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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY

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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Ven 8 Oct - 22:50

"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Mw895k
DEWEY&LILLY.R





Aimer, c'est permettre d'abuser



La journée se terminait seulement, une lumière rouge-orangée colorait l'Upper East Side . Je ne m'en délectait pas, j‘adorais ce soleil couchant qui illuminait mes endroit préférés. J‘étais chez moi, ici. J‘avais rarement quitté l‘endroit, mais je ne voyais pas à quoi ça rimerait. Il y avait tout ce dont j‘avais besoin. Pourquoi partir, à quoi ça servirait ? L’Upper East Side se composait d’une population de la haute-société que je connaissais bien, et sur qui je connaissais tout. Nous étions un groupe fermé, pas presque invisible, car nos faits et gestes étaient relatés sur le net, aucun de nous ne faisait exception. Jamais nous n’avions de répit, et bizarrement, c’Est-ce que je préférais ici. Le fait d’avoir une notoriété inestimable, grandissante. Nous suscitions l’admiration, le respect. Dans ce cercle fermé, il y avait encore le haut du panier, dont je pouvais me vanter de faire partie. Il fallait nous imiter, avoir nos louanges, trop rares, gagner nos respect. J’aimais me dire que j’étais une sorte de Reine, régnant sur une île peuplée de gens importants.
L’Upper East n’avait pas seulement la grande société, comme avantage. Le luxe y régnait en maître, j’étais tout à fait dans mon élément parmi Yves Saint Laurent, Channel ou encore Dior. Je passais le plus clair de mon temps à faire du shopping avec les personnes que j’appréciais, c’est d’ailleurs ce à quoi j’avais occupé ma journée. Quand je ne conspirais pas, cela dit. J’avais une fâcheuse tendance à le faire, ça venait naturellement, si on ne me faisait pas la remarque, je n’aurais jamais remarqué. Pour en revenir à mes journées hyper-occupées, on pourrait croire que la lassitude prenait le pas, quelque fois. Mais il ne fallait jamais sous-estimé l’ampleur d’un endroit. Ca l’était. Il m’était arrivé d’en perdre la tête, toutes ces rues pleines de boutiques, chaînes de luxe, les heures défilaient comme des minutes, et ma carte bancaire presque illimitée se chauffait à blanc. Je ressortais toujours les bras chargés de sacs, encombrée. Je ne le restais pas longtemps, mon chauffeur prenait toujours le relais. Aujourd’hui encore, alors que je sortais de chez Prada, il s’avança, me débarrassa et me laissa continuer mon chemin.
Une sorte de paradis ? Presque.

Débarrassée, peu envieuse de rentrer dans l‘endroit même où j‘étais coincée avec mes « parents », j‘avançais sur l‘avenue, le portable à la main. J‘étais connectée en permanence avec toute sorte de réseaux sociaux. D‘accord, Gossip Girl, plus exactement. Ici, les rumeurs étaient la vie. Ou la mort. Les vitrines défilaient, j‘apercevais quelques têtes connues, mais aucune pour attirer vraiment mon attention. Je n‘étais pas odieuse et hautaine, juste sélective. Il le fallait bien, pour ne pas être coulée. Une reine devait choisir ses vassaux et ses rois avec exactitude. Et je le faisais. Mes talons claquant sur le sol me donnait un sentiment de domination, j‘avançais la tête haute. J‘eu peur que ça ne dure longtemps, quand j‘aperçus LA personne qui pouvait risquer à tout moment de me faire chuter. Dewey Noah Kingsley. Cet homme avait une manière dérangeante et totalement obsédante de m‘ennuyer. Pas dans le sens où il était ennuyeux, mais parce que sa présence me faisait sentir toute chose. Pas dans le sens complètement niais, romantique, mais dans le sens où il réveillait en moi quelques instants presque oubliés. J’avais pour habitude d’être un modèle de vertu aux yeux des autres. Que lorsque nous étions combinés, c‘était Hiroshima puissance dix. Une sorte de jeu s‘était installé entre nous. Depuis qu‘il m‘avait défloré (et je n‘étais pas la première), nous avions l‘habitude de nous appeler quand l‘ennui devenait trop grand. Nous nous rejoignions alors, pour combler cet ennui par le sexe. Il m‘avait semblé jusqu‘alors que c‘avait été la seule chose qui nous liait, surtout depuis que j‘avais quelque peu basculée, mais je n‘en étais plus aussi sûre.
Je gardais la tête droite, je me demandais vaguement s‘il m‘avait aperçu. Je l‘espérais, et cette idée me répugnait. Je me battais contre moi-même, souvent. Et avant que j‘ai pu contrôler quoi que se soit, j‘étais plantée à ses côtés, la bouche scellée, incapable de sortir quoi que ce soit comme mot.


Dernière édition par Lilly-Rose Stevens le Lun 11 Oct - 18:48, édité 1 fois
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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Dim 10 Oct - 19:38


    Dewey s'était aujourd'hui avec facilité levé d'un sommeil sans rêve ; monotone et ennuyeux. Couramment ; il se levait en ayant envie d'un joint ; ou bien en voulant se taper une fille. En tous les cas ; c'était rare qu'il se réveille seul dans son immense lit. Ce jour-là était inhabituel. Tellement d'ailleurs qu'il se sentait étrange ; comme dans un rêve ou chez quelqu'un d'autre qu'il ne connaissait pas. Toutefois ; il voyait son réveil et le savait sien ; apercevait le plafond et le reconnaissait un peu. Son armoire était grande ouverte ; des vêtements jetés en l'air. Que s'était-il passé la veille ? Pourquoi les deux blondes qu'il avait ramené étaient partis avant ? Tant de mystères qu'il ne tenait pas vraiment a résoudre ; en voyant la chambre dans un bxrdel pareil. Ca avait du être ... bestial.

    « & merde ! »

    Dewey haissait ne se souvenir de rien. C'était bien son pire cauchemar. Mais une bouteille semblait renversée par terre ; une bouteille complétement vide ; qu'il avait du se siffler seul ou bien avec les deux blondes. Qu'étaient-elles devenues d'ailleurs ? Non je déconne ; il n'en avait rien à foutre ; seule sa chambre en petits morceaux l'intéressait à l'heure actuelle. Tout en soupirant ; il fila a la salle de bain se rouler un petit joint ; et tout en le fumant tranquillement ; il commença a ranger le plus gros désordre qui régnait sur le sol. Il retrouva là une petite culotte féminine en dentelles ; là un cadavre de cigarette ... Décidément ; s'il ne voulait pas finir Alzheimer précoce ; il ferait mieux de cesser de boire autant et d'une manière définitive. Toutefois ; on pouvait dire qu'il était frais ; car il ne semblait ni avoir mal a la tête ; ni même n'avoir gardé aucune sequelle de la veille. Tant mieux ; il pourrait donc sortir et rechercher une nouvelle femme avec qui passer la nuit.

    S'il le désirait ; il pouvait en avoir une toute trouvée ; et une de poids contrairement aux espèces de gourdasses qu'il ramenait parfois chez lui ; n'ayant aucun autre avantage que leur physique et peut-être aussi leur manière de faire l'amour, trop plaisante pour qu'il se permette de les virer de chez lui. Il pouvait a tout moment appeler sa maitresse préférée ; la douce et belle Lilly-Rose. Cette fille était unique a ses yeux ; il était un peu son plan cxl personnel ; même si elle n'avait pas l'exclusivité du corps de Dewey ; et au dela d'être merveilleusement belle ; de figurer dans le haut du panier de physique et de rang ; elle était douée pour la chose ; voir très douée ; et ils le faisaient tellement fréquemment qu'il ressentait beaucoup plus de désir pour elle que pour toutes les autres. Il la connaissait presque par coeur ; la physionomie de son corps n'avait plus aucun secret pour lui ; les mimiques de son visage non plus. Il savait ce qu'un haussement de sourcil signifiait ; ce qu'elle faisait lorsqu'elle était stressée ... Oui ; il savait tout d'elle ; et aimait tout. Mais pour ce soir ; il préférait laisser faire le destin ; et ne pas trop vite appeler Lilly-Rose. Il n'avait rien contre faire de nouvelles connaissances.

    Quel meilleur endroit pour faire des rencontres que l'Upper East Side ; au plein centre de Manhattan ? Après avoir prit une bonne douche gelée ; il choisit parmi le bazar de son armoire des vêtements ; tous plus classes les uns que les autres ; avant de décider desquels assembler. Dewey était assez doué pour tout ce qui touchait la mode ; et il lui arrivait très rarement de faire preuve de mauvais gout. Là par exemple ; il était juste parfait ! Ayant finit son joint ; il voulut s'en faire un autre ; mais changea d'avis lorsqu'il emprunta la limousine de son père. Lui qui était parti la veille en voyage d'affaires ; cela l'arrangeait bien car il n'avait ainsi rien à lui demander ; et il avait la maison pour lui tout seul (puisque sa mère l'avait ; comme d'accoutumé, accompagné). Il prit donc la limousine sans rien demander a personne ; et se fit lâcher par le chauffeur a l'Upper East Side. Enfin un choix infinie de jeunes femmes toutes plus belles les unes que les autres s'ouvrait a lui. Mais ce n'était pas tout ; il aimait aussi le jeu de la séduction ; et l'art très complexe de la balade !

    N'avait-il pas dit qu'il laisserait faire le destin ? Si bien sur ; et il lui offrit un signe de poids ! Lui qui doutait et qui ignorait s'il désirait aller voir Lilly-Rose ; on lui offrait un beau cadeau sur un magnifique plateau d'argent. Cette femme était magnifique ; a chaque fois qu'il la voyait de près ou de loin ; il était émerveillé par sa beauté. Et surtout ; surtout ; elle lui ressemblait ! Ca ; c'était le mieux dans leur relation on ne pouvait plus bestiale. Car elle le comprenait a merveilles ; et c'était sans aucun doute le fait qui rendait leurs parties de jambes en l'air tellement intéressantes. Elle le vit aussi ; et un regard échangé suffit a ce qu'elle le rejoigne ; la bouche définitivement close. Dewey ne peut s'empécher de sourire ; elle était drôle là ; plantée devant lui ; comme si elle attendait des explications inconnues qui ne viendraient jamais.

