© miss volchock
Jake Allen WRIGHT
feat Chace Crawfod
« La drogue c'est comme une femme. Elle ne te pardonnera pas si tu dépasses la mesure avec elle. »
Carte d'identité 20 ans 12 mars, Houston Back streets youth Dealer Célibataire mais amoureux Chevalier servant
| Vous &&. le vice Tabac ? OUI – NON Alcool ? OUI – NON Drogue ? OUI – NON Première fois ? OUI – NON Comment êtes-vous en amour ? En amour, je ne suis pas. Que pensez-vous de Gossip Girl ? >En parler serait lui porter une certaine attention, et c'est tout ce qu'elle veut.
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Le récit de votre vie
Je n’ai jamais vraiment compris le pourquoi du comment de ma venue ici. A vrai dire, New York n’avait jamais vraiment été un rêve pour moi, et puis pourquoi un changement aussi radical ? Nous avions tout au Texas, du moins tout ce dont nous avions besoin. Vous pourriez croire que nous vivions dans un ranch avec des tas de chevaux dans une prairie, mais détrompez vous, ma sœur et moi avons grandi dans le luxe d’un pavillon blanc au bord d’un lac. Je crois que mes années au Texas furent les plus belles mais aussi les plus simples et les plus tranquilles. Je n’ai jamais été très « grandes villes » mais au fanal, j’ai bien été obligé de suivre ma famille. Je me rappelle avoir chigné dans l’avion pendant tout le trajet. Je ne sais par contre par quel moyen j’ai réussi à me calmer et à retrouver une certaine lucidité ainsi qu’une ouverture d’esprit. J’avais à l’époque tout juste 17 ans et je voyais ce changement radical de paysage d’un très mauvais œil. Elle m’allait très bien à moi, ma vie au Texas ! Je crois que ce qui me motivait le plus, c’était l’enthousiasme certain de ma sœur. Après tout, qu’avait-elle à perdre, elle ? Si j’avais été majeur, il était certain que je n’aurais pas suivi mon père pour la simple raison d’une mutation. Un meilleur salaire ? Mais qu’elle importance ça a vraiment dans une vie ? Je sais, on court tous vers l’or, mais soyons réalistes, combien y arrivent ? Je suis donc arrivé à Brooklyn sans en avoir envie et je dois dire que j’ai mis du temps à m’y faire. A peu près un an si je me souviens bien. Mais c’était juste au moment où tout paraissait aller bien qu’un malheur s’est abbatu sur nous. On ne l’avait pas vue venir celle-là, et à vrai dire, ça me reste toujours en travers de la gorge. Pourquoi ? Est-ce que vous trouvez normal le fait qu’on vous annonce la mort de votre père au moyen d’une simple lettre ? Même pas de mots de condoléance, même pas un minimum de compassion, rien ! Et comme si cela ne suffisait pas, le gouvernement nous a tout repris, tout ce que nous avions. Bonjours la nouvelle vie à trois dans un appartement miteux des bas quartiers ! J’étais en colère, oui, vraiment très en colère. En colère contre la société, en colère contre mon père qui n’a pas été capable de mettre un peu d’argent de côté en pensant à nous, cet égoïste ! J’étais en colère contre New York et ces habitants tous plus riches et plus beaux les uns que les autres. Comment est-ce possible que dans un endroit pareil, votre place au sein de la société soit si marquée ?
Comme une marque au fer rouge qu’on m’avait imposée, mon avenir était tout tracé. A famille était désormais dans la misère et je me devais de faire quelque chose. Les études ? Premièrement, c’est pas pour moi et puis deuxièmement, ça ne rapporte par avant dix ans, et je n’ai pas dix ans devant moi. La vie m’aura appris une leçon : le temps est compté et il est préférable de ne pas le gaspiller. De contacts en contacts, j’en suis arrivé à m’introduire dans un réseau de drogues. J’ai évidemment du faire mes preuves mais avec une gueule d’ange comme la mienne, ce fut assez facile. A vrai dire, tout cela est allé bien trop vite et j’y étais embarqué avant de m’en rendre compte. A la maison, je disais que j’avais trouvé un boulot dans un fast food et ça leur suffisait amplement. Ils me fournissaient la came et moi je la revendait. Je leur rapportait l’argent et j’avais ma part là-dedans. Ça payait bien, très bien même. En rentrant à la maison, je donnais en suffisance pour le loyer, le manger et les petits extras. Ce qu’il me restait, je le mettais de côté pour un futur proche. Ma sœur m’avait un jour confié son désir d’aller étudier à Brown, alors je réaliserai son rêve. Ma sœur et moi, nous sommes unis par un lien incomparable. Toujours prêts à tout l’un pour l’autre, je prends mon rôle de grand frère très à cœur et ce depuis le plus jeune âge. Je sais que ma situation actuelle n’est pas un exemple pour elle, voilà pourquoi je m’efforce à lui cacher la vérité et en lui offrant le meilleur pour l’avenir.
