? Parlais-je réellement de cet accident, ou de celui de ma mère ? Puis, me ramenant à ce qui a provoqué cette bousculade, elle me demanda si c’était moi, qui criais il y a quelques instants à peine, et je lui répondis affirmativement. Mais si elle m’avait entendu crier, peut-être avait-elle vu passer mon voleur. C’est la question que je lui posai après avoir très brièvement expliquer pourquoi je l’avais…fait tomber.
-Ce n'est rien cette bousculade, encore une fois, je vous le répète et non, enfin j'ai juste vu une furie passé devant moi et j'ai pas eu le temps de réaliser ce qui s'est passé
Sa réponse me fit légèrement sourire. Apparemment, mon ton n’avait pas sut cacher le fait que je culpabilisais toujours de l’avoir fait tomber. Elle me le répétait ? Encore une fois ? On aurait dit qu’elle voulait que je sois convaincue de ce fait, or, vu ma mentalité aujourd’hui, cela allait être dur. Depuis la mort de ma mère, je culpabilisais de tout et n’importe quoi, mais c’était peut-être la seule façon pour moi d’extérioriser ma culpabilité vis-à-vis de sa mort. Et aujourd’hui, c’était sur cette fille que c’est tombé… « J’ai juste vu une furie passé devant moi et je n’ai pas eu le temps de réaliser ce qui s’est passé» Oui, c’est sûr que lorsque l’on voit quelqu’un courir, on ne se dit pas « Ah c’est sûrement un voleur » ce qui est tout a fait compréhensif. De toute façon, rattraper cette personne était tout simplement inconcevable. J’avais juste besoin de savoir si au moins je m’étais dirigée dans la bonne direction, histoire de consoler mon alter-égo de ne pas avoir réussi à le rattraper. Et c’est lorsque j’envisageais la perte de mon sac, que je commençais à me rendre compte de tout ce qu’il y avait à l’intérieur et des problèmes que ça allait me causer. Je me fis ces réflexions à haute voix, quand la jeune femme intervint de nouveau.
-Je peux toujours vous aider.
M’aider ? Mais pourquoi ? Si quelqu’un devait être redevable envers l’autre c’était bien moi. Malgré tout, elle voulait m’aider ?
-Non, ce n’est pas la peine, vous avez certainement mieux à faire et puis, vous aussi vous devez avoir vos propres problèmes, pas besoin d’endosser les miens avec.
D’ailleurs, qu’est-ce qui m’avait pris de me plaindre à voix haute, elle avait déjà sa vie à gérer. Je souhaitais lui rendre service, ayant l’impression de lui devoir quelque chose, l’unique chose qui m’était alors venue était de lui rendre son parapluie.
- S’il y a quoi que ce soit je puisse faire pour me faire pardonner, se sera avec plaisir.
- Et bien...rien à part que vous devrez me laisser vous aidez et étant donné que vous ne pouvez pas rentré chez vous, venez donc chez moi dormir, c'est mieux que de dormir dehors n'est ce pas ?
Encore ce mot : « aider ». Je ne comprenais pas. C’était moi qui devrait l’aider et non l’inverse. Cette personne devait être vraiment très généreuse pour m’offrir ainsi l’hospitalité. Et qui étais-je d’ailleurs pour mériter ce geste ?
-Vous offririez l’hospitalité à une personne que vous venez de rencontrer ? A une quasi-inconnue ?
On ne connaissait même pas nos noms respectifs. C’était de la folie. J’aurais pus être une psychopathe, ou n’importe quoi, et cette femme m’offrait l’hospitalité, son aide, et pour un peu, son temps ! Mais je devais avouer que c'était tout de même tentant, enfin disons qu'entre dormir dehors et chez elle, c'est sûr que y avait pas photo, malgré tout, ça ne changeait rien à la situation.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mer 12 Jan - 10:12

Il faut dire que j'avais fais une belle chute tout de même et j'étais bien tombé mais, il y avait eu plus de peur que de mal comme on dit et je n'étais pas blessée, non. Elle ne cessait de s'excuser alors que pourtant, ce n'était pas si grave que ca, ce n'était pas un drame le fait qu'elle m'eusse fait tombée. Ce n'avait pas d'importance et pourtant à ses yeux, c'était tout comme, une grande importance et je n'arrivais pas à savoir pourquoi mais je voulais tant l'aider, je ne sais même pas pourquoi d'ailleurs. "C’est vrai mais…" J'allais pour répondre afin d'en savoir plus sachant qu'elle n'avait pas terminé sa phrase qui s'était arrêté sur un mais seulement, elle me lança un regard comme quoi elle ne souhaitait pas en parler. Je la comprenais car pour elle j'étais une inconnue alors allait-elle vraiment révéler ses secrets aux inconnus, je ne pense pas et d'ailleurs je ferais la même chose à sa place donc. Par la suite, elle m'avait demandé si j'avais vu ce voleur qui était passé et en réalité, j'avais vu quelqu'un mais il est partit comme une furie que je n'avais même pas le temps de réaliser. Même si j'aurais voulu prendre une photo pour aider la personne qui s'était faite volé on aurait sûrement rien vu ou alors tellement qu'il est passé vite je n'avais rien su prendre. Bien sûr, les zooms ca existait mais reste à voir si le voleur savait aller plus vite que le flash de l'appareil photo et puis, je ne m'attendais pas à ce qu'il y en ait un sinon j'aurais tenter. Quoique, il faudrait déjà que je traîne avec l'appareil photo dans mon sac et aujourd'hui, ce n'était pas le cas puisque à la base, j'étais seulement sortie pour aller chez le coiffeur et ensuite rentré chez moi, rien de plus. Puis, elle m'avait énoncé toute sorte de choses, de longues choses à faire d'ailleurs à cause de ce vol et je voulais seulement l'aider, il fallait juste qu'elle me laisse faire. "Non, ce n’est pas la peine, vous avez certainement mieux à faire et puis, vous aussi vous devez avoir vos propres problèmes, pas besoin d’endosser les miens avec." Elle avait refusé comme je m'y attendais après tout, oui, j'avais mes problèmes mais ils n'étaient pas comparable avec un vol et pour ce problème, je ne trouvais pas de solutions alors je laisse le temps faire les choses et je verrais par la suite. Je ne pouvais pas forcé mes parents à me reparler après ce qui s'était passé mais je voulais tout de même qu'ils acceptent Alexander, l'homme de ma vie. "Oui, j'ai mes problèmes mais disons qu'ils ne sont pas comparable à un vol et que je dois laissé le temps faire afin qu'ils se résoudent et puis je veux vous aider, vous savez, je suis têtue alors. Et puis, j'aime aider les personnes et ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas de la même classe sociale que je ne les aiderais pas." Elle avait refusé comme je m'en doutais d'ailleurs, mais je savais qu'un peu d'aide ne lui ferait pas de mal puisque je voyais bien qu'elle en avait besoin et ca lui éviterait de courir dans tout les sens. Puis, elle m'avait demandé si il y avait quoique ce soit qu'il faut qu'elle fasse pour se faire pardonner qu'elle le ferait mais, je ne lui en voulais pas pour cette bousculade seulement une idée m'était venue. Ainsi, elle pourrait sûrement accepté mon aide ce que j'espère vraiment car j'avais envie de l'aider, je ne savais pas pourquoi mais je ressentais comme un besoin de vouloir protéger toute les personnes qui m'entouraient. "Vous offririez l’hospitalité à une personne que vous venez de rencontrer ? A une quasi-inconnue ?" C'est vrai que le fait que j'offre hospitalité à une personne qui n'est pas de la même classe que moi et que je ne connaissais pas pouvais attiré les rumeurs de Gossip Girl mais je m'en contrefichais de ce qu'elle allait dire. "Cela peut permettre de faire connaissance et puis vous même avez dit que vous seriez prête à tout pour vous faire pardonner alors ce serait la première chose. La deuxième chose serait que vous me laissez vous aider car je vois bien que vous avez besoin d'aide et sinon, vous allez courir à droite et à gauche pour pouvoir tout faire."
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mer 12 Jan - 17:34