    « Bonjour toi ! Comment tu vas ma belle ? »

    Le mieux entre eux ; c'était qu'ils avaient beau être un plan cxl et bien s'amuser la nuit l'un avec l'autre ; ils n'en restaient pas moins des amis au quotidien ; et Dewey se plaisait a considérer ça de cette manière. Même si elle lui faisait quelque chose ; que ce soit d'attirance sexuelle ou mentale ; il tentait de le cacher du mieux possible. Et vous savez pourquoi ? Parce que Dewey Nate Kingsley ; le grand Mr Kingsley digne successeur de son père ; parce que le Dom Juan de GG ne pouvait pas tomber amoureux. Il ne pouvait pas ressentir des sentiments pour quiconque. Pas même pour la merveilleuse Lilly-Rose Stevens.


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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Dim 10 Oct - 21:14

    Si Lilly s'était écoutée, elle se serait barrée, ou aurait continué son chemin, comme si elle n'avait jamais vu Dewey. Elle aurait dû l'ignorer, mais irrésistiblement elle n‘avait pû, c'est comme si ces deux là s'appelaient. Coup du sort face à leurs ébats bestiaux, dont personne ne connaissait rien, ou autre chose, c'était l'inconnu. Cet inconnu avait beau effrayé le monde, il n'empêchait pas moins de foncer. Le risque qu'il présentait le transformait parfois en honneur. En était-il un que Lilly-Rose soit tombée sur celui même avec qui elle était le jour et la nuit ? Enfin, surtout la nuit. L'Upper East Side était immense, un océan sur Terre, mais il avait fallu qu'elle le rencontre. Que sa simple vue lui fasse ressentir l'envie soudaine de son corps contre le sien, de ses caresses. De lui. A cet instant, ça la hantait, de le voir devant elle, si bien habillé, comme à son habitude, un sourire charmeur sur les lèvres, cherchant sans doute une proie. Elle savait qu’aucune des filles qui froissait son lit ne la valait, et ça lui plaisait. C’était d’après elle, mais de là à savoir ce que Dewey en pensait, c’était autre chose. Ils se ressemblaient, et en aucune façon il n’avouerait quoi que ce soit. Il en était de même pour elle et, bon dieu, que ça faisait ch*er !

    Leur entente au lit était comblante, en même temps, comment en attendre autre avec le Dom Juan de GG. C‘en aurait été vexant si leur plan cxl s‘était retrouvé minable, mais c‘était bien le contraire. Chaque fois était pareille que la première, toute aussi pleine d‘extase et de découverte. Lilly n‘avait pas de repère, à ce niveau là, car il avait été le seul à venir sous ses draps et à profiter de son corps, ce dont il pouvait se vanter. L‘exigence était toujours haute, avec la belle Stevens. Quand on avait son rang, on se le devait. Et même si en terme de réputation avec ces jeunes femmes, Mr Kingsley n‘était toujours pas traité en douceur, selon ses critères à elle, il avait tout ce qu‘il fallait, là où il fallait. C‘était jamais décevant, chacune de ses attentes était à la hauteur des précédentes, et c‘était bon. Hiroshima pouvait faire des ravages, ils en faisaient d‘avantage, et chaque fois que leur nuit brutale et chaude se terminait, c‘était toujours la même rengaine. De son côté, elle attendait chaque nouvelle fois avec impatience, elle en ressentait un manque. C‘était sa nouvelle forme d‘addiction, son seul amant, sa source de plaisir personnelle, que même le shopping ne pouvait créer. C’était en partie grâce à lui qu’elle avait arrêter de prendre de la drogue en privée, car le temps qu’elle passait avec lui, c’était autrefois le temps qu’elle passait enfermée dans sa salle de bains.

    Se retrouver devant lui, les lèvres scellées, elle se trouvait gourde. Une vraie c*nne, à attendre quelques mots qui la déciderait de quoi dire, quoi faire. Car au grand jour, ils n‘étaient pas les amants qu‘ils étaient la nuit, ils en étaient même loin. Ils étaient amis, mais rien ne les aurait prédestiné à se faire un bon plan cxl, surtout depuis le temps que ça duré. Depuis le soir où il l‘avait défloré, pour être exacte. Ils n‘avaient jamais cessés de se voir, ce qui devait être flatteur, car Dewey avait la réputation d‘enchaîner les « one shot », et pas les coups répétés. Lilly devait même être la seule qui avait, par plus de deux fois, froissés ses draps. L‘avantage, c‘était que notre fameuse Gossip Girl, pourtant toujours au goût du jour, n‘en ai jamais été informée. Ce qui les arrangeait tous deux, car si cette information c‘était retrouvée aux sues et vues de tous, leur réputation se serait effondrée, ce qui aurait été regrettable. Avoir le statut d‘un collectionneur de femme et d‘une sainte-nitouche reine se méritait. Couché avec un dépravé ne faisait pas parti de l‘accord, à plusieurs reprises, encore moins.

    « Bonjour toi ! Comment vas-tu, ma belle ? »

    Si elle n’avait pas été dans un Upper East Side bondé de gens aux téléphone portable, sans doute prêt à dégainer leur appareil photo ou vidéo pour ne serait-ce qu’une exclusivité à balancé, il aurait été sûr qu’elle lui aurait balancé comment elle allait réellement. Surtout ce qu’elle attendait réellement.

    Affreusement vide. Et toi ?

    La politesse prenait le dessus, même avec quelques sous-entendus dans une phrase, c’était ce que l‘éducation qu‘on lui avait prodigué. Elle s‘autorisa un sourire, loin d‘être ce qu‘il semblait être, la sensualité qu‘elle renvoyait était indéniable. Son porte-jarretelle re-fît son apparition sous sa robe, comme si le besoin de se faire finalement enlevé par des mains masculines lui faisait faire son apparition. Lilly jeta un regard furtif au corps de Dewey, et le besoin qu‘elle avait eu plus tôt revint à la charge, plus violent. Elle se fît violence pour le ravaler.

    J‘ai l‘impression que tu portes les séquelles de ta nuit passée.

    Ce n’était pas une impression, mais ce n’était un secret pour personne que Dewey Kingsley ne passait jamais ses nuits seul. Cela montrait-il qu‘il n‘avait pas de cœur, que de fendre celui des femmes qui le suppliaient de les laisser entrer dans le sien ?

    Une fois encore, Lilly-Rose se surprit face au besoin qu‘elle éprouvait. La drogue ne lui avait jamais fait éprouver de telles sensations, même dans les moments où le manque se faisait trop fort. Ses sentiments ne montrait pas qu‘elle éprouvait quoi que ce soit, face à ce tombeur. Comment le pourrait-elle, éprouver quoi que ce soit face à lui ? Il était tout ce qu‘elle détestait, et leur partage de la vie ne se résumait qu‘à un lit. Alors quoi ? A quoi rimer ce bxrdel ? C‘était foutrement chiant de ne rien savoir de soi-même ou de ce qu‘on ressentait.

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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Lun 11 Oct - 21:35


    (Je dois te dire que ... j'aime trop comment t'écris ma belle. Et j'adore aussi notre lien 8D.)

    Dewey aimait bien Gossip Girl. Jusque là ; elle n'avait jamais été particulièrement hostile a son égard ; bien au contraire d'ailleurs. Le surnommant le Dom Juan (surnom qu'il affectionnait particulièrement puisqu'il contribuait a sa renommée bien plus qu'ancrée dans les anales) ; elle ne faisait d'articles a son sujet que pour le complimenter sur ses dernières recrues (c'étaient plutôt les demoiselles ayant succombé a son charme légendaire qui se retrouvaient fichées éternellement dans son blog). Dewey n'avait rien a se reprocher ; il faisait juste ce pour quoi il était doué. Et aussi étrange que cela puisse paraître ; il avait plus ou moins gagné la sympathie de Gossip Girl. Jusque là ; seule sa belle et mystérieuse relation avec Lilly-Rose était restée secrète ; et il ne comptait pas la faire s'ébruiter. Pour une fois qu'il était vraiment heureux avec une femme dans son lit. Il ne voulait pas risquer de la perdre !

    « Affreusement vide. Et toi ? »

    Dewey pensait fortement savoir de quoi elle parlait. Il ignorait tout de quelconques sentiments de son côté ; mais il n'avait aucun mal a imaginer a quel point ça devait être dur pour Lilly de se comporter en face de lui comme une amie normale ; puisque le jeune lord Kingsley ressentait la même chose. Même s'il se la jouait naturel ; c'était étrange de se retrouver face à elle et ne pas pouvoir l'embrasser ; caresser son corps ; gouter sa peau ; déposer de légers baisers dans son cou et sur sa nuque ; mordiller ses doigts ; l'entendre soupirer a ses oreilles. Même si elle n'était pas dans son lit et nue ; elle n'en restait toutefois pas moins belle vêtue et maquillée. Peut-être même qu'elle gagnait encore en charme. Voilà qu'il ignorait s'il la préférait en jeune demoiselle en tenue d'êve ; bestiale et féroce ; ou bien en petite femme de la ville ; civilisée et classe. Elle était aussi bien en l'une que l'autre ; et il aimait chacune des multiples façades de cette Lilly-Rose.

    « J‘ai l‘impression que tu portes les séquelles de ta nuit passée. »

    Dewey lui jeta un coup d'oeil complice ; comme si elle était capable de savoir ce qu'il avait fait de sa nuit alors que lui même ne s'en souvenait pas ; et passa une main dans ses cheveux ; d'un geste anodin mais franc ; trahissant son petit mal à l'aise. Peut-être que Lilly le prendrait mal ? Il savait qu'il avait le monopole de son corps ; que c'était bien le seul homme a qui elle s'était tant ouverte sous toutes les formes puisque c'était lui qui l'avait défloré et qui avait put gouter sa peau pour la première fois. Nombre d'hommes le hairaient pour avoir eu un tel privilège. Et pour l'avoir encore !

    A vrai dire ; le lien qui liait Dewey et Lilly n'était en rien très aguichant. "Fucking Friend" était le terme actuellement employé ; mais le jeune Kingsley haissait appeler ça ainsi : cela réduisait sa belle demoiselle au rang de maitresse comme tant d'autres ; alors qu'elle était bien plus que ça à ses yeux. Il ignorait quoi ; mais plus ! Après tout ; elle avait été la seule a obtenir le privilège de gouter plusieurs fois a son corps et a ses draps. Plusieurs fois ; et il ne comptait même plus ... Comment en était-il arrivé ici ? Qui avait rappelé l'autre en premier ? Il ne se souvenait même plus de ça. Toutes ses futilités étaient effacées par leurs parties mémorables de jambes en l'air ; mais leurs tout aussi mémorables clins d'oeil amicaux et affectueux ; leurs tout aussi mémorables caresses dans le coup ; ext ... C'était plus qu'une "fucking friend". Oui ; plus !

