© Troes Heart
Alexander DONNELY
feat Robert Pattinson
« Il faut accepter l'amour avec tout son cortège de souffrances, parce que l'amour ne vient pas sans souffrance, et c'est par là qu'il est grand ! »
Carte d'identité 22 ans 11 juin 1988, à Manhattan, NYC aisée Photographie En couple Le naïf
| Vous &&. le vice Tabac ? NON Alcool ? OUI Drogue ? NON Première fois ? OUI Comment êtes-vous en amour ? Et bien je pense pas mal correspondre au portrait de l'amoureux stéréotypé, c'est à dire jaloux, possessif, doux,... parano et naïf. Fin vous voyez l'portrait. Mais en amour, s'il y a amour... j'suis fidèle (ou j'aimerais bien l'être) Que pensez-vous de Gossip Girl ? Ma mère m'a toujours mis en garde sur les remarques que je pouvais entendre autour de moi. Elle m'a toujours dit qu'il fallait que je sois sourd. C'est c'que j'essaye d'être avec Gossip... Mais c'est pas simple.
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Le récit de votre vie
On a l’habitude d’entendre sans cesse les gens se plaindre sur tout un tas de choses qu’il leur manque, ou qu’ils ont de trop. Les pauvres se plaignent d’être pauvres. Les riches se plaignent d’être riches. Ceux qui ne sont ni riches ni pauvres, se plaignent également de l’être. J’suis né en 1988 dans une famille qui vivait loin des problèmes fiscaux, et de tout le tracas que peuvent avoir les familles en tout genre. Mon père était un avocat réputé. Il avait fondé son propre cabinet, l’avait étendu à l’international, et dirigeait plus d’un millions d’avocats. Il n’était pas souvent là mais, à la différence de foutus gosses de riches incapables de connaitre leurs chances, je savais que s’il ne m’aimait pas, il n’aurait jamais fondé tout ça. Il m’aimait, il aimait aussi ma mère ; mais d’une manière différente. Et tiens parlons en de ma mère. Avec un mari comme celui qu’elle avait, il fallait bien l’avouer, elle n’avait pas besoin de travailler. Et à vrai dire, pour en finir avec tous ces mythes sur l’émancipation de la femme, elle n’en avait pas non plus envie. Vivre sur les ressources de son mari ne la dérangeait pas, parce que c’était aussi ça être marier. Ce qui est à toi est à moi, ce qui est à moi est à toi. Mary ce son prénom passait son temps à faire de la couture, de la danse, et même des échecs. C’était une femme heureuse pleine de passions, dont la première me concernait entièrement. J’étais son fils, le fruit de l’amour de son couple, sa procréation. J’étais heureux vraiment. Mais qui ne l’est pas ? Qui n’est pas heureux enfant, quand tout ce qui compte c’est de jouer à Batman avec le voisin, et de s’imaginer se marier avec sa nounou trop belle de dix-huit ans ?
Et puis on grandit. On grandit et en grandissant la nounou n’est plus aussi belle. Elle a des boutons d’acné et en plus elle a une poitrine aussi plate qu’une planche à pain ; et Batman est une tarlouse, il porte des oreilles de chats sur son casque… A cette époque là tout c’qui intéressait les mecs c’était les filles. J’dois avouer que j’avais du mal à m’y intéresser moi aussi. Les filles parlent sans arrêts de trucs dont toute personne qui aurait été normalement constituée se ficherait éperdument. Les filles passent leur temps aux toilettes. On s’demande bien ce qu’elles y font puisqu’elles y vont toutes les cinq minutes par groupe de dix. Quoi qu’il en soit cette raison doit être très bonne, ce doit être vital… Etant donné l’odeur qui y règne, faudrait vraiment que ce soit un besoin vital. Donc oui je m’intéresse au fille, sommairement du moins, parce que pour être un mec il faut s’y intéresser –c’est ce que j’croyais. Et j’ai rencontré Dame Nature. La plus belle femme de toutes les femmes. A c’époque là j’avais l’appareil photo le plus puissant du monde : deux yeux en pleines santé. Mais j’dois avouer que la mémoire interne manquait vraiment. J’avais seize ans et j’ai demandé à papa de m’en acheter un. Lui il n’a pas fait les choses à moitié. Il a parcouru ciel et terre pour me trouver le plus performant. Il l’a trouvé quelque part en Asie, en Corée du Sud je crois. Et puis l’coréen est devenu mon meilleur ami. Lui il parlait pas de choses sans intérêts, il n’avait pas de besoin vitaux de toutes les cinq minutes.
Et l’coréen et moi on est entrés au lycée. On s’est inscrit ensemble dans la même section photo. J’ai pas mis des masses de temps pour devenir le premier de la classe et pour faire connaitre mes photos. Quand je m’affichais à l’exposition j’entendais les remarques des filles. Elles étaient peut-être pas là pour les photos mais elles étaient là c’était un peu tout ce qui comptait. Mais franchement j’cherchais toujours cette attirance qu’on appelait amour. Et puis j’ai rencontré Shawn. C’était loin d’être de l’amour mais c’était un bon ami. Alors pourquoi j’vous parle de lui maintenant c’est ça ? Et bien lui il l’a trouvé l’amour. Chelsea elle s’appelle. Elle est belle, incroyablement belle. Peut-être qu’en fin de compte il y a des filles qui génèrent de l’amour. Chelsea faisait tomber amoureux à peu près tous les hommes qui passaient sous ses yeux. Abigaïl, ma petite amie, les faisait peut-être tomber amoureux mais en tout cas c’était pas vraiment mon cas –du moins pas plus d’un mois.
Et puis est arrivé l’accident de Shawn. On l’attendait à l’aéroport mais il n’est jamais venu ; pour nous il était mort. D’abord j’ai pensé à lui organiser des funérailles et puis… sans vraiment y penser j’ai couché avec sa fiancée. Elle était belle, elle était même parfaite et physiquement c’était un aimant. Et moi j’étais fou. J’étais fou d’elle. J’sais pas c’que c’est mais en tout cas, quand elle est dans le coin y’a plus qu’elle qui compte.
Enfin c’était sans compter qu’Abigaïl est enceinte et que Shawn est revenu. Là… il va bien falloir que le monde autour d’elle se mette à compter. Ou la merde me monterait jusqu’au cou.
Partie HRPG
Personnage interprété : Poste vacant
Prénom – Pseudo : Kay.
Âge : Twenty
Comment avez-vous connu le forum ? en me promenant de partenaires en partenaires
Qu'est-ce qui vous à poussé à vous inscrire ? Le PV de Alex essentiellement et le design
Points à améliorer sur le forum ? Là tout de suite j'en vois pas vraiment
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