-Non, ce n’est pas la peine, vous avez certainement mieux à faire et puis, vous aussi vous devez avoir vos propres problèmes, pas besoin d’endosser les miens avec.
-Oui, j'ai mes problèmes mais disons qu'ils ne sont pas comparable à un vol et que je dois laissé le temps faire afin qu'ils se résoudent et puis je veux vous aider, vous savez, je suis têtue alors. Et puis, j'aime aider les personnes et ce n'est pas parce qu'ils ne sont pas de la même classe sociale que je ne les aiderais pas
Pourquoi voulait-elle tant m’aider ? J’avais beau lui dire que ce n’était pas la peine, elle ne m’écoutait pas.
Je me demande ce qu’elle voulait dire par « ils ne sont pas comparables à un vol »... Dans tout les cas, et ce malgré ses problèmes, elle voulait m’aider. Et apparemment, elle en était bien décidée. Elle voulait m’aider, elle aimait aider les autres. Ce qui fut pour moi, une autre preuve que c’était une fille bien. J’avais déjà eu cette image d’elle dès le début. Une fille bien. Et Dieu savait que j’avais une idée bien précise de ce qui est bien et de ce qui est mal. Une minute…elle avait bien dit « ce n’est pas parce qu’ils ne sont pas de la même classe sociale que je ne les aiderais pas ». Ce qui voulait dire, qu’elle n’était pas du même milieu que moi, qu’elle ne pouvait donc pas vraiment comprendre les problèmes que j’avais, vu qu’elle, tout finissait toujours par se régler. Après cette pensée, je me sentis à nouveau culpabiliser. Comment pouvais-je la juger ? Alors qu’elle voulait m’aider, tout en sachant de la différence de nos mondes ? Maintenant que j’y pensais, je me sentais bête de ne pas avoir remarqué plus tôt ce fait, car il y avait indéniablement une certaine…classe dans son attitude. Et même dans son apparence, il y avait quelque chose d’assez distingué. Il est vrai que comparé à moi, la différence était frappante. Surtout qu’on ne pouvait pas dire que ce que je portais aujourd’hui datait d’hier. Etant habituée à m’habiller avec des vêtements de seconde main, il est clair que les miens étaient loin d’être de très bonne qualité. Enfin, c’était toujours ça de prix. Et il a en plus fallut qu’il pleuve, ce qui n’arrangeait en rien à la comparaison de nos 2 personnes que je m’évertuais à faire tout en la détaillant du regard. Car contrairement à elle, moi j’étais toute trempée, ce qui faisait que de 1 j’avais mes vêtements qui me collaient à la peau, ce qui n’étais pas vraiment une sensation très agréable, et de 2, que les bouclettes que j’avais réussi à faire avec mes cheveux étaient tout à fait fichu. Ce qui faisait qu’à présent, j’avais une coupe limite toute plate. Mais bon, la question n’était pas là. La question est et restera toujours :
-Mais pourquoi voulez-vous tant m’aider ?
C’est vrai quoi, même si elle était sans doute très gentille, et qu’elle aimait aider les gens, je ne voyais pas pourquoi elle voudrait m’aider. Car après tout, tant d’autres personnes avaient besoin d’aide dans le monde, et c’est à moi que l’on m’accordait cette aide. C’était incompréhensible. Je n’avais pas demandé d’aide, même si je devais reconnaître, que me laisser être aidée était assez tentant. Mais, se serait malhonnête de ma part de la laisser faire. Moi, je voulais juste la remercier pour sa gentillesse et sa compréhension vis-à-vis de sa chute. C’est alors qu’elle me proposa de venir dormir chez elle pour la nuit, pour m’aider.
-Vous offririez l’hospitalité à une personne que vous venez de rencontrer ? A une quasi-inconnue ?
-Cela peut permettre de faire connaissance et puis vous même avez dit que vous seriez prête à tout pour vous faire pardonner alors ce serait la première chose. La deuxième chose serait que vous me laissez vous aider car je vois bien que vous avez besoin d'aide et sinon, vous allez courir à droite et à gauche pour pouvoir tout faire.
Bon c’est vrai, que j’allais devoir ramer pour trouver un autre plan que dormir dans mon lit ce soir, vu que d’un seul coup, je me retrouvais sans studio. Je poussais un soupir rien qu’à cette pensée. Et c’est aussi vrai que si je n’accepte pas sa proposition, c’est uniquement par politesse. En même temps, on se connaissait à peine, et le fait qu’elle prenne autant de risques pour une inconnue en pleine connaissance de cause était tout à fait étrange. Avait-elle vraiment conscience de ce qu’elle faisait à cet instant précis ?
Je savais que si je continuais à refuser son aide, elle finirait par me faire flancher, vu sa détermination. J’optais donc pour un simple compromis.
-Ecoutez, j’apprécie vraiment le fait que vous voulez me venir en aide, et pour vous remercier de votre gentillesse, je vous propose un compromis, je vous ramène jusque chez vous, où nous pourrons faire connaissance pendant le trajet, et si je ne trouve vraiment aucune solution j’accepterais votre offre. Qu’en pensez-vous ?
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mer 12 Jan - 18:28