    « A vrai dire ; je n'ai plus énormément de souvenirs. Ca ne devait pas être si mémorable. »

    Qu'avec toi ; eut-il envie d'ajouter. Il se retint cependant ; il préférait encore la vexer que lui montrer ne serait-ce que d'une infime manière l'amitié profonde qu'il lui vouait. Amitié ; attirance ou amour ? Peut-être un peu des trois. Il sentait parfois les regards envieux de Lilly sur son corps ; le dévisager de bas en haut ; il éprouvait aussi le désir qui semblait la faire frissonner de fond en comble. Lui aussi ; s'il l'avait pu ; se serait penché sur elle pour l'embrasser ; avant de l'emmener dans n'importe quel endroit assez sombre pour la déshabiller. Dommage qu'ils soient entourés de gens tous plus malveillants les uns que les autres ; et surtout ; surtout de Gossip Girl. Dewey lui jeta aussi un regard provocateur ; et une étincelle de désir passa dans ses belles prunelles lorsqu'il vit son porte-jarretelle et ses jambes qui se montraient ; tellement sexys. Elle savait comment faire pour le séduire ... & ça marchait a merveilles. Il attendait sa réponse. Mais nul doute que dans un avenir très proche ; il aurait envie de coucher avec elle. Très ; très proche !



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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Mar 12 Oct - 10:00

(HS : C‘est vrai que notre lien, j‘adore 8 )
Merci, mais ça vaut pas la tienne dont je suis une fan inconditionnelle là ! *w* )


    Le fait que Gossip Girl ait gardé le mystère de leur relation clandestine relevait du pur miracle. Car s‘il y avait bien une chose à ne pas rater, c‘était celle-ci. Et nul doute que si la bloggeuse l‘apprenait, Manhattan en serait au courant dans les pauvres heures qui suivraient. Qu‘es ce que ça ferait à Lilly, que tout son monde découvre son extravagante relation avec le Don Juan de ces demoiselles ? C‘était indécis, car c‘était une chose à laquelle elle ne pouvait espérer, que sa relation avec ce merveilleux amant soit découverte. Tout semblait tellement parfait. Mais quoi croit au conte de fée ? Les bonnes choses ne peuvent pas toujours avoir une fin, à moins qu‘une suite soit programmée ?

    Se voir ici, dans cette rue aux vues de tous était à la fois troublant et bon. Car ne pas pouvoir faire comme à leur si belle habitude était juste détestable. Ne pas pouvoir caressé sa peau, profiter de ses doux baisers alors que toutes les fibres de son corps le réclamait, la tentation était trop grande et perturbante, et il le monde aurait pût tombé, que cette envie serait restée. Fidèle, imperturbable. Mais résister à cette tentation n‘était-ce pas un bon point ? Leur impatience grandissais, et lors du bouquet finale, ça serait incomparable, inoubliable, comme les autres fois, bien que le nombre exacte reste inconnu. C‘était tout redécouvrir, chaque fois. Cette sensation n‘était exclusive qu‘avec lui, une sensation qui était bien plus qu‘agréable et inattendue. C‘était toujours surprenant de croiser Dewey Et Lilly-Rose ensemble. Au premier abords, ils semblaient tellement différents, mais lorsqu‘on creusait plus profond, ils étaient exactement semblables. Il s‘était créer une espèce d‘osmose entre eux, une entente pareille, secrète qui plus-est, c‘était inattendu.

    Une complicité c‘tait glissée entre eux deux. Elle s‘était installée, et ne comptait pas de sitôt se taillé. Même si leurs ébats restaient secrets, il était amusant de les voir se glisser des œillades et autres caresses discrètement, parfois à quelques pas de ceux qui les connaissait et qui ne se doutaient de rien. Le risque était une chose à part entière dans leur relation, ça rendait les choses plus excitante, mais seulement en publique. C‘était comme le fait de résister de ne pas pouvoir emmener Dewey dans une chambre ou tout autre chose qui serait convenable pour une partie de jambe en l‘air.

    « A vrai dire; je n‘ai plus énormément de souvenirs. Ca ne devait pas être si mémorable. »

    Elle ne pût s‘empêcher de sourire. Que ce ne soit pas mémorable la satisfaisait entièrement, car elle savait que la première occasion qu‘elle aurait de froisser une fois encore ses draps, elle ferait tout pour rendre ça mémorable, autant qu‘elle le pouvait, si elle ne pouvait faire mieux que les fois précédentes qui lui avaient semblées exquises. Elle voulait avoir un avantage sur toutes les gourdes qu’il ramenait, un en plus;

     « Tout le monde n’a pas la capacité de rendre ça mémorable. »

    Elle aperçut la lueur de désir dans ses yeux, la même qu’elle devait avoir. Puis il se fit aussi provocateur qu’elle lorsqu’elle lui laissait entrevoir ses jarretelles. Ainsi donc, leur désir était égal. Les violents souvenirs de leurs ébats des nuits passées se firent sentir, à chacune des mimiques de Dewey, elle revoyait telle ou telle chose. Les fantômes de ses caresses venaient la hantés, son souffle mêlé au sien, ses lèvres, sa peau. Se dire que la date prochaine de leur nuit était inconnue, inexacte lui était intolérable. Son exigence entrait en action. Elle le voulait, ce soir, pour elle. Rien que pour elle, et pas pour une autre femme venant sans doute du service de chambre ou de la réception, payée vingt dollars de l’heure. Elle saurait se montrer persuasive.
    Elle se rapprocha de lui, aguicheuse tout en restant la respectable jeune femme qu’on lui connaissait. La subtilité était un fort chez Lilly, elle adressa à Dewey un sourire tout à fait sexy du peu de distance qui les séparés à présent. Elle baissa les yeux, puis les remonta, contemplant peu à peu le corps qu’elle avait aimé tant de fois pour le regarder dans les yeux.

     « Qu’es ce qui pourrait rendre ça mémorable ? »

    Bien que se doutant de la réponse, elle se contenta de poser cette simple question dans un murmure suave, ne le quittant pas des yeux. Le désir enflammait tout son être à cet instant. Quelle était la raison qu’à cet instant précis, elle ne pense qu’à lui et se foute pas mal des gens qui les entouraient ? Elle ne voulait pas y penser, car elle savait que la réponse lui exploserais dessus, malgré elle. Comme un présent indésirable.

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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Mer 13 Oct - 14:43


    Lorsque Dewey avait lui même été dépucelé ; c'était encore au collège ; en troisième plus précisemment. Il n'avait jamais désiré ressentir la moindre émotion amoureuse pour qui que ce soit ; et le simple mot "romantique" lui semblait bien présomptueux : nul ne pouvait juger de ce qui l'était ou non ; et sa relation avec Lilly-Rose ne lui semblait en rien bourrue. Le sexe en lui même était ; à ses yeux ; quelque chose de bien romantique. Bref ; aussi étrange que cela puisse paraître ; oui ; sa première fois c'était révélée être très exaltée et passionnée. Loin d'être en soirée avec une femme qu'il ne connaissait pas ; contrairement a ce qu'il se plaisait à dire afin de garder intacte sa réputation du début a la fin ; elle se nommait Alycia. Elle était parfaite ; belle et intelligente ; intéressante et réfléchie ; terre-à-terre si bien que lunatique. Il l'aimait. Elle avait été la seule femme au monde a avoir put approché son coeur et y pénétrer si profondément. Il lui avait offert sa première fois ; une offrande très réciproque d'ailleurs. Leur relation amoureuse (et non pas sexuelle) avait duré deux ans et demi. Oui oui ; vous avez bien entendu ! Il avait souffert de cette fin ; mais elle était devenue inexorable. Tous deux n'éprouvaient alors plus rien l'un pour l'eux ; et ils s'étaient séparés de manière presque abordable ; comme de bons vieux amis.

    C'est cette femme qui avait lâché en lui la bête de sexe qu'il est devenu aujourd'hui. C'est elle qui a appuyé sur le bouton marche ; pour ne plus jamais l'éteindre. Il espérait donc qu'une fois avoir trouvée la bonne ; sa seconde Alycia ; il saurait s'arrêter. Mais de ça ; il n'en avait aucun doute. Il l'attendait juste. Et aussi étrange que cela puisse paraître ; il voyait parfois Alicia en Lilly-Rose. Mais malgré l'avoir trouvée (ou tout du moins il l'espérait très fort) ; il n'avait aucune envie d'arrêter ses cxnneries. Bien au contraire ; Lilly avait le don de le déchainer plus encore ; de réveiller en lui la véritable bête sauvage qui régnait mais qui se cachait le jour sous des airs civilisés. Il n'était toutefois bien qu'avec elle.

    « Tout le monde n’a pas la capacité de rendre ça mémorable. »

    Nouveau petit sourire de Dewey. N'était-elle pas vraiment merveilleuse ? Un bon sens de la répartie ; un physique à tomber ; et de véritables capacités au lit ; il ne pouvait demander mieux. Le pire ; c'est qu'elle avait raison. Comme d'habitude. Elle n'ignorait certes pas qu'il avait bien d'autre maitresses ; mais ce qu'elle savait ; sans doute l'ayant lu dans son beau regard lorsqu'il la fixait dans les yeux ; c'était qu'elle était bien la seule a avoir put ainsi l'égaler et même le surpasser en matière de sexe ; et lui offrir tant de plaisirs comme lui cacher tant de mystères. Rien que pour leurs parties de jambes en l'air ; il aurait été incapable de la lâcher. Ajoutez-donc à cela un sourire divin et une intelligence fondamental ; imaginez donc un peu à quel point il s'est attaché à cette femme ... !