Mon plan marchait comme sur des roulettes, jusqu’au jour où ma route croisa celle d’Alexis. Comment est-ce qu’une petite bourge dans son genre s’était-elle retrouvée dans une ruelle d’un si mauvais quartier à une heure si tardive de la nuit ? Je ne me l’expliquerai jamais. Je crois que quand je l’ai vue, j’ai automatiquement pensé à ma sœur et à ce que j’aurais fait pour elle, voilà pourquoi je me suis approché de ce groupe de gars qui l’approchaient de plus en plus d’elle. Un contre tous, je m’en fichais pertinemment. Après cette bagarre, je suis rentré chez moi sans même lui adresser un seul regard. Elle était sortie d’affaire et la suite ne me concernait pas. Pourquoi est-ce que je lui porterais une certaine attention au juste ? il n’y a absolument aucune raison valable alors non, je ne me retournerai pas. En poussant la porte de chez moi, je tombai nez à nez avec ma mère, elle ne me posa cependant pas de questions sur mon état. Ce n’était pas la première fois que ça arrivait et je leur avais servi comme excuse que j’allais à des cours de boxe le soir. Complètement stupide ! En arrivant dans la salle de bain, je vis mon visage dans le reflet du miroir. Je commençai par me passer un peu d’eau dessus afin de faire couler le sang encore frais qui s’échappait de mes blessures. En enlevant mon t-shirt, je découvris également des tas d’hématomes, certains récents, d’autres anciens qui commençaient enfin à s’estomper. Je ne dis pas que j’ai la gueule d’un casseur, simplement que dans ce milieu, il faut souvent en arriver aux mains pour garder sa peau. Voyons les choses du bon côté, je ne me sers pas encore d’arme. Quelques jours plus tard, mon chemin croisa à nouveau celui de cette jolie blonde que j’avais sauvée. Elle m’attendait en bas de mon immeuble et encore une fois, je ne saurai jamais comment elle m’a retrouvé. Tout ce que je sais c’est que lors de cette première entrevue, j’avais complètement explosé. Une fille comme elle n’avait rien à faire ici, alors pourquoi donc avait-elle essayé de me retrouver. Les gars comme moi sont loin d’être stables et de bonne référence, même en tant qu’ami ce serait trop espérer. Mais je ne sais par quel moyen, au fil du temps, je me sentais de mieux en mieux avec cette personne. Je crois que c’est en fait MA personne. Je l’ai trouvée, et je veux la garder. Alexis est devenue ma drogue, et comme toute drogue, elle me consume de plus en plus. Comme quoi personne n’est à l’abri. Cela fait un an que je la connais et je dois avouer que je ne regrette pas d’avoir tenté de construire quelque chose avec elle, malgré ces milieux qui nous divisent. Notre amour, nous le vivons en cachette, mais avec elle je suis moi, et elle sait ce que je fais. Peu importe si je rentre tard ou si je ne donne pas de nouvelles pendant tris jours voir lus, peu importe si j’ai de nouvelles blessures ou non, elle passe outre. Mais est-ce vraiment le cas ? Ne souffre-t-elle pas de tout ça ? Je crois qu’elle se tait pour me préserver.
Cela doit faire quelques mois que je n’ai plus aucune nouvelle d’elle et qu’elle me file toujours entre les doigts. J’ai beau la chercher partout, plus aucune trace d’elle. Des tas de choses me sont passées par la tête mais je crois que la plus évidente est cette dernière : elle a fini par se lasser de moi et s’est trouver un bourge au joli petit minoi qui fera le bonheur de sa famille et de ses proches. Et son bonheur à elle, qu’en fait-elle ? Mais étant donné que je n’ai pas le droit d’avouer fermement qu’elle était heureuse avec moi, étant donné que je n’en ai aucune certitude, j’ai fini par me rendre à l’évidence. L’écart est la meilleure des solutions. Elle m’apaisait, elle était cette chose qui me rendait stable par moments, mais désormais tout est comme avant.
Partie HRPG
Personnage interprété : scénario
Prénom – Pseudo : LolLy
Âge : 17 ans - hier ^^
Comment avez-vous connu le forum ? via les partenaires
Qu'est-ce qui vous à poussé à vous inscrire ? le scénario ♥
Points à améliorer sur le forum ? /
Commentaire(s) : hâte de RP avec vous !