La jeune femme m'avait dit qu'elle refusait mon aide car je devais sans doute avoir mes problèmes et je n'allais pas le nier, j'en avais bien des problèmes mais pour le moment ils ne pouvaient se résoudre. Je me demandais pourquoi je voulais autant l'aider aussi mais je ne savais pas, après tout même si ca aurait été une autre personne, j'aurais voulue l'aider aussi sans encore une fois savoir pourquoi. Et puis, j'étais assez têtue alors je continuerais d'insister si la jeune femme ne me laisserait pas l'aider ce que je doutais fortement, qu'elle ne me laisserait pas faire et ce ne serait pas de si tôt qu'elle abandonnera cette tentative. Je savais aussi que ce que j'avais dis, elle ne le comprendrait pas, du moins j'avais dis que mes problèmes n'étaient pas comparable à un vol et c'est vrai d'ailleurs, on ne peut pas comparer des problèmes de famille à une personne qui se fait voler n'est ce pas ? Je lui avais aussi dis que ce n'était pas parce qu'elle n'est pas de la même classe sociale que moi que cela devrait m'empêcher de l'aider. Oui, j'avais remarqué qu'elle n'étais pas de même classe sociale à cause de son attitude, ses vêtements, enfaite nous étions différentes mais cela ne m'empêchait pas d'être amie avec des personnes de classe plus basse que moi. J'avais même une meilleure amie qui pourtant ne faisait pas partie des Gilded Youth alors ne pourrais-je pas aider la jeune femme juste parce que elle n'est pas une Gilded Youth comme nous sommes nommés ? C'était absurde. Bref, ma coiffure était un peu gâchée, je sortais du coiffeur mais ce n'était rien, je laverais certainement mes cheveux en rentrant et puis cela enlèverait les petits cheveux qui étaient restés. "Mais pourquoi voulez-vous tant m’aider ? " Il est vrai, pourquoi je voulais autant l'aider mais je ne savais même pas que répondre à la jeune femme sur sa question, je ne savais même pas pourquoi je voulais l'aider, juste que je le voulais et c'était tout. Elle devait certainement se dire qu'il y avait pleins de monde sur cette terre et que pourquoi je voulais l'aider elle et pas une autre personne mais que voulez vous que je réponde à cela ? "A vrai dire, moi même je ne sais pas mais j'ai un côté assez protectrice et lorsque je vois qu'une personne à besoin d'aide alors je veux l'aider. Je sais pas comment expliqué ca car c'est assez étrange mais j'ai vu que vous avez besoin d'aide et du coup, j'ai envie de vous aider, enfin voila c'est compliqué à expliquer." Je n'avais pas su lui expliqué mais j'espérais qu'elle comprenait le peu que je voulais lui faire comprendre soit que j'avais cette envie de la protégé en faite il y avait rien à comprendre plutôt. Puis, elle m'avait ensuite demandé si j'offrirais hospitalité à une personne que je ne connaissais pas ou alors que je connaissais à peine et pourtant, oui, je le ferais puisque c'était même ce que je lui proposais. Non, je n'avais pas peur après tout elle venait de se faire voler et puis, je voyais bien qu'elle n'était pas méchante même si elle m'avait bousculée sans le faire exprès, alors, ca ne voulait rien dire du tout. "Ecoutez, j’apprécie vraiment le fait que vous voulez me venir en aide, et pour vous remercier de votre gentillesse, je vous propose un compromis, je vous ramène jusque chez vous, où nous pourrons faire connaissance pendant le trajet, et si je ne trouve vraiment aucune solution j’accepterais votre offre. Qu’en pensez-vous ?" Elle me proposait donc un compromis seulement, avait-elle déjà oubliée qu'elle n'avait plus de clé alors comment voulait-elle pouvoir rentré en voiture si elle n'avait pas de clés. De plus, j'avais ma voiture qui était garée pas loin de la à pied donc, je n'allais tout de même pas la laisser sa pour revenir la chercher un autre jour, c'était complètement débile après tout. "Et bien, j'ai ma voiture qui est garée pas loin d'ici et puis vous n'avez plus vos clés de voiture alors vous ne pouvez pas conduire."
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mer 12 Jan - 23:15

-Mais pourquoi voulez-vous tant m’aider ?
-A vrai dire, moi même je ne sais pas mais j'ai un côté assez protectrice et lorsque je vois qu'une personne à besoin d'aide alors je veux l'aider. Je sais pas comment expliqué ca car c'est assez étrange mais j'ai vu que vous avez besoin d'aide et du coup, j'ai envie de vous aider, enfin voila c'est compliqué à expliquer.
Moi, je ne trouvais pas que se soit si compliqué, enfin, si j’ai bien compris, sa nature protectrice fait qu’elle sent le besoin d’aider une personne en difficulté. Enfin, j’espérais bien comprendre. Il est vrai que c’est assez étrange, mais, ce trait de caractère ne m’étonnait pas vraiment de sa part, j’avais d’ores et déjà compris que c’était une fille bien. Et les gens biens veulent se rendre utiles, aider. Je me mis alors soudain à me demander ce que j’étais, moi. Etais-je vraiment une « fille bien » ? Certes je n’étais pas de nature méchante, mais étais-je vraiment quelqu’un de bien ? Bien sûr que non…
Quand elle me proposa alors de m’héberger pour la nuit, cela ne fit qu’amplifier cette impression. Et je me mis à me demander, ce que moi j’aurais fait si la situation avait été inverse ? Lui aurai-je vraiment fait cette proposition ? On ne fait pas de pareilles propositions à quelqu’un que l’on venait à peine de rencontrer, et même si j’étais quelque peu naïve, je n’aurais certainement pas fait ça sous prétexte que la personne que j’avais devant moi était « quelqu’un de bien ». Peut-être que j’étais trop méfiante, ou peut-être que c’était elle qui était trop confiante, voir inconsciente. Ou alors, c’était simplement pour me venir en aide, ce dont je ne pouvais absolument pas contester. Ca doit être ça. C’est ça, qui différencie les gens biens des gens comme moi, eux pensent toujours que les autres sont comme eux, « des gens biens ». Or c’est faux, totalement faux. La preuve, si j’étais vraiment quelqu’un de bien, je ne serai pas en train de me poser toutes ses questions. Je lui rendis alors compte d’un compromis, et oui, car je veux bien essayer d’être quelqu’un de bien, mais je reste tout de même sur mes gardes.
-Et bien, j'ai ma voiture qui est garée pas loin d'ici et puis vous n'avez plus vos clés de voiture alors vous ne pouvez pas conduire.
Ah zut ! J’avais complètement oublié ce détail. Enfin, j’avais compté faire le chemin en métro, mais je ne pense pas que les Gilded Youth se déplacent ainsi. Et ça y est, ça recommence, mes préjugés me reprennent, ça aussi ça doit être une sérieuse différence entre elle et moi. Elle avait sûrement était bien éduquée, pour ne pas ressentir ce genre de chose, la preuve, elle voulait m’aider en connaissance de ma classe sociale… En plus, se déplacer en voiture était beaucoup plus confortable qu’en métro. Je me contentais donc d’hocher la tête, pour lui faire comprendre que ma réponse était affirmative. Je la suivais donc, et il y eut comme un blanc dans la conversation. C’est alors que je me rendis compte que je ne connaissais même pas le nom de cette jeune femme, et qu’elle non plus ne connaissait toujours pas le mien.
-Ah, au fait, je m’appelle Emmy, Emmy Stone.
Bon, au moins, cette phrase aura eut le mérite de rompre le silence qui s’était furtivement installé.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Jeu 13 Jan - 0:18