    « Qu’es ce qui pourrait rendre ça mémorable ? »

    « Je ne sais pas trop ... Amène moi dans un petit lieu insolite ; avec des gadgets tous plus étranges et agréables les uns que les autres ; ainsi qu'une belle blonde ; et cela pourrait devenir mémorable. Quoi que je n'en sois vraiment pas sur. Ou bien honore moi de ta présence ... C'est bien plus efficace et ça marche a tous les coups. »

    Dewey s'était un peu approché d'elle ; à son image en fait. Ayant tous deux faits un pas l'un vers l'autre ; ils étaient maintenant bien plus proches que nécessaires ; et leur regard s'admirait à quelques millimètres seulement. Il avait l'envie irrépréssible de lui prendre la main ; de lui déposer un doux baiser sur son cou ; et de l'entrainer dans un coin ... agréable. Il voulait lui faire l'amour ; l'embrasser ; la toucher ; il voulait simplement être avec elle ; mais même lorsqu'il se trouvait en sa compagnie ; son désir reprenait le dessus. Voilà qu'un simple regard pouvait maintenant réveiller la bête qui sommeillait en lui ... mais dans quoi donc était-il aller se fourrer ?!


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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Mer 13 Oct - 16:21

    Malgré ses dix huit ans et sa bouille façon poupée délicieuse, Lilly-Rose n’avait jamais été aussi proche, dans tous les sens du terme, d’un homme qu’elle l’était avec Dewey. Elle se disait souvent que c’était parce que c’est lui qui l’avait emmené dans un endroit qui lui étais auparavant inconnu, qu‘elle aimait désormais trop pur s‘en séparer, qu’il avait était le premier et que ç’avait crée un lien bien façonné, unique en son genre. Elle avait eu beaucoup de conquête d’adolescence, plus tôt, mais rien de bien sérieux, rien qui vaille la peine de dépasser ce qu’elle avait franchi avec Dewey. Aucun autre n’était à la hauteur, mais laquelle ? Pourquoi elle se forçait de manière obstinée à se lancer dans ce chemin là, si c’était pour n’avoir aucun retour ? Elle était toujours indécise sur ce qu’elle ressentait en sa présence, si on oubliait le désir. Tout comme pour le sexe, elle n’avait aucun point d’encrage, car ces sentiments là dépassaient tout ce qu’elle avait pût éprouver auparavant. Négatifs, ou positifs, ça semblait irréel d’avoir à choisir, mais il ne pouvait y avoir deux poids deux mesures. Le neutre n’existait pas, il ne le pouvait pas.

    Lilly envoya valser ses idées. En aucun cas, elles n‘avaient lieu d‘être en ce lieu, à cet instant. Être avec Dewey Kingsley impliquait pour elle ne plus être la même, de faire ressortir une part moins raisonnable ensommeillée, trop souvent cachée. Cette partie-là ne demandait qu‘une chose : sortir, s‘exprimer. Peu importe le lieu, elle avait été trop souvent captive, et aujourd‘hui, encore une fois, elle voulait tout donner. Il n‘y avait rien à se demander, que chaque partie de Lilly soit présente en même temps que Dewey, simple coïncidence. Il était celui qui faisait d‘elle une femme à part entière, avec toutes les facettes que ça implique, et ce n‘était désagréable pour aucun des deux.

     « Je ne sais pas trop … Amène moi dans un petit lieu insolite; tous plus étranges et agréables les uns que les autres; ainsi qu‘une belle blonde; et cela pourrait devenir mémorable. Quoi que je n‘en sois pas vraiment sûr. Ou bien honore moi de ta présence … C‘est bien plus efficace et ça marche à tous les coups.»

     « On peut toujours s’arranger pour la deuxième option. »

    Son sourire était indéniablement sexy, aguicheur, et subtile. Il la retranscrivait incroyablement bien.
    Ils étaient désormais à des limites l‘un de l‘autre trop près pour que ça en soit politiquement correcte, comme le lieu dans lequel ils étaient l‘imposait. Mais le politiquement correcte et ces deux là n‘étaient pas un bon effet combiné. Leur limite étaient déjà bien franchis lorsqu‘ils étaient ensemble, et s‘éloignaient un peu plus à chaque fois. Leurs yeux se rencontrant en disaient long sur leur désir commun, mais quelque chose d‘autre pouvait-il s‘y insinuer ? Cette envie irrépressible que Lilly avait besoin de lui la dévorait, la consumait. Ses baisers, son toucher, la façon qu‘il avait de lui faire l‘amour, à l‘instant même où ils parlaient presque tranquillement dans ces rues, elle voulait ressentir tout ça, avoir tout ça. Les projets de la soirée à venir lui plaisait, elle se languissait. Les minutes défilaient trop vite lorsqu‘elle était en sa présence, trop lentement lorsqu‘elle ne l‘était pas. C‘était un casse-tête, que de se dire qu‘il était tout ce qu‘elle répugnait, et pourtant, qu‘ils formaient, sans conteste, un tout. Ils s‘assemblaient, se ressemblaient, étaient les même et se surpassaient chaque fois. Qui aurait dit qu‘un jour, ils se seraient retrouvés ensemble, ne serait-ce que pour le sexe ? Gossip Girl en aurait été offensée, de savoir ce qu‘il se tramait dans son dos. Le don juan et la petite fille prude ? Ils réinventaient tout ce que l‘ordre avait établie. Et alors que la distance qui les séparait se rapprochait inévitablement, on ne pouvait que se demander la véritable raison qui les poussait à se voir en dehors des fêtes dans lesquelles ils aimaient se montrer. Définir l‘amitié n‘aurait pas collé avec leurs sentiments respectifs, amant et maîtresse non plus. Ne restait-il que l‘amour, qui puisse définir en vérité ce qui était ?
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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Jeu 14 Oct - 15:14


    Il se souvenait parfaitement de sa première nuit avec Lilly. Tout comme de sa deuxième. De toutes les fois où ils avaient couchés ensembles en fait. Jamais il n'avait oublié quoi que ce soit la concernant ; que ce soit son anniversaire ; sa fête ; jusqu'au nombre de ses frères et soeurs. Il lui semblait la connaître parfaitement ; mais il ne savait plus trop comment. Etait-ce elle qui lui avait fait ses petites confidences au saut du lit ou sur l'oreiller ? Ou bien avait-il entreprit des recherches a son sujet ? Non ; plus de souvenirs. Dewey s'amusait a essayer de deviner les moindres contours de la jeune femme ; la moindre parcelle de sa peau ; a travers ses beaux vêtements. Il s'imaginait déjà en train de les retirer ; sauvagement ; et de gouter a nouveau la douceur de cette chaire. Il voulait la mordre ; l'embrasser ; rester accroché à elle. Envers et contre tout. Envers et contre tous.

    Loin d'être un enfant modèle ; il fallait avouer que Dewey avait des convictions ; et savait se donner avec panache dans ce qu'il aimait. Actuellement ; ce n'était que le sexe ; mais il aurait fait un excellent grêviste. Il était donc bien pré-destiné à suivre son père dans l'hôtel familial ; hôtel qui le faisait vivre dans un tel luxe depuis toujours. Dewey ne s'était jamais posé la question de savoir si oui ou non il aurait aimé et voulu prendre cette succession ; mais il savait bien qu'il valait mieux éviter ce genre de débat avec lui même : ça ne ménerait qu'à allumer de violents feux a l'interieur de lui même ; brisant tout le peu d'envie qui lui restait. Non ; a vrai dire l'hôtellerie ne l'avait jamais vraiment intéressé ; mais il ignorait lui même ce qu'il aurait désiré faire si un jour il avait eut cette importante question à se poser. Peut-être aurait-il excellé dans l'art de la plantation de canabis ? Non ; là il aurait passé un certain temps en prison ; et ce lieu insolite n'était en aucun cas un endroit où il risquait de s'amuser.

    Bref il ignorait tout de ses propres envies ; tentant simplement d'adopter celles des autres qui l'avaient façonné à leur image. Non ; Dewey n'était pas de ces types incapables de réfléchir de lui même ; et formaté par un adulte trop imbu de lui même ; mais il préférait parfois se voiler la face et rester dans son cocon de luxe ; protégé par un papa trop bienveillant ; qui ne se serait jamais douté qu'en le serrant aussi fort ; il pourrait l'étouffer. Pourtant personne n'était dupe ; et tout un chacun voyait Dewey comme une copie de son père. La vérité était assez ressemblante ; mais ça n'importait pas beaucoup aux yeux du jeune homme ; qui adorait son père ; et donc que ça ne genait pas d'être comparé a lui. Bien au contraire ; il prenait ça pour un réel compliment ! Mais le jour où il se rendra compte qu'il faudra laisser sortir le vrai Dewey ; préparez-vous a tous vous cacher : ça risquera de faire Boom.

    Secouant la tête pour éviter ses pensées saugrenues de se faufiler en lui et de l'ébranler comme jamais ; il préférait évidemment gouter au plaisir d'avoir Lilly en face de lui. Une lilly qui n'était pas innocente ; et que personne n'aurait prit pour une nonne civilisée a l'instant précis. Souriante ; elle le fixait de bas en haut ; c'était a peine si elle se retenait de se mordre la lèvre de plaisir rien qu'en admirant sa carrure. Ce regard donna l'envie a Dewey de lui sauter dessus ; ce regard mais bien tant d'autres choses ... Non seulement elle excellait dans l'art de la beauté ; dans celui de la noblesse ; mais voila maintenant qu'elle maitrisait aussi celui de la séduction ! Il faudrait bien qu'un jour ; il lui trouve des défauts a cette petite !

    « On peut toujours s’arranger pour la deuxième option. »

    Ils étaient très proches l'un de l'autre. Trop peut-être. Si Dewey avait été dans son état normal ; il aurait sans doute reculé ; non pas pour offenser sa belle demoiselle mais pour prévenir un coup foireux d'un ennemi ; qui aimerait ragoter sur leur dos et envoyer tout ce tissu de mensonges à Gossip Girl. Il ne manquerait plus que ça ! Mais là ; il n'en avait pas le courage. Il était trop obnubilé par les beaux yeux de sa Lilly qu'il n'aurait bougé pour rien au monde. Admirant cette fois-ci les finesses de son visage ; il ne put qu'être ébloui par sa beauté. Désirable de corps ; avec un visage digne d'un ange. Même physiquement ; aucun défaut a repérer ? Non capitaine ; RAS. Quelle tristesse !

    Sa phrase le fit sourire ; et lui plut avant même qu'elle n'ai terminé. Il savait très bien ce qu'elle attendait ; et avait assez d'expériences en matière de femmes et de Lilly-Rose pour se douter de la manière dont elle allait amener ça sur le tapis. De toute manière ; à partir du moment où leur regard s'était croisé en descendant de sa limousine ; les dés étaient déjà jetés. Ou bien ils s'ignoreraient royalement ; passant l'un a côté de l'autre comme s'ils ne s'étaient pas vus ; ou bien ils parleraient ensembles ; espérant ne pas éprouver trop de désir. Mais pour ça ; c'était peine perdue. A croire qu'ils n'étaient autre que des animaux ; réfrénés et poussés par leurs envies sexuels. A vrai dire ; il y avait un peu de ça dans le comportement de Lilly et Dewey ... Mais comment penser a autre chose en ayant une si belle créature en face de lui ?Il ne se sentait même pas coupable ; il trouvait ça tout a fait normal. Et puis il en avait envie ; elle aussi. C'était donc contre-nature que de ne pas mener cette histoire jusqu'au bout.

    « Je pense qu'il n'y aura pas de problèmes pour s'arranger. On sait déjà plus ou moins ce que veut l'autre ; n'est-ce pas ? Moi en tout cas ; tu sais ce que je veux. Suis moi. »

    Dewey ne put s'empêcher de la prendre par la taille pour la faire se retourner ; et la mener a sa limousine. Ce simple contact eut sur lui l'effet d'une bombe nucléaire ! Si vraiment il n'avait pas eut le moindre cerveau ; il lui aurait sauté dessus. Il en aurait été bien capable en plus. Comment une femme pouvait-elle lui faire autant d'effets ? C'en était presque inimaginable. Jouant avec le feu et tentant le diable ; il ne put s'empêcher de déposer un doux baiser dans son cou. Si volatile qu'il ne dura qu'une fraction de seconde ; assez toutefois pour qu'un imprudent les prenne en photo. Il n'y avait plus qu'à espérer pour que ce ne soit pas le cas. De toutes manières ; c'était maintenant fait ; et Dewey ne regrettait pas. Il avait été capable ; en un baiser ; a faire naître des frissons sur la belle peau de Lilly. Il n'y avait plus qu'à la mener a la limousine ; et à l'entrainer dans un lieu dont il ignorait encore le nom.


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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Jeu 14 Oct - 19:40

    Elle connaissait la perversité et l’humiliation qu’amenaient les rumeurs et autres infos de Gossip Girl, car elle en avait été l’objet plus qu’une bonne dizaine de fois. Elle en avait également été l’auteur anonyme de quelques uns concernant un pair qu’elle voulait voir tomber. Elle savait à quel point ils pouvaient chamboulés une vie, la perturbée, mettre à mal les concernés. A chaque fois qu’il avait été question d’elle, Lilly-Rose avait toujours trouvé le moyen de s’en détourner, car ils avaient beau être agressifs, ils n’en étaient pas moins indémontables. Et puis, la Reine de Manhattan avait besoin de plus gros scandales pour tomber de son pied d’estale, celui sur lequel elle s’était investie à cent pour cent et n’avait jamais donner. A l‘inverse de chaque chose qu‘elle faisait ou qu‘elle disait, sa relation avec Dewey lui paraissait inébranlable, impossible à découvrir. Elle se sentait à l‘abri avec lui, leur chair s‘entremêlant, la chaleur de leurs étreintes, de leurs baisers. C‘était hautement improbable qu‘on puisse leur retiré ça, car s‘ils n‘avaient pas le secret pour eux, comment les choses tourneraient-elles ? Pouvait-il y avoir un semblant de chose autre que le sexe entre eux, une once de sincérité lorsque leurs caresses devenaient tendres, délicieuses, attachantes ? Un article écrit par une lxngue de pute pouvait-il détruire tout ce qui c‘était construit pendant ces nuits, ces après-midi, ces moments passés ensemble ? Il n‘était pas temps d‘y penser, car si la belle avait bien une certitude, c‘était que la malveillance s‘éloignait, chaque fois qu‘elle posait le regard sur Dewey et qu‘il en faisait de même, une sorte de protection. Car si elle devait confesser une chose, c‘était bien que les choses étaient devenues meilleures depuis qu‘ils entretenaient ce lien. Loin d‘être un « happy end », c’était quelque chose sur laquelle elle ne pouvait être exigeante. Depuis combien de temps, et elle ne pouvait les compter, combien de temps n’avait-elle ressentie cette bienséance ? Elle n‘aurait pût donner un nombre en année, cette période de sa vie avait été trop longue.

    L‘arrivée de Dewey, le jour où il l‘avait défloré, inévitablement, restait l‘un des souvenirs les plus marquant qu‘elle avait. Au début dégoûtée à l‘idée d‘avoir donner sa vertu à un homme à femme, les détails étaient gravés, indélébiles. Marqués au fer blanc, ils avaient ressurgis à l‘improviste dans des moments dans lesquels elle n‘aurait voulu remettre ça sur « play ». Mais ils étaient venus, malgré elle. Et dés à présent, elle ne se plaignait plus de rien, tandis que les beaux yeux de Dewey la dévoraient, autant qu‘elle le faisait. Car si ces souvenirs n‘avait pas fait du forcing pour demander de nouveau le corps de Dewey, ils n‘en seraient pas là aujourd‘hui. Ce qu‘il se tramait entre eux, elle n‘y comprenait rien, elle se sentait embrouillée à propos ce sujet bien emmêlé. Ils étaient plus que de simples amants, d‘accord, mais quoi d‘autre ? Était-ce une amitié améliorée ? Jamais ça ne les aurait effleuré de se dire qu‘il pouvait s‘agir de sentiments réels, d‘amour. Le désir et la passion étaient deux choses distinctes. Ce qu‘ils vivaient et l‘amour en étaient-elles deux autres ? L‘avenir qui s‘ouvrait à eux en dirait des choses, notamment commence ça finirait. Le désastre pouvait à tout moment se joindre à la partie qui se jouait, mais aurait sans doute un incident déplorable.

    Le jeu de séduction qui s‘était installé entre eux étaient continuel. Leurs pensées étaient les mêmes, à cet instant précis. Leurs corps, visiblement trop près l‘un de l‘autre, se réclamaient mutuellement. Ils s‘observaient, se détaillaient. Lilly ne pouvait qu‘admirer les yeux de Dewey, tellement secrets, mais si on savait y chercher assez loin, on pouvait en lire des choses. C‘était l‘une des choses qu‘elle aimait le plus chez lui, l‘une des choses qu‘elle admirait. Elle savait qu‘il essayait, en quelque sorte, de cacher celui qu‘il était car sa comparaison avec son père était inévitable. Mais celui qu‘il était véritablement ne valait-il pas mieux que celui qu‘il voulait être ? La fierté de marcher dans les pas de son père l‘empêchait-elle d‘être lui-même, de peur de perdre toute confiance ? La belle se demandait souvent s‘il avait des choses à cacher, si oui, elle ne se lasserait jamais de se demander quelles étaient elles. Il n‘était sans doute pas la perfection, mais elle le considérait comme tel. Etrange sensation, face à celui qui la repoussait quelques mois plus tôt.

    « Je pense qu'il n'y aura pas de problèmes pour s'arranger. On sait déjà plus ou moins ce que veut l'autre ; n'est-ce pas ? Moi en tout cas ; tu sais ce que je veux. Suis moi. »

    « Comment pourrais-je l‘ignorer quand la réciproque est vraie ? Si je sais ce que tu veux, tu sais également ce que j‘attends. »

    Elle le suivit sans se soucier des gens alentours, prendre une femme par la taille ne prouvait aucune ambiguïté, juste une aimable courtoisie. Le touché de ses doigts contre sa taille lui donna la chair de poule, sa peau avait-elle assimilée que dans peu de temps, elle retrouverait ce qu’elle avait tant désiré ? La bonne figure qu’affichait Lilly-Rose n’était qu’extérieure, car si le statut qu’on lui donnait n’avait pas exigé d’elle de la retenue, elle se serait sans aucun doute permise d’être plus proche de lui, de lui donner un baiser fougueux et passionné. Mais elle ne le pouvait. Le baiser qu‘il déposa dans son cou mît sa prudence à mal. Des frissons la parcoururent toute entière, de son échine à ses reins, elle ferma les yeux une seconde, pour maintenir la prudence qu‘elle s‘imposait, puis les rouvrit, comme si de rien n‘était. Elle ne souciait pas qu‘un quelconque anonyme ait pût prendre des clichés de cette scène, elle avait tant aimer ça, qu‘elle en redemandait. Un aperçu de ce qu‘ils vivraient plus tard dans la soirée. Les frissons qu‘il avait laissé sur sa peau ne daignaient disparaître. Et lorsqu‘ils furent installés dans la limousine, les portes closes, les murs qui l‘entouraient s‘abattirent subitement. Ses doigts glissèrent sur la chemise de Dewey, impatients, mais avec toujourrs cette retenue irrésistible. Sa raison s‘était tût, et ça allait continuer ainsi.

    « Ou m‘emmènes-tu ?  »
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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Ven 15 Oct - 14:27


    Sans doute que cette vision là devrait choquer bien des gens. Tous ceux qui les connaissaient ; surtout de nom en fait. Car voir la reine L. ; la seule ; la vraie ; avec un homme de cette espèce ; ça ne se produirait sans doute pas très souvent. Ce qui était étrange dans la réputation de Dewey ; c'était que tous éprouvaient du respect et de l'amabilité pour lui ; alors que c'était un salxp de la pire espèce ; et un bon baxseur en plus. Ils lui trouvaient de la classe ; de la noblesse et du charme ; et alors que les hommes le jalousaient un peu (ou voulaient le frapper car il s'était tapé leur copine ; au choix) les femmes éprouvaient toutes pour lui du désir (certes ; peut-être pas tous ; mais beaucoup d'entre elles). Il dut même devenir presque sélectif ; et les demoiselles qui finissaient dans son lit étaient peu nombreuses mais toute très belles et très douées dans ce joli domaine. En même temps ; il était presque devenu un maître de sexe ; il devait donc avoir des élèves un tant soi peu intéressantes afin de progresser encore (si un tel miracle pouvait être possible !). Lilly était de ce genre là : elle contribuait a le rendre encore meilleur a chaque fois ; car il désirait se surpasser pour elle. Et sans en tirer de fausse fierté ; il trouvait ça agréable d'éprouver de nouvelles sensations avec elle ; et d'explorer une facette de lui encore alors inconnues.