La jeune femme m'avait demandé pourquoi je voulais autant l'aider et c'est vrai qu'elle n'étais pas la seule sur Terre alors elle devait certainement se demandé pourquoi je voulais l'aider elle et pas une autre personne. Il est vrai que c'était bizarre mais je ne savais même pas, j'avais juste ce côté protectrice qui faisait que je voulais aider toute les personnes et puis voila, je ne voyais pas d'autres solutions. Et puis, je n'allais pas non plus aider une personne de méchante car je n'étais pas folle et je savais très bien que Emmy ne faisait pas partit de ses voleurs ou autre personnes méchantes. Après tout, si elle l'était, pourquoi aurait-elle appelée au secours lorsque on lui avait volé son sac et je savais qu'elle ne ferait pas semblant. Non pas que je la connaissais car non, je venais de faire sa connaissance la dans le Staten Island car elle m'était rentrée dedans et que j'avais eu ce besoin de l'aidé même si ce n'était pas encore fait. Je me demandais aussi comment réagirait d'autre personnes si cela m'arrivait à moi même et à vrai dire je n'en aurais sûrement pas la réponse quoique je savais que certains de mes proches étaient prêt à m'aider. Heureusement d'ailleurs qu'ils étaient la puisque cela prouvait que c'était de de véritables amis pas comme certaines personne et je ne me laisserais jamais marcher sur les pieds par mes faux amis, non. Certes, j'avais tout de même proposer à la jeune femme de l'héberger et alors, lorsqu'on allait à l'hôtel on ne connaissait pas non plus le personnel et autre, enfin bon ce n'était pas pareille. Mais, je n'avais pas peur et je me doutais que c'était une très bonne personne d'ailleurs, je ne voyais pas pourquoi j'aurais peur alors qu'elle ne m'avait rien fait du tout. Ce n'était pas parce qu'elle m'avait bousculée et que j'étais tombée que je devais me méfié et avoir peur d'elle à tout prix, c'était complètement bête. Puis, la jeune femme m'avait proposée un compromis pour ce que je lui avait proposé mais elle n'avait pas de voitures, enfin je ne me doutais pas qu'elle me proposait de rentré en métro à vrai dire. Mais ca ne changeait pas au fait que j'avais laissé garé ma voiture et que je n'avais pas vraiment envie de venir à pied jusqu'à ici juste pour la recuperer alors que je pouvais tout de même rentré avec aujourd'hui même. Puis, Emmy avait donc hoché la tête pour me dire qu'elle acceptait chose qui me fit sourirre et donc, j'avançais avec elle en direction de ma voiture, du moins de l'endroit où elle était garée. Un blanc s'était d'ailleurs posé entre moi et la jeune femme durant le trajet jusqu'au parking mais, Emmy écida donc de briser ce blanc en me disant comment elle s'appelait car il est vrai que du coup, on ne s'était même pas présentée toute les deux. "Ah, au fait, je m’appelle Emmy, Emmy Stone." Je souris lorsque la jeune femme se présenta et on venait d'ailleurs d'arriver jusqu'au parking alors je sortais les clé s de mon sac afin d'ouvrir la voiture et de laisser la jeune femme entrer. "Enchanté Emmy, moi c'est Chelsea..Chelsea Atwood"
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Dim 16 Jan - 20:26