    Jamais il n'aurait cru qu'elle pourrait a ce point là le changer ! Il était vrai que depuis qu'il l'avait rencontré ; Dewey s'était un peu calmé. Certes pas au point de passer toutes ses nuits seul ; disons juste qu'il avait cessé de boire autant. Fumer en revanche lui était devenu aussi nécessaire que respirer ; et il ne se sentait pas bien s'il n'avait pas eu sa dose de shit du matin. Du matin ; du midi ; du quatre heure ; du soir et de la nuit ; au minimum. Ca ; c'était son petit rituel. Et il pouvait devenir aussi très agressif si quelque chose ou quelqu'un avait le malheur de l'énerver. La classe et la dignité mises au service de la baston : imaginez un peu le tableau qu'offrait chaque jour le beau Dewey Kingsley a ses supporters.

    Bref Dewey s'était calmé ; et peut-être même qu'il aurait aimé s'établir avec elle. En tout cas ; il se l'imaginait parfois ; dans ses rêves les plus fous , et ça le faisait bien rire : Lilly Rose et lui ; dans une maison villa de luxe ; lui partant au travail a l'hôtel dans les somptueux bureaux de son père ; elle faisait la cuisine. Et pourquoi pas un enfant ? Non ; là il extrapolait ; et rarement il s'imaginait sa vie aussi loin : d'autant qu'il avait un peu peur de vieillir et aurait voulut rester jeune et cxn toute sa vie.

    « Comment pourrais-je l‘ignorer quand la réciproque est vraie ? Si je sais ce que tu veux, tu sais également ce que j‘attends. »

    Compliquée comme phrase ; mais tellement juste ! Il adorait vraiment cette femme ; elle lui semblait géniale. Bref ils marchaient côte à côte ; et Dewey avait définitivement cessé de regarder autour de lui et de se questionner sur "est-ce que quelqu'un serait susceptible de nous dénoncez ?!" après tout ; qu'est-ce qu'il les emmerdxient les gens ! Il avait envie de tenir compagnie a Lilly et de marcher a ses côtés ; alors il le faisait. Il avait envie de passer un bras amicalement autour d'elle ; alors il le faisait. Il avait envie de ne pas porter d'attention aux abrutis qui pourraient dans un futur prochain les dénoncer a Gossip Girl ; il le faisait. C'était aussi simple que ça : pourquoi se poser trop de questions ? C'est pile lorsqu'il s'arrêta pour se concentrer simplement sur le bonheur qui l'étreignait qu'ils atteignirent la belle et grande limousine qui appartenait au cher père de Dewey. Il ouvrit et tint la porte a sa belle demoiselle ; qui n'hésita pas une seconde avant de grimper dedans. A peine eut-il refermé sur lui qu'il se sentit beaucoup mieux ; liberé de l'étreinte imaginaire formé par les regards vicieux et avides de ragots a trouver. Il sentit les doux doigts de Lilly le caresser par dessus sa chemise.

    « Ou m‘emmènes-tu ? »

    « Je ne suis pas obligé de t'amener où que ce soit ... on peut aussi bien rester ici. Tu te rappelles ? »

    Dewey n'eut rien besoin d'ajouter ; il savait que Lilly se douterait de quoi il voulait parler. C'était dans cette même limousine a la même place qu'ils avaient fait leur sans aucun doute meilleure partie de jambes en l'air. Alors que le jeune Kingsley revenait d'un long voyage de trois mois ; le manque de l'un et de l'autre se faisait grandement ressentir. A peine était-il dans l'avion que Dewey appela sa Lilly ; pour lui donner rendez-vous a son retour. Ils n'avaient pu attendre d'être rentré à la maison ; car leur trop grande envie avait éclaté. Dans la voiture. Ils avaient couchés ensembles ; et leur si long manque s'était retrouvé converti en désir fusionnel. C'était réellement ... animal. Il s'en souvenait avec une certaine once de désir ; & n'était pas du tout contre le fait de remettre ça !


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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Ven 15 Oct - 19:16

    La limousine faisait remonter un flot de souvenirs à sa mémoire. Comme cet adorable souvenir sauvage d‘une partie de jambe en l‘air, après trois mois d‘absence et de désir enfoui, il avait bien fallu que ça explose. L‘attente n‘avait pût durer plus longtemps, dés que Dewey avait débarqué, ça avait été plus fort qu‘eux. Le désir qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre était palpable, l‘idée d‘une seconde d‘attente de plus aurait été insupportable. Ces trois mois avaient parus durer, interminables, froids, et sans grandes couleurs pour Lilly. Les instants passés à se repasser ce qu‘elle aurait pût vivre ne faisait que raviver son désir, toujours plus fougueux.
    Pendant ces trois mois, trois mois d‘abstinence insoutenable, la belle avait bien faillit replonger. Ses problèmes de drogues lui collaient toujours à la peau, mais s‘éloignaient seulement, et bizarrement, pendant ses activités avec son Kingsley, cette addiction s‘était envolée. Alors lorsqu‘il n‘était pas là, ces anciens démons revenaient à la charge. Toujours plus intransigeants et exigeants. Mais grâce à on-ne-sait quel miracle, elle avait eu la force de battre ce qu‘elle avait plus tôt aimé plus que la vie elle-même, celle qu‘elle trouvait si misérable avec elle. Mais elle n‘était pas Queen L. pour rien, elle savait se battre, et pas qu‘un peu. C‘était un don chez elle, l‘un de ses atout majeur. C’était celui qu’elle avait développer lorsqu’elle avait dût guérir face à sa boulimie.
    Le retour de Dewey avait constitué un soulagement. D‘une part, car ça mettait fin à ses duels, et de deux car d‘une manière qui semblait invraisemblable, il la comblait. Dans tous les sens du terme que ça puisse être. Elle était elle-même, à part entière. Elle ne se cachait pas, ne faisait pas semblait d‘être celle qu‘elle n‘était pas, ça lui enlever un poids de ses frêles épaules. Elle était juste Lilly Rose, avec son Dewey, celle qui savait l‘aimer d‘une manière noble, et pas comme l‘abrxti que certain savaient si bien dépeindre.

    « Je ne suis pas obligé de t'amener où que ce soit ... on peut aussi bien rester ici. Tu te rappelles ? »

    « Comment oublier ?  »

    "Un moment aussi parfait", allait-elle ajouter, mais cette stupide phrase ne franchis pas ses lèvres, retenue prisonnière par une espérance en mal-être, qui ne s'autorisait à vivre.
    Le moment qu‘ils avaient passé dans cette limousine était l‘un des préférés de la belle, sans doute de Dewey également. Comme toutes leurs parties, c‘était inoubliable. Ce moment là en particulier, car le désir avait était tellement fulgurant, après l‘attente, que c‘en avait pût aller autrement. Ils s‘étaient retrouvés en beauté. Ils avaient fait l‘amour, plusieurs fois, mais jamais ils ne s‘étaient trouvés déçus l‘un de l‘autre. Ils étaient plutôt du genre à en redemander. Ils avaient été bestial, sans manquer de douceur, fusionnels sans manquer de passion. Et puis la limousine des Kingsley avait sans doute était l‘un des meilleurs endroits, peu banal, il marquait bien leur couple, aussi incongru qu‘il soit, car ça ne manquait pas d‘originalité, tout comme eux. Et puis ça n‘en rajoutait que du mystère.

    Dewey semblait apprécié les doigts baladeurs de Lilly-Rose, ce qui ne pouvait que l‘encourager plus. Elle ôta la cape qu‘elle avait mise ce jour là, la température avait augmenté, ce qui changeait radicalement de l‘air frais de cette fin de soirée. Sa robe bustier, attachée à son cou par de fin ruban de soie, voilait délicatement ses sous vêtements, et n‘en ressortait que de plus belle, elle la mettait en valeur, si cela avait était possible. Son but ? Le faire chanceler de désir. Elle croisa les jambes, sa jupe remonta sur ses cuisses, dévoilant de nouveau ses porte-jarretelles. D’une main, elle caressa les contours de son si beau visage, celui qu’elle voyait en rêve. Elle les aimait, ses contours, elle aurait sût les dessiner les yeux fermés. Elle ferma les yeux, pour les mémoriser un peu plus. Elle souris, les rouvris et s’approcha de lui et l’embrassa. D’abord douce, elle se fit ardente, son autre main remontait sur son torse, son cou, sa nuque, ses cheveux. Leur baiser n’était qu’ardeur, mais pas seulement. Il y avait quelque chose en plus, une chose qu’elle ne savait déceler et identifier. Elle ne pensait qu’au présent, à ce baiser, et surtout, surtout à ce qui allait suivre.
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"Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Vide
MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Sam 16 Oct - 16:05


    Jamais jusqu'alors Lilly n'avait parlé de ses problèmes de boulimie et d'anorexie a Dewey ; et sans doute qu'elle n'en avait jamais parlé a qui que ce soit. Ce genre de problèmes ; mieux valait parfois les taire définitivement et tâcher de s'en sortir tout seul. Visiblement ; c'est ce que Lilly avait fait ; et même si elle devait retirer une certaine fierté de ce combat qu'elle avait mené et remporté ; elle n'en avait toujours pas parlé ; à qui que ce soit. Mais c'était son droit ; son petit jardin secret ; celui-là même que Dewey ne se permettrait jamais de fouiller ; même s'il aurait aimé tout savoir d'elle. En revanche ; il connaissait parfaitement ses anciens problèmes avec la drogue ; puisqu'il devait avoué qu'il lui en fournissait quelquefois : il ne pensait toutefois pas que ça irait jusqu'à l'addiction où bien il n'aurait pas fait cette cxnnerie ! Toutefois lui continuait a en consommer dans de courantes occasions ; mais il savait qu'il pouvait s'en passer pour l'instant ; et donc n'éprouvait aucunement le besoin de se modérer. Bref Lilly avait arrêté la drogue pendant qu'elle était avec lui ; et il n'en retira jamais aucune fierté puisqu'il ne se doutait jamais que c'était sa simple présence qui lui permettait de tenir.

    « Comment oublier ? »

    Oui ; comment oublier ; c'était sur ! Est-ce que l'un des deux le pourraient un jour dans leur vie ? Sans doute que non : c'était bien trop intense pour que cela se perde et ne devienne a leurs yeux qu'un jeu comme un autre. C'était tellement plus ; et ça représentait surtout l'amour qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre ; même s'ils ne s'en rendaient pas compte. Après tout ; Dewey rentrait juste de voyage de trois mois ; & qui voulait-il voir ? Sa belle Lilly-Rose bien sur ! Il ne s'était même pas posé la question ; le nom était venu tout seul a son esprit ; presque naturellement. Oui ; il l'aimait. Alors qu'il songeait a cela ; il entendit un bruissement a ses côtés qui lui fit tourner la tête à droite: Lilly-Rose retirait sa cape ; dévoilant sa robe si fine qu'il aurait sans doute put la déchirer a mains nues ; qui elle même montraient avec douceur ses beaux sous-vêtements assortis. A croire qu'en s'habillant ; elle avait déjà prévu de passer une "nuit" avec lui. Puis elle s'approcha a nouveau de lui ; caressant son visage avant de l'embrasser d'une manière a la fois douce et fougueuse.

    Oui ; vraiment ; douce et fougueuse ! Comment une femme pouvait donc allier ses deux qualités en un baiser ? Elle était merveilleuse et à la fois magicienne : voilà pourquoi leurs parties de jambes en l'air étaient si mémorables. Elle lui en cachait des choses ! Dewey aimait beaucoup la manière dont elle essayait (et arrivait a merveilles !) de le séduire ; alors qu'elle avait déjà conquis son coeur et son regard. Elle repartait chaque fois de zéro ; n'oubliant toutefois pas toutes leurs dernières fois. Elle était incroyable !

    Dewey répondit a son baiser avec fougue a son tour ; et il sentit la bête en lui ronronner de colère : il tentait de se contenir ; paraissant doux et voulant le rester le plus longtemps possible ; avant que ses chaines ne se brisent définitivement. Tout en ne lâchant plus ses lèvres ; il caressa ses cheveux ; jouant avec et usant d'une douceur si naturelle que personne n'aurait put croire qu'il était un monstre assoiffé de sexe lorsqu'il commençait. Il ne savait pas trop ce que Lilly-Rose préférait ; si elle aimait qu'il soit bestial ou au contraire qu'il joue le rôle d'un transi romantique ; mais il savait que de toutes manières ; quel qu'il soit ; ça lui plaisait. Alors il aimait avec elle jouer plusieurs rôles ; avant de finir par être vraiment lui. Elle lui permettait de s'épanouir au fond.

    Jouant avec ses cheveux et caressant sa nuque ; il l'embrassait toujours. Lorsque les jambes de Lilly s'enroulèrent autour de lui en revanche ; il craqua. L'embrassant de manière mille fois plus fougueuse ; il allongea la belle sur la banquette sans toutefois retirer les jambes de sa taille. Il se retrouva sur elle ; les cuisses de Lilly l'entourant de manière éhontée. Il laissa glisser sa main le long de son ventre ; et celles-ci se mirent a caresser les magnifiques jambes de sa douce qui n'hésitait jamais a les montrer et les mettre en évidence : sans doute qu'elle en était particulièrement fière ; ou bien simplement avait-elle trouvée comment séduire le beau Dewey le plus rapidement possible : pour ça ; elle devrait bien gagner un trophée ; car ça faisait a peine cinq minutes qu'ils étaient dans la limousine et déjà il craquait et n'avait plus qu'une envie : lui faire l'amour. Heureusement que le chauffeur était parti ; où bien il aurait très vite entendu des bruits assez suspects le mettant mal a l'aise.

    Caressant les cuisses de la belle ; Dewey s'arrêta pour jouer avec ses portes jarretelles ; tout cela sans cesser de l'embrasser. Parfois ; il déposait simplement de doux baisers sur ses lèvres ; sur son front ; ses yeux ; ses joues ; son cou ; mais il n'arrêta pas a un seul moment de jouer de sa bouche. Un baiser avec elle lui faisait tant de plaisir et de bien qu'il aurait aimé ne jamais s'arrêter ! Il retira alors les portes jarretelles de sa belle ; derniers remparts ou presque avec ce qui l'intéressait réellement. Il préférait toutefois la voir entièrement nue avant de faire quoi que ce soit ; et un regard sur les vitres blindées de sa limousine le conforta dans ses désirs : n'importe où qu'ils soient ; personne ne pourrait ne serait-ce que les entrevoir. Parfait ! Tout était réuni pour que ce soit parfait. Comme d'habitude en fait.


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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Sam 16 Oct - 22:05

    L’entrée de Dewey dans la vie de Lilly avait commencé il y a bien longtemps. Cela n’avait rien à voir avec ce que c’était aujourd’hui, car elle le détestait alors, mais il s’y était quand même fait une place, bien avant que leur relation physique débute. En tan qu‘ennemis, puis en tant qu‘amis, ou une forme proche, du moins. Car il faut avouer que Dewey était un dealer de choix, le meilleur et le plus convaincant qu‘elle ait croisé. Il faut dire qu‘il était le seul qu‘elle connaissait qui pouvait posséder ce genre de choses, car la jeune femme respectable qu‘elle avait semblé être n‘aurait pût avoir des personnes semblables dans son entourage. Mais il avait fait une exception, une fois encore. La raison de cette exception aurait pût être qu‘ils partageaient le même cercle d‘amis, et ç‘avait été vrai, au début. La belle avait toujours eu un semblant de fascination pour son beau Don Juan, un papillon attiré par la lumière. Il représentait tout ce qu‘elle n‘aurait jamais pensé être, il n‘avait suscité que de l‘admiration pour la femme qu‘il semblait aimer aujourd‘hui. Et après cette fameuse nuit, où elle avait perdu sa virginité, cette fascination avait prit une autre tournure.
    Lilly se souvenait exactement de cette nuit, tout était clair. Ce jour là, en particulier, avait été horrible, l‘ignorance de ses parents la faisait souffrir, l‘addiction qu‘elle avait été en train de la ronger et la maladie la dévorait, mais elle ne pouvait s‘empêcher de lui coller à la peau. Et il s‘était trouvé là. Elle aimait se dire que si c‘en avait été un autre, c‘aurait été exactement la même chose, mais c‘était faux. Il était différent, il était tout. Et sa différence faisait de lui une personne à part, peut être pas exceptionnelle, mais à qui la belle Stevens avait besoin de porter son regard, et que ça soit réciproque. Les regrets avaient été de la partie, après cette nuit, mais ils s‘étaient bien vite envolés, car ils étaient faux. « Les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais. ». Et peut être en avait elle été une, cette partie de jambe en l’air, une folie. Mais elle avait été le plus belle, et sans doute la seule, dont elle ait jamais été fière, la seule qu’elle ait jamais faite. Car certaines choses, autrement moins folles, lui donnait de quoi avoir ce qu’elle haïssait par-dessus le reste, ces foutus regrets. Oscar Wilde avait, serait-ce surprenant, raison.
    Les sentiments qu’éprouvait Lilly en présence de Dewey, pour lui, étaient erronés, malmenés. Elle avait beau se dire, se bourrer le crâne de cxnneries, que c’était purement et simplement amical, que rien de bien sérieux se tramait derrière le tout, elle se mentait. Elle en était tellement convaincante, même à elle-même, qu’elle ne pouvait que croire à ses propres mensonges, mais bien au-delà, ça la déchirait.

    De l’amant doux ou farouche, elle ne savait lequel elle préférait. Les deux étaient incomparables, car difficile de surpasser l’exceptionnel par un égal. Et si au début de leur étreinte, il était doux, elle n’était pas dupe. Il se retenait, autant qu’il le pouvait, mais elle comptait bien détruire ce mur. Et même si ses caresses n’étaient pas à plaindre, elle ne comptait s’y attarder avec. Les lèvres de Dewey s’attardaient sur ses lèvres, le creux de son cou, ses yeux. Ses mains ne cessaient de caresser sa nuque son corps, ses cheveux. N’y tenant plus, Lilly enroula ses jambes autour de Dewey, qui devint l’homme ardent qu’elle attendait. Il l’allongea sur la banquette de la limousine, comme au bon vieux temps, il laissa glisser ses mains le long de son corps, ce qui agita sa belle d’un frissonnement. Lilly Rose laissa les siens courir sur les épaules de Dewey, traçant leurs contours, puis passèrent sur son torse. Et tandis qu’il couvrait son corps de caresses, elle s’acharnait à déboutonner sa chemise. Chose peu facile, quand son attention est accaparée de toute sorte de choses à la fois, choses dues aux baisers et caresses incessantes qu’elle affectionnait tant. Pas un moments il ne cessa d’embrasser sa peau, ce qui n’était pas pour lui déplaire étant donner que quelques doux gémissements lui échappaient parfois. Il lui donnait tant de plaisir par seulement quelques baisers sur sa chair, c’en était presque terrifiant. Il se mit à jouer avec ses porte-jarretelles, alla même jusqu’à les enlever. Elle fit en sorte qu’il se débarrassa de tout ce qu’il portait en haut, ne lui laissant que son pantalon dont elle défit astucieusement la ceinture. En lui ôtant ses porte-jarretelles, il laissa entrevoir clairement son idée d’attente qui ne pouvait plus durer. Elle défit la fermeture éclair de sa robe, attendant que son doux amant la lui enlève, et embrassa à son tour son cou. Elle aimait même le goût de sa peau, qui était tout aussi désirable que tout son être. Ses jambes se resserrement un peu plus autour de lui, tandis que ses mains se baladaient sur tout son corps, et qu'elle posait des baisers sur toute partie de son corps qui lui était accessible.
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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Mer 20 Oct - 18:54


    Jamais Dewey ne ressentait autant de plaisir qu'avec Lilly Rose. Il ignorait comment cette femme faisait pour lui faire éprouver tant de choses a la fois. Etait-elle juste véritablement douée au lit ; ou bien était-ce plutôt l'apparition de sentiments ; qu'ils soient amicaux ou amoureux qu'il éprouvait a son égard ? Ou bien les deux peut-être même. Lilly-Rose était bien assez exceptionnelle pour le combler sous tous les points ; cela le surprenait de moins en moins. Il s'évertuait a lui trouver un défaut ; sans jamais vraiment y parvenir. Elle ne l'avait jamais laissé tomber ; ne l'avait jamais déçu. Depuis la première fois qu'ils s'étaient vus a maintenant qu'ils se fréquentaient depuis plusieurs mois ; bientôt une année complète. Le premier regard avait été magique ; et dès qu'ils se voyaient les yeux dans les yeux ; il ressentait la même flamme qu'auparavant. Amour ou attirance ? Il était encore réduit a se poser cette question ; alors qu'elle lui aurait été évidente s'il avait un jour aimé une femme. Enfin ça lui été arrivé ; mais ça avait été trop factice pour que ça ai put le marquer de manière indélébile. Bref Lilly-Rose était aujourd'hui sans doute la meilleure des femmes qu'il n'ai rencontré ; et la seule sur qui il sentait qu'il pouvait compter indéniablement. Car avant d'être sa maitresse ; une amante du tonnerre ; elle était son amie et sa confidente. Même s'il avait plus envie de faire l'amour avec elle parfois que de lui parler et de lui raconter ses soucis ... le problème ; c'est qu'elle avait le chic pour les faire disparaître en un regard ; ses soucis. Comment donc vouloir les lui en parler après ? Bref ; elle était parfaite avec lui et sans lui ; elle restait la même : indéniablement la meilleure. Prenons un exemple : Dewey avait beau avoir couché avec la magnifique Alexis ; vue comme une reine de plus ou moins partout ; le fantasme de tous les hommes ; il n'avait pas put s'empêcher de penser a sa belle en lui faisant l'amour. Bref le soir au couché il l'avait dans la tête ; toujours le lendemain matin. C'en était effarant ; et ça lui faisait presque peur.