-Enchanté Emmy, moi c’est Chelsea..Chelsea Atwood, dit-elle en m’ouvrant la portière côté de passager de sa voiture.
J’hochais la tête qui signifiait, « moi de même » et entrai dans la voiture. Elle, non, Chelsea alla ouvrir la portière coté conducteur et de s’installa. Il faudra que je m’habitue à placer ce prénom sur son visage. Aussi bizarre que cela puisse être, je m’étais imaginée qu’elle aurait pu s’appeler je ne sais pas…Christelle ? Ou du moins un truc du genre. Je mis ma ceinture de sécurité, tandis qu’elle démarrait le moteur. Je me demandais quel âge Chelsea avait. A vu de nez, je lui en donne 20. Ou peut-être plus.
-Dites, j’aimerais savoir, quel âge avez-vous ?
Posée comme ça, j’avais l’impression de lui demander quelque chose d’indiscret. Alors, avec le vouvoiement en plus, ça faisait franchement bizarre. Je me remis donc à me ronger les ongles tout en espérant faire un peu plus preuve de tact…
Le paysage défilait derrière la vitre, et comme de par hasard, c’est quand je me trouvais dans la voiture de Chelsea qu’il avait cessé de pleuvoir. Sa voiture… Oh, zut ! Mais moi, j’étais toute trempée, et j’étais en train de la mouiller, sa belle voiture. J’allai me remettre à me ronger les ongles quand je vis que je n’en avais plus. Oh, la poisse !
Je pris alors l’initiative de me calmer, de toute manière, ce n’était que de l’eau ; et de continuer à regarder par la vitre. New-York… J’ai toujours pensé qu’ici, c’était le monde de la nuit qui était le plus agité. Ce n’est pas comme dans les autres villes où la vie s’arrête à partir 9h du soir. Ici, la vie, elle ne fait que commencer à cette heure là. Les rues étaient pleines de monde, beaucoup de bâtiments étaient encore ouverts. Et je pouvais voir tout cela à travers cette vitre. Je voyais bien Chelsea faire partie intégrante de ce monde, et me demandait soudain si je ne la dérangeais pas dans le programme de sa soirée. Qui sait, elle avait peut-être prévu autre chose ? J’allais lui demander, puis me ravisa, de toute façon, ça ne servirait à rien de lui poser la question. Ma tête, toujours contre la vitre, je continuais ma contemplation. Plus les rues défilaient, et plus je pressentais que j’allais devoir accepter la généreuse proposition de Chelsea. Mais je voulais au moins en savoir un peu sur sa personne, je ne sais pas ; quelque chose.
-Parlez-moi un peu de vous, dis-je brusquement. Je ne sais pas moi, votre couleur préférée ou alors si vous aimez les chiens ou…
Je m’arrêtais. « Si vous aimez les chiens » ? Mais pourquoi est-ce que j’ai sorti un truc pareil. Je me sentis alors rougir, mais alors très très sévèrement. Je poussais un soupir, lassée de ma bêtise.
-Enfin, vous voyez quoi.
Elle ne devait absolument pas voir du tout. Ou alors, me prendre pour une vraie cinglée. Enfin, on ne se refait pas.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Dim 16 Jan - 22:38

Nous étions arrivés à ma voiture puisque j'avais dis à Emmy que l'on rentrerait en voiture et en même temps, elle n'avait plus de clés pour rentrer que ce soit pour dormir ou autre alors. Puis, je ne me voyais pas laissé la jeune femme la alors que celle ci n'avait même plus d'argent ni rien pour se loger du moins pour ce soir puisqu'on lui avait volé ses clés et que ce n'était certainement pas aujourd'hui qu'elle en aurait d'autre. La jeune femme avait donc commencé par se présenté lorsque nous étions sur le chemin, pour effacer le silence qui s'était imposé depuis que nous étions partit, elle m'avait dit qu'elle s'appelait Emmy. Je l'avais donc laissé entré dans la voiture en allant ouvrir ensuite ma portière pour moi même rentré dans la voiture et je rentrais la clé dans le contact en mettant ensuite mon parapluie par terre, derrière. "Dites, j’aimerais savoir, quel âge avez-vous ?" Je venais de commencé de démarrer que la jeune femme venait de me demander mon âge, à vrai dire ca ne me dérangeait pas et puis, elle allait tout de même dormir chez moi ce soir non ? Puis ce n'était pas non plus comme si je croisais une personne dans un magasin et que celle ci me regarde en demandant cela, la je réagirais certainement pas de la même façon. "J'en ai vingt deux et vous ?" Je me demandais donc son âge et à mon avis, elle n'était pas loin de l'âge que moi même j'avais c'est à dire vingt deux ans, je pense qu'elle avait elle aussi aux alentours des vingts. Enfin, elle me paraissait tout de même jeune alors je la laissais répondre tandis que moi je continuais le chemin jusqu'à chez moi, je savais que en rentrant je commencerais par me changer et me secher les cheveux.

Parlez-moi un peu de vous. Je ne sais pas moi, votre couleur préférée ou alors si vous aimez les chiens ou… Je fus étonné de sa question enfin, pas la question en elle même puisqu'elle voulait en savoir un peu plus sur moi mais plutôt qu'elle me demande ma couleur préférée ou si j'aimais les chiens. Ce n'était pas tellement le genre de question que l'on posait à une personne lorsque l'on voulait en savoir plus sur elle du moins c'était plutôt ce que les petits se demandaient entre eux. "Ce n'est pas vraiment le genre de questions que l'on pose mais si vous voulez savoir ma couleur préférée est le violet et oui j'aime les chiens enfin j'ai plutôt un chat chez moi, j'espère que ca ne pose aucun problème ?" En effet, je l'invitais à dormir chez moi mais je ne voulais pas qu'elle se sente mal et puis, elle était peut être allergique au poil de chats alors autant ne pas prendre de risque avec sa et lui demander. "Enfin, vous voyez quoi." En effet, je voyais que ce n'était pas vraiment les questions qu'elle avait voulue me poser mais je me demandais maintenant ce qu'elle voulait réellement savoir. "Vous voulez savoir quoi exactement ?" C'est vrai, autant qu'elle me dise ce qu'elle souhaitait réellement savoir et je pourrais ensuite lui répondre à sa question, du moment que ce ne soit pas quelque chose de trop personnelle quoi.

Nous étions enfin arrivé jusqu'à devant chez moi alors je me garais donc et fit signe à Emmy que l'on pouvait sortir puisque nous étions arrivés à destination. Je récuperais alors mon parapluie qui était, jusqu'à maintenant, posé au derrière de la voiture, au sol puisqu'il était trempé à cause de la pluie. Je m'approchais alors ensuite devant l'immeuble avant de passer mon pass pour pouvoir entré et je poussais la porte afin de laissé entré Emmy. Nous empruntons ensuite l'ascenseur afin d'arrivé jusqu'à devant ma porte que j'ouvris aussi en laissant passé la jeune femme et refermant par la suite la porte derrière nous. "Nous voila arrivés, enfin je pense que l'on peut se tutoyer si vous le voulez bien entendu puisque après tout, vous allez dormir la et, j'ai l'impression d'être vieille à cause du vouvoiement.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Lun 24 Jan - 23:18

Elle avait donc 22 ans.
-Vous faites plus jeune ! Ris-je, ce qui était à l’évidence un compliment à son égard.
Si elle faisait jeune, c’était surtout grâce à sa classe, tout à fait indescriptible. A ses vêtements, on voyait bien qu’elle suivait la tendance, elle avait les moyens pour se le permettre. Mais sachant que moi, je n’étais doté ni de classe ni d’affaires « tendances », ferais-je plus vieille ?
-Quant à moi, j’ai 18 ans.
Et à 18 ans, je trouvais encore le moyen de poser des questions totalement stupides. Elle sembla surprise de la question -totalement stupide- que je venais de lui poser, mais y répondit tout de même.
-Ce n'est pas vraiment le genre de questions que l'on pose mais si vous voulez savoir ma couleur préférée est le violet et oui j'aime les chiens enfin j'ai plutôt un chat chez moi, j'espère que ca ne pose aucun problème ?
Elle avait donc un chat. Personnellement je ne les appréciais pas beaucoup, les trouvant toujours avec un petit air supérieur, caractéristique de la gente féline. Mais bon, je n’allais pas chipoter pour si peu. Et puis, je n’ai aucune allergie envers eux. Du moins à ma connaissance.
-Non ça ne pose aucun problème, souris-je.
Ce qui était en réalité un demi-mensonge.
-Vous voulez savoir quoi exactement ?
Ce que je voulais savoir, le strict minimum sans doute, ou peut-être tout. Bien sûr, cela aurait été quelque peu mal élevé de dire une chose pareille, je me demandais donc ce que je voudrais bien savoir par-dessus tout. Ah, je sais, enfin, même si ça ne conduit à rien d’intéressant, il vaut mieux que je demande.
-Par exemple, vous habitez où exactement ?
Oui, il fallait bien que je sache, car il ne faut pas oublier que si je dois repartir, il serait tout de même assez pratique de savoir où je me trouve.
-Et est-ce que vous vivez seule ?
Ca aussi c’était une chose à savoir, si ça trouve, elle vivait avec son copain, où encore chez ses parents, et dans les 2 cas ma présence pourrait gêner. Qu’est-ce que je voudrais savoir d’autre ? Non, ce n’était pas la bonne question. La bonne question serait « qu’est-ce que j’avais le droit de poser d’autre qui ne paraîtra pas trop indiscret ?». Je n’en avais aucune idée. Alors je préférais simplement dire :
-Pour votre question de tout à l’heure, sur ce que je voulais savoir exactement sur vous, vous paraîtra-t-il impoli, si je vous demandais simplement tout ce que vous seriez prête à me dire sur votre personne ?
En gros, tout ce qui n’est pas trop personnelle à ses yeux. Je savais que ma réponse était vague, pourtant, c’était la vérité. Curieusement, je me suis surprise à être un peu intrigué par Chelsea. Certes, je savais comment elle s’appelait et son âge, mais, ce n’était pratiquement rien. J’étais vraiment trop curieuse, et j’avais toujours eu le chic de me mêler de ce qui ne me regardait pas. Et le plus souvent, cette curiosité l’emportait sur ma timidité et je me mettais à dire parfois des âneries -comme cette question stupide- sans pour autant que ça me peine. De toute façon, c’était elle qui m’avait demandé ce que je voulais savoir, alors je lui répondais. Tout simplement.
Depuis que nous étions dans cette…non, dans sa voiture, c’était toujours moi qui posait les questions, comme dans un interrogatoire ; à cette pensée je me mis à sourire. Alors que Chelsea avait peut-être elle aussi envie de savoir des choses sur moi ? Comme d’habitude j’avais du être un vrai moulin à parole sans la laisser en placer une. C’était toujours comme ça lorsque j’étais un peu stressée.
C’est alors, qu’elle gara la voiture et me fit signe que nous étions arrivées et que je pouvais donc sortir de la voiture. Bon, je vais dormir chez elle, à présent, je ne pouvais absolument pas faire autre chose. Je vais donc tâcher de me faire le plus petit possible, histoire de ne pas la déranger. Je la suivie donc, entrait dans un immeuble, dans un ascenseur, et j’étais toujours à ses basques lorsqu’elle ouvrit sa porte. Elle me laissa entrer avant de le faire à son tour et de refermer sa porte.
-Nous voila arrivés, enfin je pense que l'on peut se tutoyer si vous le voulez bien entendu puisque après tout, vous allez dormir la et, j'ai l'impression d'être vieille à cause du vouvoiement.
C’est clair que si je dois dormir chez elle, la vouvoyer serait un peu bizarre. J’hochais donc la tête affirmativement avant de me remettre à sortir une ânerie, faute de savoir quoi sortir d’autre.
-Il faudra que je m’entraîne toute la soirée avant de réussir à vous…euh je veux dire à te tutoyer.
Je ris de la bêtise de ma phrase, encore une de mes vaines tentatives d'humour.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Mar 25 Jan - 17:23

La jeune femme m'avait donc demandé mon âge et je lui avais dis en toute franchise, après tout, je ne voyais pas pourquoi je devrais lui mentir et puis, j'étais tout de même fière de mon âge. Je ne me trouvais pas vieille non plus, c'était juste parfait et je savais que dans peu de temps j'en ferais encore un an de plus, et que c'était aussi à fêter, en tous cas moins que mes dix huit ans. "Vous faites plus jeune !" Je souris car en effet c'était souvent ce que l'on me disait que je faisais plus jeune que mon âge et c'était vrai, je trouvais aussi que je ne faisais pas mes vingt deux ans mais cela ne me dérangeait pas. "Merci, c'est vrai, c'est ce qu'on me dit." Puis, j'avais retourné la même question à la jeune femme en lui demandant quel était son âge mais je me disais bien qu'elle était proche du mien. Quoique, finalement, je me dis que c'était plutôt dans les environs de dix huit voir même dix neuf ans peut être. "Quant à moi, j’ai 18 ans." Je souris, je n'étais donc pas tombé bien loin après tout, et d'ailleurs il faut dire que la jeune fille faisait plus jeune que moi c'était sûr et certain. "J'étais pas loin alors, je vous avais donné dix huit ou voir dix neuf ans d'ailleurs mais en tous cas ce qui est sûr c'est que vous faîtes plus jeune que moi d'ailleurs et vous l'êtes aussi." En suite, la jeune femme m'avait demandé mon âge et d'autres questions de ce genre, c'est à dire des questions pour tenter de me connaître. Elle m'avait donc demandé si j'avais un animal et je lui avais dis que j'avais un chat, ce qui était vrai mais je ne voulais pas que ca lui pose un problème ou autre car elle venait tout de même dormir chez moi pour la nuit et ce n'était pas rien, je ne voulais pas qu'elle se sente mal à l'aise. "Non ça ne pose aucun problème" J'avais donc hoché positivement de la tête en guise de ok mais puisque j'étais concentré sur la route alors je ne pouvais pas trop la regarder ni quoique ce soit, après tout, ce serait bête de faire un accident non ?