    Mais là ; dans le cas présent ; il n'avait pas peur. Pas peur du tout même. Il était avec sa belle ; qui avait un pouvoir déstressant sur lui . Elle lui faisait surtout beaucoup d'effet ; mais leur liaison ne s'arrêtait pas à ça ; ou bien il ne l'aurait plus jamais revu ; car le nombre de ses maitresses dans son tableau de chasse s'élevait a ... trop pour les compter toutes en fait. Elle était bien la seule a avoir pu fouler ses draps plusieurs fois ; et rien que cela était un immense honneur ; mais sans doute ne s'en doutait-elle pas. Dewey lui ; en tout cas ; savait bien a quel point il avait de la chance : loin d'être une femme très séductrice ; bien au contraire même ; sa Lilly ne couchait pas avec des inconnus ou a tout bout de champs ; il était donc l'un des rares a avoir ce privilège et rien que pour ça elle méritait qu'il lui offre tout le plaisir possible et imaginable. Elle méritait bien qu'il progresse a chaque fois un peu plus dans son lit. Elle mériterait presque qu'il lui soit fidèle ... presque ! Mais il lui manquait quelque chose pour ça ; quelque chose qu'il ne saurait définir. Qu'elle lui montre son amour peut-être. Ou bien qu'elle fasse le premier pas. Il ne savait pas trop : il ignorait même s'il ne reculerait pas si ce jour devait arriver ; de peur de s'engager par exemple. Ou de peur de la blesser. Dewey avait bien envie de tout ; sauf de faire du mal a la femme de ses rêves !

    Elle embrassait son corps ; n'épargnant rien qu'elle ne puisse toucher. Elle avait déjà dézippé sa robe ; ne lui laissant le droit que de la retirer entièrement ; ce qu'il ne tardait pas a faire. Ses sous-vêtements étaient assortis ; et étaient d'une douceur incomparables ; comme leur propriétaire en fait. S'il l'avait pu ; Dewey aurait posé sa tête sur la poitrine de la jeune femme pour ne plus la retirer ; et ici dormir ; le pouce dans la bouche. Bon d'accord peut-être pas à ce point mais vous m'aurez compris. Il voulait passer beaucoup de temps avec elle ; mais pouvoir papilloner tout de même. Il ne savait plus où il en était. Et il désirait que tout cela s'éclaircice. Mais là n'était pas l'heure a se poser des questions ; juste celui à assurer ! Sa chemise était déboutonnée mais pas enlevée ; il se fit donc une joie de le faire car il commençait a mourir de chaud et était presque déjà en sueur. De plus ; il était assez fier de sa musculature pour vouloir la montrer a la femme qu'il voulait séduire. Il caressait toutefois sa belle ; n'épargnant aucun lieu de sa peau. Il dut donc remuer des épaules pour retirer sa chemise ; qui restait néanmoins collée à sa peau ! Il laissa échapper un grognement lorsqu'il dut lâcher sa belle pour retirer sa tenue et reprit de plus belle une fois que ce fut fait. Il la caressait plus encore ; de manière presque bestiale ; et sans même enlever la culotte ; sa main se prit a se perdre dans celle-ci.


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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1Jeu 21 Oct - 19:59

    Le futur. Il était toujours incertain, mystérieux. Il foutait toujours le trouble sur tout, le présent, le passé, l‘espoir. Il était souvent flou, et le cas de Lilly-Rose, de ressentir ça, n‘était pas isolé. Qui pouvait dire avec exactitude où il serait, ce qu‘il ferait, dans un laps de temps indéfini ? Personne ne pouvait prévoir l‘avenir, mais bizarrement, lorsqu‘elle était avec Dewey, le voile qui obstruait tout futur se levait quelque peu. Il était plus défini, plus clairvoyant et semblait moins effrayant. Qu‘es ce qui avait à voir là dedans, pourquoi tout semblait prévoir une fin heureuse en sa présence à lui, et pas un autre ? Les sentiments éprouvés n’étaient ils pas fictifs, irréels, appartenant juste à leurs moments intimes ? D‘un côté, Lilly Rose avait besoin d‘être rassurée, car ses sentiments la terrifiaient. L‘amour était une chose qu‘elle classait comme inconnu, elle n‘avait connu que la manipulation dans ces eaux là, pas quelque chose qui ressemblait bien trop aux films qu‘elle aimait regarder. Elle aimait se dire qu‘elle ne serait jamais touchée par ces jeux là, qu‘elle serait juste attractive, désirée, mais jamais qu‘elle pourrait aimer, ou voir même être aimée, réellement. Elle savait se faire respecter, manipuler, terrifier, aider … Mais le verbe même « aimer », c‘était une chose qu‘elle s‘imaginait, dont elle avait rêver, sur laquelle elle fantasmait littéralement. Mais elle avait fait une croix dessus, depuis longtemps. Le fait de s‘être faite rejeter par ceux qu‘elle devait aimer le plus penchait sans doute dans la balance, mais pas à ce point. Pas à ce point de se voiler la face, de ne pas s‘avouer à elle-même que quelque chose existe bel et bien, quelque chose qu‘elle se force à nier. Hors le désir, il y a la passion, et elle ne vient pas seulement du fait que Dewey est un partenaire plus que satisfaisant et exceptionnel. Le rapport entre ce futur qu‘elle aimait s‘imaginer et ses sentiments était réel, mais le rapprochement, elle n‘osait se le représenter. Pour qui la prendrait-on, si elle osait avouer à demi mots ce à quoi elle aspirait ? Ce conte de fée semblait trop réel pour l‘être véritablement, le mieux était alors de se taire, oublier et profiter. Profiter du temps qu‘il restait, celui qu‘elle avait encore avec celui pour lequel elle ne savait que ressentir, ce qu‘elle n‘osait avouer, car la peur la prenait bien trop, tout comme la déception. Présente dans le moindre de ses mots, le moindre de ses gestes, le regard qu‘il portait sur elle arrivait à le faire disparaître. Mais résistait le doute, sur ce que lui-même ressentait. Comment pouvait-elle être sûr que ce n‘était pas qu‘un jeu, pour sa part ?

    Ce qui la dominait actuellement, était une peur terrible mêlé à un plaisir incessant. Si tout s‘arrêtait, si tout disparaissait, sans qu‘elle ait eu le temps de tout prévoir. Elle ne connaissait même pas la réaction qu‘elle aurait. Sans doute égale aux vues de tous, mais intérieurement … Elle serait sans doute comme elle était loin de lui. Terriblement vide, sans perspectives véritables. Cette peur, terrible, la dévorait intérieurement, inévitablement. Elle n‘augmentait que plus la passion ardente qui la hantait, dans cette limousine, avec Dewey. Se savoir aussi dépendante à une personne lui aurait semblait inconcevable, mais c‘était inéluctable désormais. Tellement clair, embarrassant, également. S‘attacher aussi fort à une personne aussi frivole que Dewey, son Dewey était … C‘aurait mérité d‘être une curieuse farce, mais ça ne l‘était pas. Le fait est qu‘aucun des deux n‘avait choisi. Le présent était ce qu‘il était, il ne manquait plus qu‘un rien pour véritablement embraser le feu. Quelques mots … Une preuve d‘attachement … Quelque chose qui les lierait véritablement, et pour de bon. Mais ces choses là pouvaient elles véritablement être dites ou faites sans qu‘aucun ne s‘en tire sans blessure ?

    Ses caresses ne la lassaient pas, elles ne la lassaient jamais. Et lorsqu‘il dût se séparer d‘elle pour enlever sa chemise, c‘est à peine si elle ne râla pas, ce qui l‘en empêcha fût le corps de Dewey. Elle était toujours émerveillée devant ce corps, qu’elle semblait redécouvrir à chaque fois, il semblait dénuer de défauts. L‘attirant un peu plus contre elle, elle réclamait ses baisers, ses caresses, sa peau, tout. Leur ébat était un peu plus passionnel, ardent. Il ne manquait de rien, rien qu‘aucun des deux ne puisse réclamer. Ils semblaient mettre tout ce qu‘ils voulaient se dire, tout ce qu‘ils ressentaient dans leurs caresses, baisers papillonnants. La belle ne pût empêcher un soupir de plaisir réel lorsque Dewey perdit ses caresses dans son endroit intime. S‘il savait quel plaisir, quel bonheur cela lui procurait, c‘était incomparable à aucune drogue, aucun alcool, rien. Elle ne pût empêcher ses ongles de s‘enfoncer quelque peu dans la peau de son bel amant et d‘embrasse le creux de son cou comme elle savait si bien le faire et laissa glisser sa main vers ce qu’elle désirait tellement, allant même jusqu’à enlever son pantalon sans même qu’elle s’en aperçoive vraiment. Ses jambes autour de sa taille l’aidait beaucoup, elle ne cessait de les faire glisser sur sa peau.
    Elle ne savait pas où elle voudrait se trouver maintenant, autre part qu‘ici. Elle avait envie de lui dire tellement de choses … Et la première se refusait à passer ses lèves si douces que Dewey aimait tant.


[hs : j'adore ce que tu as écrit ♥]
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MessageSujet: Re: "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY "Aimer, c'est permettre d'abuser". Alors j'abuses. || DEWEY Icon_minitime1

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