Emmy m'avait ensuite demandé des choses enfin elle voulait plutôt que je lui parle de moi mais je ne savais pas trop que lui dire sur ma vie et le plus simple serait qu'elle me pose des questions non ? Je lui avais donc demandé ce qu'elle voulait savoir précisément sur moi, ce qui me donnerait donc une piste sur quoi lui répondre. "Par exemple, vous habitez où exactement ?" C'est sûr que elle allait tout de même venir dormir chez moi alors le mieux serait aussi que je lui dise où j'habite surtout que si ca se trouve elle ne connaissait pas vraiment le coin. En tous cas, elle n'avait pas l'air de connaître puisque sinon elle ne m'aurait pas posé cette question et surtout, à ce que j'avais appris, elle prenait les transports alors en transports on ne pouvait pas vraiment voir le paysage et tout autre choses. "J'habite dans l'Upper East Side" Maintenant, je savais que si elle me posait une question sur cet endroit c'était qu'elle ne connaissait pas le coin et à mon avis, elle n'habitait pas la bas puisque je voyais qu'elle avait une classe sociale plus basse que la mienne. Attention, je ne disais pas non plus qu'elle était pauvre et qu'elle vivait dans la rue seulement, qu'elle n'habitait pas dans les coins pour les personnes dont la classe est assez aisée tout de même. Puis, la jeune fille avait enchaîné par une autre question, je voyais bien qu'elle était curieuse après tout, moi aussi mais j'étais moins curieuse qu'elle enfin, cela restait à voir et à prouver. "Et est-ce que vous vivez seule ?" Oui, pour le moment je vivais seule et je disais pour le moment car on ne savait pas ce qui pouvait se passer mais en tous cas, je ne vivais plus chez mes parents c'était sûr. Puis, avec ce qui se passe en ce moment avec eux, ce n'était pas le moment et puis je n'allais pas habiter chez eux, je voulais vivre de mes propres ailes. "Oui, je vis seule car je veux vivre de mes propres ailes donc je ne vis plus chez mes parents puis j'ai un petit copain mais on ne vit pas ensemble, enfin ca peux changer plus tard." C'est vrai, je ne pouvais pas prédire l'avenir mais cela se pouvait que plus tard, Alexander me propose de vivre avec lui, je ne savais pas et je ne pouvais pas prédire ce qui allait se passer dans ma vie. Puis, elle me reparla de la fameuse question que je lui avais posé plutôt c'est à dire ce qu'elle voulait que je lui raconte de ma vie. "Pour votre question de tout à l’heure, sur ce que je voulais savoir exactement sur vous, vous paraîtra-t-il impoli, si je vous demandais simplement tout ce que vous seriez prête à me dire sur votre personne ?" A vrai dire, elle ne me disait pas grand chose, enfin, cela ne m'aidait pas beaucoup et je ne voyais toujours pas quoi lui raconter sur ma vie qui n'était pas bien interessante d'ailleurs et je ne voulais pas non plus évoqué mes problèmes. On pouvait dire que ca faisait du bien d'en parler à une inconnue mais, je ne voyais pas cela du même oeil et du même point de vue, je préferais soit ne pas en parler ou alors en parler que avec des personnes que je connais et qui sont proche de moi. "Et bien, je ne vois pas vraiment quoi dire, le mieux serait que vous me posiez des questions mais sinon, je peux dire que je vais me lancer dans le mannequinat car c'est mon rêve depuis petite et que depuis peu j'ai plusieurs rendez vous donc je préfère saisir ma chance." Puis, nous étions arrivés alors j'avais garé ma voiture et lui avait fait un signe comme quoi elle pouvait sortir et que nous étions arrivés. Je lui avais ensuite dit que le mieux serait que l'on se tutoie car après tout, elle allait dormir chez moi alors ca ferait bizarre qu'elle me vouvoie puis même, je me sentais vieille lorsqu'on me vouvoyait, c'était peut être bête mais c'était comme sa. "Il faudra que je m’entraîne toute la soirée avant de réussir à vous…euh je veux dire à te tutoyer." Je souris à ce qu'elle dit, pour moi ce ne serait pas trop compliqué mais je savais que à force, elle finirait par s'habituer et finirait donc par me tutoyer comme je lui demandais. "C'est sûr mais tu finiras par t'habituer à force dans la soirée et n'hésite pas met toi à l'aise si tu veux enlever tes chaussures et tu peux me donner ton manteau sauf si tu as froid enfin j'en doute vu qu'il fait beau." Enfin, faire beau était une façon de parler mais je voulais dire qu'il faisait beau chez moi et qu'il y avait le chauffage car on ne pouvait pas dire que dehors il fasse un temps magnifique.
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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Dim 30 Jan - 19:49

Quand je lui ai dit que j’avais 18 ans, Chelsea m’avait dit qu’elle m’avait donné à peu près cet âge. Comme quoi… Elle répondit ensuite gentiment à mes questions sur l’endroit où elle habitait, et si elle vivait seule.
-J'habite dans l'Upper East Side
L’Upper East Side… Je savais que dans ce quartier, il n’y avait que les gens aisés qui pouvaient supporter le prix exorbitant des logements. Et j’allais passer une nuit là-bas, gratuitement…
-Oui, je vis seule car je veux vivre de mes propres ailes donc je ne vis plus chez mes parents puis j'ai un petit copain mais on ne vit pas ensemble, enfin ca peux changer plus tard.
A son ton, j’avais l’impression qu’elle aurait beaucoup aimé vivre avec cet homme. Et malheureusement, non seulement je lui rappelais ce fait, mais en plus, je l’enfonçais un peu en quelque sorte. Pour ne pas refaire de boulettes de ce type, je lui demandais simplement ce qu’elle serait prête à me révéler d’elle, comme ça, au moins je serais sûre de ne pas toucher de point sensible.
-Et bien, je ne vois pas vraiment quoi dire, le mieux serait que vous me posiez des questions mais sinon, je peux dire que je vais me lancer dans le mannequinat car c'est mon rêve depuis petite et que depuis peu j'ai plusieurs rendez vous donc je préfère saisir ma chance.
Du mannequinat. A mon avis, cela devait être un métier assez épuisant. Devoir toujours rester en forme malgré des horaires impossibles. Défiler devant pleins de gens tout en sachant que l’on représente le travail de quelqu’un, ça ne permettait aucun faux pas. C’était pour moi un métier assez stressant. Mais en même temps, si c’était son rêve d’enfant je n’avais plus qu’une chose à dire :
-Vous avez raison de foncer vers vos rêves pendant qu’il est encore temps.
Ma phrase me faisait aussi penser à mon cas. Je fonçais tête baissée vers la musique, y consacrait parfois des jours voir des semaines sans en avoir assez. C’était la seule chose qui me permettait de me sentir vraiment…moi.
Quand nous finîmes par arriver, je dis encore une fois bêtise sur ce qu’elle venait de me dire, en l’occurrence que nous nous tutoyons.
- C'est sûr mais tu finiras par t'habituer à force dans la soirée et n'hésite pas met toi à l'aise si tu veux enlever tes chaussures et tu peux me donner ton manteau sauf si tu as froid enfin j'en doute vu qu'il fait beau.
-Euh…oui.
Je retirais donc mon manteau, toujours trempé, et fis une légère moue. Je le lui tendis, et bizarrement je me sentais assez mal à l’aise. Cette situation me semblait plus qu’étrange, comme si j’en profitais un peu trop. Puis j’enlevais mes chaussures, et ne sachant pas vraiment où les mettre, les laissais dans l’entrée. Evidement, il a fallut que même mes chaussettes soient mouillées, comme si ça ne suffisait pas comme ça. Je levais les yeux de mes pieds pour contempler un peu son appartement. La première chose qui me frappa fut le salon. Non seulement il était immense mais en plus il disposait des dernières technologies, le genre à avoir tellement de boutons qu’une semaine ne suffirait pas à comprendre la fonction de chacune. Et si ça, c’était le seulement le salon, je n’étais pas au bout de mes peines. Quand je pensais à l’endroit où je vivais, comparé à ça, j’avais l’impression de vivre dans une niche pour chien. Mais malgré tout cet espace, je n’arrivais pas à suivre les « conseils » de Chelsea, c’est-à-dire de me mettre à l’aise. J’étais légèrement crispée, ce qui était parfaitement visible. Toujours avec cet air là, je m’assis dans un canapé.
-C’est…impressionnant, dis-je en désignant tout cet espace.
C’était comme si j’étais toute petite ici.
Je ne savais pas trop quoi dire, et triturais mes mains, comme si cela allait m’aider. En espérant, je ne sais pas qu’elle brise ce silence. Jusque là, j’avais toujours tenté, maladroitement, d’engager la conversation, mais je n’étais pas vraiment d’un naturel très…ouvert. Du moins, dans cette situation. Il est vrai que c’est tout de même assez étrange. D’habitude, je ne sais pas, le contact venait naturellement, enfin, lorsque je passais un certain temps avec la personne en question. Mais là, on venait de se rencontrer, et je ne voyais vraiment rien à dire pour briser ce silence. Parce qu’après tout, nous n’avions pas grand-chose en commun, pas de base pour entretenir une conversation durable plus de 5 minutes… Je poussais un soupir.
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Eve J. Corso

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MessageSujet: Re: Une rencontre brutale Une rencontre brutale Icon_minitime1Dim 30 Jan - 21:21

La jeune femme voulait en savoir plus sur moi et allez donc savoir pourquoi puisque moi même je ne le savais pas et elle s'intéressait à moi, en même temps c'était normal après tout. Elle venait tout de même dormir chez moi alors il était normal que la jeune femme se pose des questions sur ma vie et tout ce qui m'entoure, elle me prendrait déjà moins pour une inconnue. "-Vous avez raison de foncer vers vos rêves pendant qu’il est encore temps. " Je lui avais dis que je souhaitais devenir mannequin puisque après tout, c'était mon rêve d'enfance et je comptais bien faire de ce rêve une réalité. Pour tout dire, j'étais assez ambitieuse dans la vie et lorsque quelque chose me tenait à cœur et que j'avais envie de réussir alors je faisais tout pour pouvoir y arrivé et c'était dans le bon chemin pour le moment en tous cas. "C'est vrai, c'est assez fatiguant et stressant mais ca reste mon rêve et si il faut que je sois stressé ou encore fatigué pour cela je le ferais puis en ce moment ca se présente bien." En effet, cela se présentait vraiment bien alors je ne voyais pas pourquoi je devrais arrêter, ce qui serait vraiment bête de ma part.

Par la suite, je lui avais dis qu'elle pouvait bien sûr retiré sa veste et ses chaussures si elle le voulait afin de se mettre plus à l'aise parce que resté comme sa mouiller ca le faisait pas tellement. "Euh…oui." Je voyais bien que la jeune femme était un peu gênée mais je ne savais pas vraiment que faire pour la détendre et faire qu'elle se sente mieux même si c'est vrai que chez une personne que l'on ne connaissait pas, ce n'était pas très évident. Elle m'avait donc donné sa veste que j'avais pris et accroché au porte manteau en même temps que j'accrochais la mienne puis je pris ma paire de chaussons et j'en pris pour elle au cas où. Je revenais ensuite avec mes chaussons dans les pieds et la deuxième paire dans la main puis je la regardais, elle venait de retiré ses chaussures et de les laisser dans l'entrée. "Je t'ai pris une paire de chaussons et si tu veux laisse moi tes chaussettes trempées je vais les mettre à sécher et demain elles seront sèches voir même cette nuit." C'est vrai que si elle me donnait ses chaussettes, je pourrais les mettre à sécher et ainsi, le lendemain elle en aurait de propre et sèche. "C’est…impressionnant" Je souris lorsqu'elle me dit cela, en effet, elle regardait mon appartement et il faut dire que j'avais mis pas mal d'argent la dessus même si ca reste qu'un appartement. Au moins, ca lui plaisait et elle ne se sentait pas mal par rapport à cela puis soudain, ma chatte qui avait entendue était arrivé et se frottait à moi alors je la prenais dans mes bras pour la caresser. Puis, je regardais de nouveau la jeune femme qui regardait autour d'elle. "Oui c'est vrai, tu veux peut être que je te fasse visité comme sa tu verras et je te montrerais où aller si jamais tu as besoin cette nuit puis je vais aussi te montré ta chambre." C'est vrai que c'était mieux qu'elle sache tout de même l'endroit où elle allait dormir même si ce n'était que pour une nuit car elle pouvait avoir des problèmes la nuit et besoin de chercher quelque chose. Puis, je me mis à regarder l'heure et je me demandais si la jeune femme avait fait alors je reposais ma chatte au sol elle se frottait toujours à moi. "Et au fait, tu voudrais manger quelque chose ?"
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